Dans les abysses de l’échec, mon cœur se brise en mille éclats,
Les rêves envolés, les espoirs défaits, tout semble s’effacer, hélas.
Mais dans cette sombre danse, je trouve une lueur d’espoir,
Une force insoupçonnée qui me pousse à revoir mon histoire.

Tel un phénix renaissant de ses cendres, je me relève lentement,
Les échecs d’hier deviennent les fondations d’un avenir flamboyant.
Chaque pas en avant, même minime, est une victoire en soi,
Car l’échec est le terreau fertile où se nourrit ma foi.

Dans les larmes versées, les doutes étreignent mon âme,
Mais je refuse de me laisser engloutir par cette sombre trame.
Je puise dans mes échecs la force de me réinventer,
De tracer un chemin nouveau, d’oser me libérer.

L’échec, ce miroir impitoyable, me dévoile mes faiblesses,
Mais aussi mes ressources cachées, mes capacités sans cesse.
Je me relève, plus forte, plus sage, prête à affronter le monde,
Car l’échec est une leçon qui m’enseigne à être profondément fécond.

Dans le silence des échecs, je trouve ma voix,
Une symphonie de résilience, d’espoir et de choix.
Car l’échec n’est pas un point final, mais une virgule sur ma route,
Dans ce poème, je célèbre l’échec, car il est le berceau de mes doutes.

Ainsi, je danse avec l’échec, main dans la main,
Je transforme mes échecs en une mélodie divine.
Car c’est dans l’échec que se cache la graine de la réussite,
Dans ce poème, je trouve la beauté de l’échec, une source infinie.