Tout commence par quelques accords de guitare. Une mélodie douce, joué par un sac d'os aussi bien structuré qu'étrangement anormal. Une petite fille, cheveux long et tombant sur son visage inconnu, une longue robe blanche couvrant tout son corps et ne laissant apparaître que ces bras blanchâtres. Elle s'approche du micro fait d'os lui-même. Voilà qu'une douce voix angéliquement démoniaque accompagne le doux sort lancé par la guitare. La salle, vide, se rempli soudain de chaire, de cadavre, de corps en décomposition. Leurs danse magnifiquement réalisé font un étrange contraste avec leurs apparence disgracieuses. bas les masques, voilà le bal. Le bal du mal, le bal du diable.

La mort fait son entrée, la salle se tais. Plus un bruit. Les yeux rouges de la mort luise sous sa capuche. Un étonnant cri de ténors marque la fin de la douce musique et marque l'entrée d'une armée de petits démons, chacun armée d'un instruments d'orchestre. Le bal reprend et le mal s'installe. Le trône, rester vide d'empereur depuis le début des festivités, accueille maintenant le roi des abysses. Géant à tête de bouc a cinq cornes, queue de serpent et sabots pour pied, visages cousus ensemble et porté comme pourpoint. La fête bas son plein et à chaque mort rejoignant le bal c'est un vivant qui tombe. Bientôt le monde dansera.