- Avez vous passé une bonne journée ?

- Oui, je te remercie et toi comment s'est passé ta journée ?

- Ca a été je vous emercie. Je parlerais d'Ema à l'oyabun après le repas.

- Je vois...

Je redoutais que mon père, ne me convoque juste après ça, mais j'essayais de ne pas y penser. Je discutais de ma journée avec Kazuma, avant que l'heure du dîner arrive. Nous nous dirigeames ensuite vers la salle de restauation ou chacun s'assit à sa table. Kazuma alla près de Mahiru et de Kai. Je m'installais près de mon frère, ne lui adressant pas de regardant, me disant qu'il devais être en fâché de ce qui c'était passer avec Irène. Pourtant, il ne semblait pas fâché, il avait cette même expression que d'ordinaire. Ça me paraissait étrange, comme si rien ne c'était passer, je regardais en sa direction, il n'avais pas l'air d'avoir la moindre animosité a mon égard. Maman nous rejoint ensuite et nous informa du retard de notre père. Cela piqua ma curiosité, notre père n'avais jusqu'à présent jamais été en retard à un repas. Je regardais ma mère interloquée.

- Rien d'important il a une réunion.

Rien d'alarmant donc, je regardais mon frère, lui ne semblais s'en soucier d'en aucune manière, au bout de quelques minutes, mon père arriva dans la salle où tout le monde était déjà attablés. Je regardais mon frère partir de nouveau de la pièce, un léger soupir s'échappa de ma bouche, réalisant que la situation empirait :

- Ryuji...

Mon père se joignit à mon soupir bien qu'il devait avoir une origine différente. J'eus finis de dinerpeu de temps après et alla dans ma chambre. Kazuma était encore à table et, bien qu'étant mon garde du corps, il prenait autant de temps que nécessaire lors de ces "temps libre" ou lorsque mon père décidait de lui confier une mission. Je comprenais qu'il ne reste pas à mes coté sans arrêt. Je n'étais plus une petite enfant et mes absences du clan avait du l'habituer à d'autres agissements. Je retournais dans ma chambre. Je regardais la chambre de mon frère au loins, un autre soupire s'extirpais de ma bouche et j'entrais dans chambre, me laissa tomber sur mon lit, me demandant si la situation allait continuer ainsi. Les disputes de mes parents reprenais chaque soir sur ce sujet là, mon père finissais toujours par marmonner quelque chose à ma mère qui lui faisait une réflexion.

Surtout, je pensais aussi à une chose, je ne garderais Ryuji une fois que j'aurais pris la tête du clan, mais il ne voudra sûrement pas resté, ce qui était également réconfortant. Je devais me concentrer sur pourquoi j'étais rentrer à la base, ça ne me servirais à rien de rester à me morfondre. Mon père ne semblait pas enclin à me léguer notre famille, mais je ne renonçais pas. Il pouvait également choisir l'un des membres, mais je ne comprenais pas pourquoi il pensait que Ryuji en était digne et pas moi.

Certainement que le fait que je sois une fille, ne lui plaisait pas et que mon frère prenne la succession perpétue notre réputation et notre nom. Oubliant les traditions de notre succession du fait que l'aîné doivent prendre la lignée. Lui qui me prenais pour une enfant ça me mettais en rogne. Aussi, lorsqu'il me convoqua plus tard pour me parler du clan, je fus surprise.

Après qu'il m'est autorisé à entré dans son bureau, j'entrais donc et attendais qu'il m'explique de quoi il voulais me parler précisément, surtout venant de lui cela me rendais très curieuse. Il me demanda tout d'abord si mon idée de reprendre notre famille était encore d'actualité, et je lui affirma que oui, c'était une décision que j'avais étudié longuement. - Je suis surpris que tu portes tant d'importance à notre famille même si tu l'a moins connu que ton frère, et puisque tu souhaites toujours être utile à notre clan, j'ai quelque chose à te proposer.

Sa dernière phrase, m'énervait un tantinet mais je restais calme en le regardant et lui répondit :

- De quoi s'agit-il ?

- Nous allons recevoir l'oyabun du clan Dotaï et son fils. J'ai demandé à Ryuji de s occuper de lui et je sais qu'il le fera. Mais, j'aimerais que tu t'occupes aussi de l'accueillir. C'est un garçon de vôtre âge : Sorata.

- D'accord c'est entendu. Ça devait être l'alliance dont il parlais depuis quelque mois déjà.

- Ils arriveront dans la semaine.

- D'accord Après cette discussion, je pus quitter son bureau pour retourner dans ma chambre, je m'empressai de noter cela dans mon journal, pour moi cette discussion était une grande avancé sur ce que j'espérais. Il m'avait compter comme membre du clan et avait souligné que je m'y intéressais plus que Ryuji, je souhaitais alors qu'il comprenne ma démarche et l'accepte. J'allais continuer sur cette lancée pour qu'enfin il comprenne a quelle point j'étais sérieuse. Ainsi, lorsque Sorata et son père arrivèrent, ce qui se produisit un week-end, Ryuji et moi étions dans notre cour avec maman et papa. Le rugissement de leur voiture devint un ronronnement puis disparu dans l'air avant que deux hommes n'en sortent. J'avais discuter de la venue des membres du clan Dotai, avec mon frère, qui avait rechigner quand j'en avais parler. Je pensais d'abord que c'était parce que mon père lui avait demander de l'accueillir, ce qui était en contradiction avec ses paroles : "Je sais qu'il le fera". Je compris plus tard, que Ryuji avait du ouïr des rumeurs sur leur clan avant leur venue chez nous.

Mais je n'y prêtais pas forcément attention, à l'arrivé des deux hommes mon père alla les accueillir, en serrant la main de l'oyabun du clan Dotai.

Ryuji avança doucement, du moins, je savais que c'était plus lentement que d'habitude vers Sorata. - Bonjour.

- Bonjour.

- Bienvenue chez nous. Je suis Ryuji et voici ma sœur Rose.

Je me présentais a Sorata : - Ravie de te rencontrer, je m'appelle Rose. Même si mon frère m'avait présenté, je trouvais cela plus polie de le faire part moi même.

- Je sais, repondit-il simplement.

Ryuji me lança un regard interrogateur.

- J'aimerais poser mes affaires avant de visiter.

- tes affaires ? Demanda mon frère

- Je reste quelques jours. Nokuro-kun ne vous a rien dit ?

Je me sentais bête, je regardais mon frère, d'un coin de l'oeil.

- Non il ne nous a pas prévenue que vous alliez rester. Papa avait omis de nous faire part de cela, il c'était bien gardé de nous le dire.

- Eh bien, vous savez maintenant.

- Vous avez fait connaissance ? Intervint finalement papa

- Rapidement, mais tu as oublié de leur dire que papa et moi restions pour quelques jours .

- J'ai oublié ? .

-Oui papa, répondit Ryuji

- Tu dormiras dan la chambre a coté de celle de Ryuji. Si tu as besoin de quoi que ce soit, Kai est à deux portes plus loin, il n'aura pas de mission le temps de votre venue.

- merci Nokuro-kun. Mon frère et moi cachions notre étonnement. Nous ne nous attendions pas à ce genre d'échange entre un garçon de notre âge et papa.

Je savais qu'entre famille il devais y avoir des relation mais le fait qu'il parle aussi familièrement à notre père, était très bizarre, je sais que je n'aurais pas osé parlé comme cela a un chef de clan . Donc Ryuji l'accompagnait dans la chambre où il devais donc passer les quelque jours prévu, pour qu'il puisse y déposer ses affaires. Je suivais mon frère de loins, papa m'avais dit que je devais m'occuper de lui, mais ne sachant quoi faire, je me disais qu'etre avec Ryuji serait la meilleur manière d'apprendre. Ryuji lui demanda si il avait des centres d'intérêt autr que le clan, et je fusse stupéfaite d'apprendre qu'il s'intéressait à la biologie, si je ne fais pas d'erreur, il a particulièrement appuyé sur le cerveau. Je fus complètement perdue lorsque Ryuji lui parla alors des programmes neuro-linguistique. Je n'avais pas vraiment de compétence sur le sujet alors j'étais un peu perdu, je l'ai entendais parler de cela sans vraiment comprendre, comme s'il parlais une langue étrangère. Je regardais de temps en temps mon frère.

- Je vais poser mes affaires et on commence la visite quand vous voulez.

- Prends ton temps.

Sorata entra dans la chambre juste à côté de celle de mon frère comme papa l'avait indiqué. Ryuji se tourna ensuite vers moi et murmura : - Tu n'es pas très bavarde Rose, vous devez bien avoir un hobbit en commun ou quelque chose comme ça...

- Tu sais qu'au niveau des hobbies a part le kendo, les art martiaux et peut être la lecture, j'ai du mal a croire que j'ai un point commun avec lui. Papa m'avais demandé m'occuper de lui mais a part lui faire visiter les environs, c'est tout ce qu'il m'était possible de faire et peut être lui tenir compagnie. Lui murmurait-je a l'oreille, le côté snobe de ce garçon m'exaspérais.

- Tu peux lui parler, s'occuper de quelqu'un c'est avant tout mettre les gens à l'aise, conclu-t-il avant que Sorata ne sorte : - Nous y allons quand vous voulez.

Le mettre à l'aise, j'avais déjà eu une mauvaise impression de lui alors comment pourrai-je mettre à l'aise quelqu'un que je ne peux pas apprécié. On montra les lieux clés à Sorata et discutions quelques fois des différences d'organisations. Même si j'avais potasser sur le sujet, je n'en connaissait qu'une petite partie, mon frère lui en revanche on lui avait rabâcher sans cesse les leçon sur les différentes organisations et leur pratiques. J'essayais de prendre part au débat mais me restreignais a ce que je savais, et essayais de ne pas m'éparpiller.

- On dirait que ça te lasse d'en parler.

- Ca ne me lasse pas, mais ca ne m'intéresse pas vraiment.

L'ambiance devenais pesante, j'essayais de changer de sujet de conversation :

- Sorata-san, tu fait des activités extrascolaires ou un sport ? Comme mon frère me l'avais conseiller j'essayais de le mettre à l'aise, alors que nous étions mal a l'aise.

- J'ai fais de la boxe thaïlandaise à un moment.

Ce genre de sport je m'y connaisais un peu, j'avais toucher à pas mal de sport de combat étant au collège, mais c'est le kendo auquel je me suis le plus accroché : - Je vois, j'ai moi-même pratiqué ce sport pendant une certaine période, mais je suis toujours aussi accroché au kendo. J'espérais que cette banale conversation puis nous et le rendre à l'aise.

- Ah vraiment ? J'aimais bien le kendo, mais je ne t'imagineais pas faire de la boxe thaï.

- Ah bon ? En fait j'ai touché a pas mal de sport de combat, le taekwondo, le karaté, l'aido et le kyudo. Nous continuons de discuter normalement, l'ambiance était devenue meilleur. Notre visite continuais donc.

- C'est convivial chez vous.

- Oui plutôt, ce n'est pas le cas chez toi ? Je suppose que chaque clan devais avoir leur façon de fonctionner, mais il y'avais toujours, une bonne atmosphère a la maison.

- Nous n'avons pas de résidence comme ici.

- Ah, d'accord.

Notre résidence devait être particulièrement imposante alors, n'étant jamais aller dans les autres clan, je ne savais pas vraiment en quoi elle était différente de la nôtre. Je posa mon regard, vers l'horloge qu'il y'avais dans un salon dans lequel nous venions de passer , elle indiquais 14h15, nous avions fait une bonne visite de la propriété. Et nous passâmes ensuite d ans le petit jardin intérieur, il ressemblait d'avantage à un atrium mais le bassin était décentré et moins cubique, il semblait plus naturel. Un frisson parcouru ma nuque sans que je ne puisse en expliquer la provenance. Nous nous assîmes sur des jolie chaise de jardin en rotin pour continuer à discuter, de ce côté ci du jardin ce trouvais dans une petite clairière, la tombe de notre grand-père qui était orné de fleur, mais les inscriptions c'était un peu effacé avec le temps. La regarder me rendait mal, mais j'avais l'impression qu'elle attirait mon regard. Sûrement était-ce du à ma longue absence et je préférais tenter de penser à autre chose. Sorata et moi avions par ailleurs continuer notre discussion sur les sports et je ne sais plus par quel procédé saugrenue nous en étions venue à parler littérature. Nous nous étions mis à parler de différent auteur de différente nationalité que ce soit des auteur japonais, français mais également espagnole et anglais. Nous avions lu des livres commun d'auteur que nous avions plus au moins apprécié mais la discussion grandissait.

La liste de nos livres en commun était moyenne -selon moi- il lisait des thriller ou d'autres livres, romanesque ou non, qui avait tous comme sujet commun d'être sombre. J'en déduisis alors que ce fût à cause de son enfance dans un clan. J'avais lu également des livres de ce style, mais je ne m'étais jamais intéressé aux aspect qu'il me décrivait.

D'ailleurs au fils de ses phrases j'avais l'impression, que ce genre de livre était tout ce qui l'intéressait, je ne voulais pas vraiment jugés sont style de livre que je trouvais macabre mais un nouveau frisson parcouru ma nuque, pendant notre discussion. Je préférais les romans historiques, mais également les roman épistolaire, ou bien des roman ou histoire steampunk, se déroulant pendant la révolution industriel.