Chapitre 2 : Gâteau de bœuf

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La pluie tombais à nouveau, plus légère. Comme tant d'autres ils retournaient au camps en marchant péniblement dans la boue, croisant nombres de blessés aidé par leurs camarades ou sur des civières. Le chemin boueu slalomait dans la forêt légère. Les bléssés quittais la route sur la gauche par un chemin creusé à force de passages dans les buissons. Par là était l'hopital de campagne. Les cris des medecins et des bléssés se faisait entendre par dessus la pluie et la forêt. La petite troupe passa devant avec la boule au ventre. Les médecins voulais réellement sauvé des vie mais c'était des bouchers ignobles.

La Grande Moisson, aussi appeler "Mal Noir" avais autrefois réduit la civilisation à quelques ïlots, laissant la nature reprendre ses droits. Beaucoups de connaissances avait été perdus à cause de ce mal. Certain aventuriers exploraient les vielles ruines en quète de trésor, revenais deux fois moins nombreux et marqué au visage par le mal ancien, les veinnes noir. Pestiféré ils était condamné à mourrir dans la forêt, seul, après avoir raconté leurs aventures à un scrib ou un notaire avec précision. Les gens ne sachant plus ou sont les anciennes villes, tout témoignage est précieux.

Ils finirent par apercevoir le blanc des tentes au travers du vert feuillage. Il entrairent dans le camps ramplis de soldats épuisé, dormant ça et là à l'abris de la pluie. Ils n'avaient plus l'énergie pour retrouver le chemin de leurs tentes. Sur la droite, dans le quartier de la cavalerie, un cheval s'éfondrit sur sur le coté, épuisé. Son cavalier qui avançais devant lui faillit tomber, surpris par la soudaine staticité de son équidé.

-Ah, tu veux dormir là ? Ok... Je reviens te chercher demain matin.

L'homme, tout aussi épuisé, attacha le cheval au poteau en rondin d'une tente, solidement ancrée dans le sol. Il reparti vers sa tente, d'un pas incertain.

Le groupe parcourus le camps de tentes en tentes, allant directement vers le nord-ouest. A mi-chemin Vrolf et Bretlenn se séparèrent du groupe :

-Je suis attendu, ne mangez pas tout le mouton sans moi.

-J'y veillerais, va et bonne chance avec les fleurs de soie. Lui répondit Heinka.

-Merci.

"Ce n'est pas de chance dont j'ai besoin. C'est d'un repa et d'un lit"

Il se dirigèrent vers le centre du camps, en direction de la tente de commandement. Il entrèrent dans le quartier des planqués, les Cavaliers Tireurs de la Garde, qui entourait la tente de commandement. Bretlenn le quitta, partant directement vers sa tente, Vrolf n'avais rien à dire, il savais qu'il les rejoindrais au matin. Les planqué le regardais tel des chiens de guerre en ligne regardais un chat sauvage passer devant eux, sans pouvoir le pourchasser au risque d'être punis. Les cavaliers de salon le toisaiss avec un mépris non dissimulé. Certains même le reconnaissais. L'un d'eux s'approcha de Vrolf, il se demanda pourquoi. Encore un mauvais trait d'esprit fait pour l'insulté ou l'humilié.

"Ils sont épuisant à se croirent supérieur..."

A son grand étonnement il le salua, main au front, bottes sérré puis se détendi :

-Bonjour Adjudant Draguur, content de vous voir en vie.

Vrolf ne l'avais pas reconnu. C'était Deritch Vokerus Ren Furbäus, héritier du volage Conte de Furbäus. Un des rares amis de Vrolf dans cette arène de soie et de canapés.

-Capitaine à ce qu'il parait. Mais merci. Comment allez vous ?

-C'est à moi de vous demander ça, c'est vous qui étiez au front. Dit-il d'un air grave.

-Un front de balles et de canonades, le votre l'est de mots et de mensonges. Aussi tranchant que la lame de votre sabre. Bien plus dangereux que le premier.

Deritch souris. En effet, le "Front de Soie" était plus dangereux que le premier.

Un hurlement se fit entendre de la tente de commandement. Les hommes en poste devant l'entrée firent une grimace, leurs oreilles n'appréciant pas cette agression soudaine. Des officiers et sous-officiers en sortirent, presque en courant. Ils croisèrent les regards de Vrolf et Deritch avec un air grave. Vrolf reconnus un des officiers, un Capitaine d'Artillerie.

-Vebirnn. L'appela t-il.

L'homme se tourna et reconnus Vrolf immédiatement, il s'approcha et salua le Cavalier.

-Salut Vrolf, si t'est d'mandé par le Vieux Loup j'te conseil d'faire profil bas.

-J'ai vu ça. Une deuxième voix se fit entendre depuis la tente. Les insultes et reproches fusèrent entre les deux voix.

-Pourquoi ils s'engueulent ?

-Le Colonnel Doranni. Tu l'connais comme moi...

-Ah oui, je comprend. Rigola Vrolf, Deritch étouffa son propre rire.

Le Colonnel d'Artillerie Julio Ly'Doranni était un homme froid et intègre qui ne se laissait pas intimidé facilement. Ses compétences comme officier d'artillerie, son franc parler et sa répartie tranchante lui on permis d'obtenir l'amitié du Roi Fou, empêchant ses opposant politique de ralentir son parcour militaire. Cette homme dur mais juste était un très bon pédagoge et aimée de ces hommes qui le surnommais affectueusement "Le Père Canon". Celui-ci avait été le mentor de Vrolf lorsque promus Lieutenant, il fut affecté à l'artillerie, à cause de ses connaissances en métalurgie, et dû apprendre sur le tas en pleine guerre.

-Ils lui reproche quoi ?

-D'avoir perdus trop d'canons. Ils veulent qu'on récupère l'plus de canon possible, question d'argent.

-Mais Doranni ne veux pas par ce que un canon réparé à plus de risque d'explosé en tirant qu'un canon neuf.

-Je le comprend. Dit Deritch. Voir le boulet partir sur les camarades plutôt que sur l'ennemis ce n'est pas agréable. Surtout après, les officiers viennent vous voir. En colère....

Vebrinn fut étonné.

-Ouais... Mais c'pas tout. Ils veulent qu'on récupère aussi les canons d'en face... Le ton qu'il utilisa indica clairement que cela posais problème.

-Pourquoi cela créent-il de la discorde ? Demanda Deritch.

-Ils n'utilisent pas le même calibre que nous. Leurs obus sont plus gros que les notres. Ont ne peu pas les faire entrer dans la geule de nos canons. C'est comme si vous vouliez faire entrer une épée large du temps de l'Empire dans votre fourreau. Répondit Vrolf.

-En effet c'est problématique. Il fronca les sourcils de réflexion. La gestion des obus doit ajouter une charge supplémentaire pour la logistique de l'armée. Je me trompe ?

-Non l'ami, c'tout à fait ça. Fit Vebrinn. En plus, si livre les mauvais obus ça veux dire qu'on pourra pas tirer de suite. Si on peu pas tirer de suite on perd l'bataille et les camarades s'font massacré cause d'une connerie. S'prend du temps de décharger des obus.

Deritch fit oui de la tête.

-Là ils s'disputent pour savoir qu'à chier dans la soupe. Il se reprit. Enfin... Pour savoir a cause d'qui on a perdus trop d'canons. Bon, c'pas tout mais j'ai des canons à récupéré a'c mes hommes. Au plaisir d'une bière.

Il salua ses interlocuteurs et reparti d'un pas pressé. Les deux hommes le regardaient partir.

-L'accent de cet homme est vraiment comique, tout comme sa démarche.

-C'est un bon officier malgrés son language hasardeux... Et un bon compagnon de beuverie.

-Je n'en doute pas. Il devin plus sérieux. Le génrél Humback à perdu une jambe, il a inssisté pour participé aux retours de bataille. Il est fatigué mais bien présent.

-Humback ? Il était encore sur le front c'est ça ? Décidément... après les doigts et l'oeil gauche maintenant une jambe...

-La jambe Gauche. Remarqua Deritch.

Vrolf le regarda à la fois choqué et amusé.

Les hurlements céssèrent enfin. Le Colonnel Doranni sorti de la tente suivis de deux de ses officiers subbalterne. Il passa devant les deux hommes qui se mirent au garde-à-vous.

-Bonjour Capitaine Draguur, content de vous voir en vie. Très bon sabre celui que m'a envoyer votre père, passez-lui donc mes salutaions. Le général Pucelle vous attend. Dit-il d'une voix toujours aussi empreinte de gravité et d'autorité que dans les souvenirs de Vrolf. La remarque était hilarente pour lui.

-Merci mon Colonnel.

Le veille homme parti escorté de ses deux officiers.

-Je ne vous retient pas plus cher ami, bonne chance.

-Merci.

"Encore une fois ce n'est pas de chance dont j'ai besoin."

Ils se saluèrent et Vrolf parti vers la tente de commandement.

* * *

L'intérieur de la tente était obscuci par la nuit imminante. Une longue table pleine de cartes et de pions occupais le centre de l'espace disponible. Sur les cotés des étagères contenant divers objet, poches, cartes, lettres et des bouteilles d'alcool. On apercevais au fond de la tente une deuxième pièce dont dépassais des lits de camps. De chaque coté de la table trois chaises occupé en bout par le Général de brigade Humback, le visage coupé par son cache oeil noir, très fatigué malgré sa grande barbe grise. A droite le Général d'armée Kreumköl dit "L'oreille du Roi", debout allumant la lampe à huile au dessus de la table. Lorsque allumé la lumière étant réfléchie sur la table par un chapeau en métal brillant. Le plus jeune homme présent dans la tente avec Vrolf, il devais avoir la quarantaine tout au plus. Devant lui, sirotant un alcool quelconque, le Général de division Focadino qui fusillait déjà du regard Vrolf. Coupe courte et blanchatre, rasé. Bien habillé, toujours munis de son élégance habituel. Enfin, à droite devant Vrolf le Général en Chef Scheflimp dit "Le Vieux Loup", le visage dans les mains.

-Adjudant Draguur Vrolf, au rapport mon général !

Scheflimp grogna et soupira enlevant ses mains de son visage. Il portait une grande barbe et une longue moustache blanche qui parcourait tout son visage, entourant ses yeux vert fatigé et ternis par l'âge.

Kreumköl lâcha la lampe et l'acceuillis :

-Capitaine, je vous en pris asseyez-vous. Il attrapa un verre qu'il rempli avec le contenu d'une bouteille.

-Cul sec ! Dit-il en posant le verre devant la place libre sur la gauche de Vrolf.

Il ne s'assit pas mais bu le verre comme il le lui avais dit. Il regretta vite. Le verre contenais un tord boyaux au goûts esquis de pomme et de racine de Gutta, un puissant aphrodisiaque que l'on ne trouve que dans le coeur des forêts sauvages. Là ou le Mal Noir dors, sans parler des monstres qui y habitent. Le liquide le brûla de la gorge jusqu'a son estomac vide, qui devin rapidement douloureux.

-Alors, il est bon ? Demanda le général tout sourire , barbe rasé à l'exception des pattes et de la moustache. Habituellement cet homme n'était pas acceuillant et rarement bavard, préferant laisser les autres parler. C'était la première fois que Vrolf le voyais sourire de manière aussi franche.

"La situation est si critique que ça ? Ou tu me veux quelque chose ? La prudence de Tzill."

-A réarmé un impuissant mon général. Il pronnonça ses parôles avec difficultés, l'alcool lui brûlant encore la gorge.

Kreumköl rit :

-C'est bien ce que je me disait aussi, il va falloir que je le coupe avec de l'eau. Il est trop fort.

-Reschtoff je vous prie. Coupa Scheflimp agacé. Vous aurrez d'autres occasion pour parler bouteilles avec la troupe. Nous avons des affaires plus urgentes.

"Ah, une insulte. Le bal commence, armés vos bayonnettes."

-Quel est l'état de vos pertes Draguur ? Il balançait sur la table, devant Vrolf, des épaulettes de capitaine. Kreumköl lâcha un juron, la lampe ne voulais toujours pas s'allumer.

-Le Maître de guerre Blöm, Le Sergent-tireur Kranhaler, le caporal Kremind et moi-même. Le Caporal-Grenadier Ghartchi est aparemment en vie mais je ne l'ai pas vu depuis. Il pris les épaulettes et les mis en place tout en faisant son rapport. Marque de mépris non dissimulé pour le général Scheflimp. La tension était palpable.

-Et les autres corps ? Coupa séchement le général Focadino avec son accent colonial.

-Mort pour le Roi et la patrie.

-Je sais qu'il est tard et que vous ne rêvez que de votre lit mais racontez-nous je vous prie. Il désigna une chaise de la main qui tenais son verre.

Vrolf soupira et s'assit en face de Scheflimp mais se tourna vers Focadino. C'était là plus un ordre qu'une demande amicale.

-Nous avons fait face à au moins à deux-cents hommes très bien entrainné et commandé, un escadron de hussard et une batterie légère qui nous pillonnais à l'aveugle depuis une colline derrière les lignes ennemis. Le capitaine Freudralk commandais nos trois unitée comme ordonné par un message arrivé au dernier moment.

Le général Humback fusilla du regard Scheflimp, Focadino ayant toujours un peloton d'exécution à la place des yeux il fut difficile de savoir se qu'il pensais. Kreumköl en avais enfin finit avec la lampe qui lui résistait et s'assit. La lumière naissante éclairant petit à petit la table.

-Nous avons engager le combat vers 10h30 avec la troupe ennemis, une unitée d'une vongtaine d'hommes. Seuleument quelques tirs d'intimidations. A 13h00 les ennemis ont reçut des renforts d'environ quarantes hommes. Peu après le cannon a commencé à nous pillonnés à l'aveugle, au début il visait trop haut, les obus sont tous parti dans la forêt ils n'ont corrigé leurs tirs qu'a partir de 14h44.

-Ils ont mis si longtemps que ça a corrigé leurs tirs ? S'étonnat Humback.

-Oui mon général. Je soupçonne des artilleurs inexpérimenté et mal formé.

-Et ensuite ? Coupa Scheflimp.

-Le capitaine Freudralk dicida de prendre l'autre rive et d'établir une tête de pont pour ensuite d'éborder l'ennemis sur son artillerie. Notemment sur le canon qui nous tirait dessus. Moi-même et le capitaine Ourgahdser lui avons fait part des risques d'une telle opération et lui avons rappeler les ordres et votres insistance lorsque vous nous avez confier cette mission, général Focadino.

Focadino acquiesca avec son accent prononcé :

-Oui j'ai été très clair sur l'importance de cette mission.

-Comme il avais été désigné pour commander cette mission à la dernière minute nous avons tout de même optempéré. Après discussion il a été conclu que mon unité devais resté sur notre rive pour couvrir les deux autres unitées. Juste avant qu'ils ne passe le reste des renforts ennemis sont arrivé. Les deux tiers seulement parvinrent a arriver sur l'autre rive. Le reste est soit mort en tentant d'y arriver soit a fait marche arrière. Dès que Freudralk et Ourgahdser on mis pied l'ennemis a vite reculer derrière un mur de pierre surplombant le gué. Une fois les hommes positionné dans le bosqué en contre-bas les hussard ennemis on déferlé par l'ouest depuis la forêt le long de la rive. Ils les ont tous massacré...

Tous les généraux furent mal à l'aise. Humback coupa le silence avant qu'il ne s'installe :

-Aaah, cela me fait de la peine. Ourgahdser était un homme de valeur.

-Il serais en vie si vous les aviez soutenue contre la cavalerie ennemis Capitaine. s'énerva Scheflimp.

"Dit le général planqué dans sa tente de commandement, loin du front. Saloperie d'officier de canapé"

-Ainsi mon général nous serions tous mort et vous seriez prisonnier a l'heure ou nous parlons. De plus je ne suis pas responssable de l'incompétence notoire du capitaine Freudralk. Vrolf s'énerva a son tour.

-N'oubliez pas votre grade capitaine ! Je ne tolèrerais pas vos débordement ce soir ! Il est clair que vous êtes responssable de ces pertes. Votre couardise vous rend directement responssable.

"Ma couardise ?! Il est gonflé"

-Mon général je ne suis pas responssable de la vie des hommes des autres corps. Le Capitaine Freudralk à décidé de passer le gué et c'est ainsi mis en danger lui et les hommes qui l'accompagnais. De plus tout le monde savais que vous ne portiez pas spécialement le capitaine Ourgahdser en haute estime.

-LA C'EST TROP, VOUS...

-Sa suffit Emer. Coupa Focadino. Capitaine Draguur, de qui venais l'ordre de changement de commandement pour cette mission ?

-Je ne sais pas, le capitaine a bien reçut un message mais ni moi ni le capitaine Ourgahdser n'avons pu le lire.

-A quellle heure est arrivé le message ? demanda Kreumköl.

Vrolf réfléchie.

-Vers midi mon général.

-Un homme petit et large ? Moustache blonde et des tresses devant les oreilles ?

-Oui mon général c'est bien ça. Vrolf fut quelque peu étonné.

Le regard de Focadino se tourna vers Scheflimp :

-Je commence à comprendre comment cet imbécile a pu devenir capitaine si vite.

Tous savais que c'était lui qui avais donner l'ordre mais il leurs serait impossible de le prouver devant une cours de justice militaire, on ne juge pas un général. Quand bien même, Le vieux Loup était compétant, le Roi refuserait de s'en séparer pour quelques "bavures".

Kreumköl coupa le silence :

-Quoi qu'il en soit, incompétant ou non, vous n'aurriez rien pu faire de plus. Vous avez combattu le Capitaine Jugar Dreumllofël du 9ème d'infanterie royal de Tönmek et le Colonnel mercenaire Gulkër Hömbrük.

-Hömbrük, Vraiment ?

Kreumkol le regarda, l'expression de Vrolf disait quelque chose qui l'intriguais.

-Quelque chose vous dérange Capitaine ?

-C'est que... Le Colonnel Hömbrük est mort au combat. Le Sergent-tireur Kranhaler l'a abattu avant qu'il ne retourne dans le bois, en pleine tête. Il est au mileux du charnier au moment ou nous parlons.

Tous furent choqué de cette nouvelle. Scheflimp soupira :

-Moi qui comptais l'engager pour patrouiller le pays...

-Je craind Emer que la guerre ne soit terminé. Après cette défaite le Prince Gurvald et ses alliés risque de demander une trêve. J'aimerais bien voir sa tête, à l'idée qu'il va surement devoir renoncé a tout ses titres pour la garder.

Focadino ajouta :

-Oui, le Roi Fou tolèrera que les petits seigneurs gardent une partie de leurs biens mais Gurvald va tout perdre. Tant mieux, cet abrutis cupide n'a que ce qu'il mérite. Il bu une gorgée.

Ensuite, Poursuivis Vrolf, nous avons repoussés trois assauts d'infanterie.

Humback soupira:

- Je comprend mieux vos pertes...

-Ce sera tout Capitaine. Vous pouvez disposer. Ordonna Humbak.

Vrolf se releva péniblement les salua et repartit.

Deritch l'attendais toujours là ou il l'avais laissé. Il s'approcha :

-Alors ? Pas trop de mitrailles dans les trippes ?

-Je crois que le Vieux Loup n'est plus sous le regard de Valienni. Par contre "l'autre" m'incquiète.

-C'est-à-dire ?

-Je ne l'ai jamais vu aussi acceuillant.

-Il vous a fait goûté sa fameuse bouteille ?

-Malheureusement...

-Ah, quand on parle du Loup.

Vrolf se retourna et vit Kreumkol sortant de la tente marchant vers lui, Deritch avais disparut comme un Gnorrol.

-Capitaine, l'armée va resté ici deux semaines pour repos. Vous ne resterez qu'une semaine. Au rapport dans ma tente demain soir. Il lui tendit un pacquet de tissu conséquent. C'est un gâteau de boeuf, ça tarrira la brûlure de Gutta. Sa voix était sérieuse et son visage fermé.

-Bien compris mon général. Il pris le pacquet et repartit péniblement, l'ouvrant.

"Encore une mission spéciale pour le Roi Fou... éh mais il est bon son gateau de boeuf ! "

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