HK - Description général
Note : Ce travail est intimement lié au projet sur lequel je travaillais, il ne peut être réutilisé ailleurs sans effectuer de profondes modifications. Elles seront faites dès que possible.
Note : Les modifications ont été faites.
<< De l'autre rive les Dieux nous regardent, de l'autre rive nous les regardons.
Un pont il nous faut construire pour les rejoindre.
Alors le monde des Harnku-Kronk et le monde des Dieux ne feront qu'un.
Enfin nous connaîtront le bonheur de Khazika.
Alors les Khuza-Kronk verrons leurs erreurs.
Enfin les immondices qui parasitent l'univers serons purgés.
Alors nous connaîtrons le Paradis de Khazika.>>
Prophétie de Galark Urnk-Koroz, IVème Grand Illuminé des Dieux, dit le Grand Marmonneur.
Les Harnku-Kronk ou *Nains (Kronk) Bénis des Dieux (Harnku)* sont les Nains qui suivent la vois des Dieux perdus, les *Lokda*, qui n'est qu'en vérité que le Néant. Un sous-univers parallèle peuplé de la démence des êtres intelligents et sensibles. Cette démence est consciente et cherche à venir dans le monde réel.
Ils trouvèrent des Résidus du Néants, une poudre noirâtre qu'ils nomment *Lokda-Limku* (Poudre des Dieux/Essence des Dieux), qu'ils consomment comme drogue.
Transformé et consommé de manière différente, parfois pure, selon ce qu'ils souhaitent momentanément booster leurs capacités physiques, cognitive ou simplement comme une drogue de loisir.
Cette absorption permit au Néant de manipuler petit à petit les Kronk en commençant par les poussés à consommer de plus en plus de Lokda-Limku.
Plus ils en consommaient plus le Néant avait du pouvoir sur eux. Au fil des générations cette substance devin l'élément central de leur culture au point que la culture traditionnelle fut totalement abandonnée.
Elle fut remplacée par une religion exclusivement tourné autour du Lokda-Limku, le Néant s'assura alors le contrôle de la majorité de l'espèce.
Ce culte repose sur les écrits de Khazika, prêtre traditionnel de très grande éloquence, qui se mit à consommer des doses massives du Lokda-Limku sous forme d'encens et d'infusion.
Ils devinrent la marionnette du Néant, le poussant à créer une nouvelle religion basée sur la substance.
La guerre religieuse qui suivit provoqua la scission de l'espèce déjà fortement divisé suite à la chute de leurs Empire stellaire.
Les Harnku-Kronk sont extrêmement pieux, à la recherche du Bonheur de Khazika qu'ils ne peuvent trouver que s'ils créent le Paradis de Khazika.
C'est-à-dire faire des deux mondes, celui des mortels et le Néant, qu'un seul et même monde. Alors ils connaîtront l'illumination, la plénitude totale et le salut de leurs âmes.
Bien qu'ils vouent une certaine haine envers les Khuza-Kronk (ceux qui n'ont pas succombé aux délires de Khazika) de leurs refus de la vérité des Dieux, ils les considèrent tout de même comme leurs frères et sœurs et cherchent à sauver leurs âmes malgré leurs propos et leurs comportements blasphématoires.
Contrairement à leurs frères ils abhorrent les implants cybernétiques et autres prothèses, prêchant la pureté du corps et de l'âme. Cependant ils tolèrent les prothèses à la condition que cela ne soit que des bras et jambes simples sans autre élément inclus dedans (arme, outil, ect) et que la perte du membre soit du fait d'un accident ou une perte au combat et non une volonté cybernétique.
Ils préféreront plutôt recourir à des techniques de repousse biologique bien qu'ils soient obligés de faire appel aux services d'autres espèces, ne maîtrisant pas eux-mêmes une telle technologie.
Bien que fanatiques et méprisant les autres formes de vie qu'ils considèrent comme des parasites spoliant un univers qui leur revient de droit (Sur ce point le Néant ne put rien faire, la xénophobie et l’opiniâtreté naturelles des Nains n'étant pas une légende) ils n'en sont pas moins capables de retenir leurs pensées religieuses et de commercer avec presque toutes les espèces qu'ils croisent.
Se sont, comme tous les Nains, de très bons marchands et des explorateurs méthodiques. Ces deux traits leurs étant indispensables pour trouver les rares gisement de Lokda-Limku se trouvant le plus souvent sous les océans à plusieurs kilomètres de distance de la surface.
En effet, le Résidu du Néant à la caractéristique d'être anormalement attiré par le noyau des planètes, qu'elles soient telluriques ou gazeuses. Dans ce dernier cas l'extraction pouvant devenir impossible sans l'aide d'espèces technologiquement bien plus avancées ou de formes de vie gazeuses ET intelligentes. Ces créatures ayant cependant une neuropsychologie radicalement différente des êtres venant des astres froids solides, ceci compliquant grandement les négociations.
Cependant une molécule, grain ou gaz cela dépend de la pureté du Lokda-Limku, met plusieurs milliards d'années à passer de la surface d'une planète à son noyau. D’ailleurs personne ne sait pourquoi le Lokda-Limku est attiré de cette manière ni quel effet il pourrait avoir sur une planète si une quantité importante en atteignait le centre.
Les Harnku-Kronk ont cependant grandement développé leurs connaissances en chimie moléculaire, créant des substances ayant rôle de catalyseur pour le Résidu, décuplant de manière significative la liaison avec le Néant. Cela permet une économie non négligeable de Lokda-Limku bien que les effets secondaires psychotropes du catalyseur altèrent la compréhension finale des ordres et messages que le Néant insinue dans l’esprit des drogués. Bien sûr ils en ont conscience et cherchent à pallier cet effet secondaire ou à le remplacer par un élément tout aussi efficace mais ayant des répercutions moins gênantes. Leurs chimistes spécialisés dans le Lokda-Limku deviennent complètement fous lorsqu’ils entendent parler d’une nouvelle substance inconnue.
Le fait est que les Harnku-Kronk possèdent un niveau scientifique en chimie qui est de loin très supérieur à la moyenne des espèces connus. Ils ont presque atteint les limites que permettent les lois de la physique dans ce domaine. Les Harnku-Kronk sont la 3ème espèce à avoir la plus grande connaissance dans ce domaine.
Comparativement, le reste de leurs avancées scientifiques sont très en retard par rapport à leur maîtrise en chimie moléculaire. Normalement tous les pans de recherche d’une espèce évoluent parallèlement et à des vitesses relativement similaires. Cette sur-compétence est de fait considéré comme une aberration logique par les autres espèces suffisamment évoluées pour s’en rendre compte. Cela s’explique, encore une fois, par l’influence du Néant.
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Organisation Civile :
L’organisation civile des Harnku-Kronk se concentre autour de deux axes : La vie familiale et religieuse et le support industriel nécessaire à l’armée.
Contrairement à la culture traditionnelle les Harnku-Kronk sont beaucoup plus volages. Bien que le mariage reste une institution des plus sacrées, celui-ci n’a pas forcément le même sens que dans d’autres cultures. Les relations extra-conjugales sont interdites jusque à l’adolescence du troisième enfant. À partir de là, le couple est partiellement libéré du contrat marital. En effet ils doivent répondre à leurs devoirs familiaux notamment à l’égard de leurs enfants. Ainsi le repas familial de la mi-journée ou du soir doit, sauf cas professionnel ou médical, se faire en famille complète au moins une fois tous les 4 jours. Le plus souvent est fortement conseillé. Cette loi religieuse vient d’un effet secondaire du Lokda-Limku : La substance décuple de manière significative la libido de l’espèce. Les Harnku-Kronk tout comme le Néant tentent de pallier cet effet secondaire inattendu. Il n’est d’ailleurs pas rare que des cérémonies religieuses finissent en orgie. Certaines peuvent même devenir incontrôlables et se répandre comme un virus dans toute une cité et dans de très rares cas sur toute la planète.
C’est pour cette raison que les Harnku-Kronk sont devenus des spécialistes en contraceptifs, sans quoi ils subiraient des famines à répétition dues à une démographie délirante. Malgré cela le taux de natalité reste très élevé, ils ont donc organisé leurs armées en profitant de l’apport massif de Kronk.
Organisation Militaire :
Militairement les Harnku-Kronk utilisent un mixte d’armées de masse équipé de manière standard ou aléatoire et d’unités d’élite très bien équipées et entraînées. Leur équipement, du fusil d’infanterie au canon-automoteur d’artillerie lourde en passant par leurs aéronefs sont de bonne facture bien que leur production soit retardée par des processus de « bénédiction » sur chaque composant ou produit intervenant dans les process industriels. Voire sur les outils et machines-outils parfois même pièces par pièces.
Ce faisant leurs véhicules sont moins nombreux dans leurs unités comparativement aux armées des autres races mais sont cependant très bien conçus. De la maintenance du moteur à l’agencement du canon par rapport aux munitions dans l’habitacle d’un véhicule, par exemple. La présence d’un char de ligne (équivalent au MBT) même seul et isolé de son unité se fait clairement sentir sur le champ de bataille. Les pilotes de leurs aéronefs et spationefs (souvent les mêmes selon la dotation de l’unité en véhicule spécialisé ou multi-environnement) sont considérés comme des Chevaliers Saints et vénérés par la population. Craints et détestés par les autres races les ayant combattus. Il y a beaucoup d’engouement chez les jeunes Kronk à devenir pilote. La formation est cependant rude et sélective sans parler de la dimension religieuse.
Les armées de masse ou d’attaque par saturation sont divisées en trois groupes distinct :
-Les Armées Sacrées : Masse de civils zélés équipés de manière diverse et dirigé par des ecclésiastiques particulièrement fanatiques. Ceux-ci sont souvent manipulés pour qu’ils rejoignent ce type d’organisation afin de laisser les sièges politiques important à des individus plus pragmatiques qui ne seront pas aveuglés par leur foi. Ses troupes irrégulières fonctionnent de la même manière que des foules enragées. Leurs stratégies et tactiques sont très simples à comprendre :
YULDU F’DARL, UNKI’ROH LOKDA !!! GARAZ !!!
Purgez les hérétiques, pour les dieux perdus !!! Chargez !!!
-La Ligne : Armée régulière des Harnku-Kronk, militaires professionnels, ils disposent d’un matériel standard et d’une formation militaire qualitative. Chaque Ligne est l’armée issue de la population d’une planète ou d’un secteur et est marquée par sa culture locale dans son équipement et ses tactiques. Les officiers de la Ligne sont des gens compétents, diplômés des écoles de guerre de leurs mondes, certaines étant plus réputées que d’autres. Il arrive que des éléments du rang prouvent leurs compétences sur le terrain et soient donc acceptés comme officiers. Ils suivent alors une formation spéciale dans les écoles de guerres.
Nombreux sont ceux qui ont sous-estimé ces Nains, les considérant comme des fanatiques aveugles, à en avoir payé le prix fort. Ils sont équipés d’armures de combat standard facilement modifiables. La doctrine veut que les Dieux Perdus soufflent aux plus saints d’entre eux les idées qui leurs permettront d’améliorer leurs armes et armures de manière efficiente. Bien que ce principe (bien plus réel qu’il n’y paraît) s’adresse à la société en général il est beaucoup répété dans les milieux militaro-industriels (armées, usines, chantiers naval, ect...) ou son utilité psychologique n’est plus à prouver dans les cas où le Néant n’est pas intervenu. La vérité est que les Nains, vénérant ou non le Néant, ont toujours été des bricoleurs. Pourquoi vouloir brider leurs capacités à créer de nouvelles armes et armures efficientes ?
Les autorités religieuses passent donc souvent en revue l’équipement modifié à la recherche de nouvelles technologies, le tout sous couvert de recherche de soldat bénis (surtout les modifications qu’ils ont apportées à leurs équipements que les individus eux même) ou d’idée résultant de pensés hérétique. Ce dernier cas étant surtout là pour des raisons de stabilité politique : Que diraient les soldats s'il n’y avait jamais de preuves d’individus ayant eu, volontairement ou non, des idées impies ? Ce système fut mis en place suite à la révolte d’une Ligne qui subissait le carriérisme politique des officiers tant militaires que religieux. Les soldats étaient déclarés Bénis ou Corrompus en fonction des jeux de pouvoirs locaux. La purge qui suivit dans de nombreuses Ligne fut sanglante, le Gouvernement Central ayant été terrorisé à l’idée qu’une Ligne en révolte justifiée puisse créer une scission tel que celui qui détruisit l’ancien Empire Nain, ce qui aurait pu être vrai dans cette situation.
Cependant ce phénomène religieux est plus ou moins élevé, voire presque inexistant dans certains cas, selon le monde d’origine de chaque Ligne.
Le nom de la Ligne vient d’une des légendes des pléthoriques premiers guerriers saints, militaires professionnels au moment des faits, qui ont formé une ligne pour protéger Khazika durant une bataille urbaine particulièrement sanglante face à des unités d’élite moins nombreuse mais très efficaces. Ceux-ci sacrifièrent leurs vies pour protéger le Prophète dont le nom allait rentrer dans l’histoire des Kronk.
Les Ligne disposent de leurs propres groupes armés (Infanterie, Mécanisé, Aérien, et Naval) qui coopèrent entre eux avec plus ou moins de facilité du fait d’histoires internes aux Lignes et des relations historiques entre elles.
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-Unités disciplinaires et Groupes de rédemption :
Bien que l’on puisse se dire que les Unités disciplinaires et les groupes de Rédemption soient les mêmes choses mais avec deux noms différents la vérité est toute autre. Ces unités sont administrativement identiques, origine de l’incohérence classique des observateurs extérieurs.
Les Unités Disciplinaires ou Xior-Yorka sont formées (théoriquement) exclusivement de militaires d’une ou plusieurs Lignes et en de rares cas d’éléments de la Garde du Pont. Comme son nom l’indique cette formation est formée des éléments ayant défié, à tort ou à raison, la hiérarchie militaire, étant coupables de larcins voire de crimes de gravité intermédiaire ou inférieure.
Les Kronks qui composent ces unités sont dotés de puces de localisation connectées directement au système nerveux d’où elles tirent l’énergie nécessaire à leur fonctionnement. Elles sont installées à la jonction entre la colonne vertébrale et le cerveau, impossible à retirer avec des techniques classiques sans tuer ou gravement endommager le cerveau de l’individu le transformant généralement en légume. Les Nains qui commandent ces unités sont des officiers disgraciés ou ayant commis un acte apportant la honte sur leurs familles. Ils sont alors répudiés par les leurs et enregistrés dans l’administration comme disparus ou morts au combat, leur existence est purement et simplement effacée. Les familles se permettent tout de même d’effectuer les rites funéraires en mémoire de l’enfant perdu ce qu'aucun prêtre ne pourrait refuser quel que soit l’infamie dont l’individu est coupable. Il arrive qu'il n'y ait pas d'officier de ce type disponible, alors le poste est proposé aux gradés de terrain pour une durée limitée avec des avantages divers comme compensation pour le déshonneur de servir dans une Xior-Yroka.
Les Unités disciplinaires sont désignées volontaires pour la première ligne spécifiquement là ou l’État-Major estime que les combats seront les plus sanglants ou pour les missions sans retour. Il arrive cependant que certaines unités survivent à ce type de mission, parfois dans des conditions et situations où même les Gardiens, pourtant bien mieux équipés et entraînés, estimeraient ne pas pouvoir survivre aussi longtemps. Il existe même des unités disciplinaires qualifiées de « intuables » qui deviennent des troupes de choc dont les généraux des Lignes ne veulent pas se séparer, ces dernières désespèrent les Officiers Supérieurs Disciplinaires et représentants des Lokda qui ne trouvent plus de mission suffisamment difficile pour que ces rebuts de la société finissent par expurger leurs crimes. Ils effectuent aussi les missions d’abordage durant les combats dans le vide, certaines de ces unités sont d’ailleurs spécialisées dans ce domaine. Les plus performants prennent le contrôle des vaisseaux, surprenant les Amiraux alliés comme ennemis parfois dans des moments critiques.
Une guerre fut spécialement déclarée contre une race militairement beaucoup plus puissante que l’Empire Harnku-Kronk à cause de l'une de ces unités. Ils finirent par conquérir la moitié du territoire de ce voisin grâce à cette unique Unité. De désespoir et humiliés, plusieurs membres de l’État-Major ce suicidèrent quelques mois après. Cette escouade et quelques autres du même acabit furent reformées en Sainte Unité de Purification (Dahack Xior-Yuldu). Elles ne dépendent plus des Lignes mais de l’Ecclesiarchie et plus spécialement d’une branche que de nombreux étrangers alien comme Nains nomment « Inquisition ». Il arrive cependant que certaines Unités Disciplinaire fassent preuve d’actes courageux ou honorables, lavant leurs crimes et leurs permettant de réintégrer une Ligne ou la vie civile selon les cas.
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-Les Groupes de Rédemption eux sont composés de bagnards civils et de volontaires des deux sociétés qui estiment devoir nettoyer leurs âmes dans le sang des êtres inférieurs, des démons et autres impies. Ils sont dirigés par des Prêtres-Guerriers (Hof ner Dahack, comprendre "Prêtre de Guerre" ou "Prêtre de bataille") très compatissants et attentifs du bien-être spirituel de ceux qui sont désormais momentanément sous leur responsabilité. Toutefois ils savent être sévères et peuvent installer une discipline draconienne parfois pire que dans les Unités Disciplinaires selon la composition du groupe dont ils ont la charge. Contrairement aux Armées Sacrées ils ne font pas de charges irréfléchies, ils restent constamment en contact avec la chaîne de commandement des Lignes et agissent comme une unité lambda. Ces unités sont équipées par l’Ecclesiarchie, leurs équipements bien que standardisés diffèrent de celui que l’on trouve dans les Lignes mais est de même facture. L’équipement personnel y est toléré étant donné que ces membres sont là pour leurs âmes et non pour purger une peine (en dehors des bagnards). L’unité suit l’entraînement minimum standard des gardes des Temples et des lieux sous autorité religieuse. Chaque membre est soigné si cela est jugé nécessaire ou envoyé dans une unité logistique loin du front si l’individu n’est pas apte au combat même après intervention médicale. Il existe bien des chemins menant à la Rédemption.
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Il existe de nombreuses unités d’élite dans l’Empire Harnku-Kronk, la différence entre ces unités réside dans leur allégeance soit aux Lignes auxquelles elles sont propres soit à l’Ecclésiarchie quel que soit la branche exacte. Dans ce cas elles sont toutes regroupées sous une appellation administrative : Les Guerriers Saint.
Ceux-ci disposent de leur propre flotte de guerre et sont séparées en deux groupes distincts, la Légion de Galark étant une exception :
-Les Gardiens du Pont :
Les Gardiens du Pont sont des unités d’élite qui ont la charge de la protection des lieux sacrées ou d’importance stratégique, de la protection des individus de grande importance et de l’extermination des aliens ayant pénétré dans le territoire de l’Empire.
Saints parmi les Saints ils sont équipés avec le meilleur équipement que l’Empire peut leur fournir, prototypes fonctionnels inclus. Ils sont parés pour toutes les missions et toutes les situations tant du point de vue matériel que de celui de leur entraînement. Leurs membres sont des Guerriers exceptionnels repérés le plus souvent par l’Inquisition. Comme toutes les unités d’élite ils sont souvent drogués au Lokda-Limku à un niveau de pureté élevé mais jamais pur. Leurs membres peuvent rejoindre la Légion de Galark sous certaines conditions.
- Vengeurs de Khazika :
Si les Gardiens du Pont sont là pour défendre le territoire de l’Empire et assurent sa pureté les Vengeurs de Khazika ont une philosophie totalement opposée. Bien qu'équipés et entraînés de manière identique les Vengeurs de Khazika sont là pour exterminer les aliens et les démons au cœur de leurs foyers, en dehors des frontières de l’Empire. Ils sont généralement marqués par une fureur et une rage qui ne les quittent pas même loin des combats et qui se ressent dans leurs tactiques et stratégies, agressives à l’extrême. Là où les Gardiens sont très organisés et disciplinés les Vengeurs disposent d’une organisation minimum inférieure même à celle des Lignes. Au sol ou dans le vide ils sont un fer de lance inarrêtable qui crée invariablement une brèche dans les lignes ennemies. Derrière eux la masse de soldats s’engouffre dans la brèche et brise la formation adverse.
Évidemment ils effectuent aussi des missions spéciales en tous genre ou ils sont capables, avec l’aide du Néant, d’un calme qui contraste de manière dérangeante avec leurs attitude habituelle. Comme toutes les unités d’élite ils sont souvent drogués au Lokda-Limku à un niveau de pureté élevé mais jamais pur. Leurs membres peuvent rejoindre la Légion de Galark sous certaines conditions.
-La Légion de Galark le marmonneur nommée la Légion de Galark ou plus simplement La Légion est une petite armée d’élite ayant pour tâche sacrée la protection du Grand Illuminé, la plus haute autorité de l’Empire Harnku-Kronk, l’Empereur en somme. Celle-ci fut créée par Galark face à une corruption grandissante dans l’ancienne garde prétorienne tout à fait disposée à l’assassiner sur ordre d’un autre politicien ecclésiastique ou non, moyennant payement.
La Légion est composée de Fanatiques presque constamment drogués au Lokda-Limku pur. Le Néant s’assurant alors de leur totale dévotion afin de garder l’Empire stable politiquement. Équilibre qui est vital aux objectifs du Néant. Celui-ci leurs accorde parfois des modifications génétiques contrôlées améliorant de manière significative leur force, vitesse, vue, ouïe, capacités cognitives, résistance aux poisons et toxines, ou encore des mutations aussi visibles que monstrueuses. Le Néant agit aussi sur leur matériel, armes et armures, de différentes manières parfois au mépris des lois de la physique. Tout ceci fait que les Légionnaires sont plus des créatures du Néant que des Nains en plus d’être particulièrement difficiles à tuer. Cette vérité est cachée à la population et à la grande majorité des individus proches du pouvoir, en position de le convoiter ou non. Ponctuellement, certaines personnes de pouvoir ou des individus qui posent trop de questions disparaissent mystérieusement.
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