Y - Brouillon - Dicta Liu Quang 1

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Liu Quang

L’Empire Yenlei se nomme « Dicta Liu Quang » (Boshu’da Liu Quang) en mémoire du 1er empereur Liu Quang dit « n’a qu’une langue » (Sho Bu’Niè Pudao), « Le Juste » (Futi’Muo) ou encore « L’Unificateur ». (Yenlei’Buogu ou Yenlei Boshu’da) Celui-ci unifia toute l’espèce en un seul Empire suite à des évènements plus ou moins sanglant. A cette époque les Yenlei venais de découvrir la poudre à canon et commençait à peine à comprendre qu’elle pouvait avoir une utilisation militaire. L’Empereur Liu Quang, avant l’unification, avais massivement investit dans la recherche voyant le potentiel de destruction dont la poudre était capable suite à l’explosion d’un entrepôt en ville.

L’unification se fit en une suite de jeux de pouvoir et d’alliances tantôt respecté tantôt rompus selon les intérêts à court ou long terme, mêlés de guerres sanglantes et d’histoire d’extermination de citées refusant de se rendre. De l’autre côté L’Empereur réformât en profondeur la société Yenlei abolissant le servage et l’esclavagisme entre autres, finançant des travaux d’aménagement divers allant de l’assèchement de marais pour en faire des champs afin de nourrir la population à la construction d’habitations digne pour les gens les plus pauvres et d’hôpitaux publique.

Il réformât l’économie abolissant de nombreuses taxes, dont par exemple une taxe dite de « cuissage » qui avais tendance à énerver les familles, créant un système plus juste et équilibré. Tous les seigneurs qui firent mine de se rebeller furent rapidement rappeler à l’ordre lorsque certains d’entre eux furent décapité, nue et crête rasée, sur la place publique. Il était hors de question pour Liu Quang de revenir à l’époque des Royaumes Rivaux. Il commença ses réformes avant l’unification dans les territoires qu’il possédait, les population paysannes des royaumes voisins se révoltais parfois souhaitant que leur seigneur prenne exemple sur Liu Quang.

Certaines de ses révoltes, quand elles ne finissaient pas en bain de sang de paysans, réussir et les chefs de ses révoltes, tout de suite ou après avoir compris ce que veut dire « Gouverner », demandèrent à pouvoir juré allégeance à Liu Quang et devenir ses sujets. Ceci créant des situations politiques complexe débouchant sur des guerres, Liu Quang étant souvent accusé d’avoir fomenté la révolte pour voler le territoire du seigneur voisin.

En plus de cela il investit aussi dans la recherche tous secteurs confondus, finançant ou récompensant grassement les recherches et inventions des divers personnes qui venait lui soumettre leur création ou leurs idées. Il créa des écoles d’ingénieur qui existent encore aujourd’hui. Il mit aussi en place des écoles publique pour instruire la population en plus de nombreux services publiques tel que des hôpitaux.

Une fois l’espèce unifié le règne de Liu Quang annonça un âge d’or pour les Yenlei nommé « L’Ère Liu Quang » bien que cette ère durât encore bien après la mort de celui-ci. Il écrit notamment un livre traitant sur la manière de géré et de réformé un système de façons à ce que le système soit équilibré, ce livre se nomme « De l’art de Gouverner ». Ce n’est pas le seul livre que Liu Quang est écrit : philosophe, poète, ingénieur et juriste celui-ci a écrit bon nombre d’œuvres aux sujets variés.

D'après divers spécialistes si Homo sapiens a eu Jésus Christ les Yenlei ont eu Liu Quang. En effet celui-ci est vénéré pour sa sagesse, sa spiritualité et son intelligence qui foudroyais les esprits de ses contemporains. Cependant il détestait que les populations lui donne des pouvoirs qu'il n'avait pas.

Connus pour guérir des maladies considérées comme incurable, entre autres une affection ressemblant à la lèpre, miracles qui était alors publique. Un jour dans une taverne un Yenlei eu le malheur de dire sur le ton de la plaisanterie que Liu Quang pouvait ramener les morts à la vie. Des gens passages sur une table voisine entendirent ses mots mais ne comprirent pas qu'il s'agissait d'une plaisanterie. La rumeur se rependit comme un feu de brousse.

En l'apprenant Liu Quang devint fou de rage face à la bêtise et la superstition du peuple. Il descendît de son palais et alla sur la première place de la ville à l'heure où il y avait le plus de monde. Il demanda poliment au crieur public de lui laisser la place sur l'estrade. Les gardes qui ne l'avaient pas reconnu lui intimèrent poliment de partir, ses beaux vêtements de noble ne lui épargnerais pas le cachot. Le crieur public descendit et devant les escaliers se courbas et dit à la grande surprise des gardes « C'est un honneur ô Empereur ». Il montât sur l'estrade et expliqua, non sans colère, que cette rumeur était fausse et relevais de phantasmes malsain. Plus personne n'en parla.

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