Chapitre 13 - Maladie
- Est-ce que tu as apporté tes feuilles de brouillon ?
J'acquiesciais sa réponse pendant que je sortait quelques feuilles de mon cartable. Nous travaillames toute l'apres midi jusqu'a ce qu'il faille que je rentre. J'était sortit de la bibliothèque, pour aller rejoindre la voiture d'Hajime devant le lycée, j'avais eu du mal a me concentrer aujourd'hui je devais l'avouer. Trop de chose se bousculais en moi pour réfléchir correctement.
Le récent départ de Sorata m'avait laissé un vide. Je m'entendais bien avec lui et nous discutions chaque jours. J'avais eu beau, chercher des gens avec lequel discuter rien n'y fit, même les discussions que j'avais avec les membres de mon clan me paraissait fade. Hajime m'avais ramené à la résidence, je n'avais pas dit un mot du trajet. Une fois entrer dans ma chambre, Kazuma se tenais en général assis sur une chaise en m'attendant , je m'avancais vers lui en espérant avoir du réconfort auprès de lui, dû au évènements qui ce bousculais en moi. Je ne le voyais pas. J'avais oublié qu il ne m'attendait pas dans ma chambre. Soit il me rejoignait, soit on se retrouvait dans la salle de restauration, soit, il m'attendait et m'accompagnait jusqu'à ma chambre. J'etais si perdue que je ne l'avais pas vu derrière moi. C'est en sentant une présence derrière moi, que j'eu le réflexe de me retourner, contemplant sa silhouette sans dire un mot, perdu dans mes pensées et mes tracas sans vraiment réaliser qu'il était devant moi, tout en relevant la tête pour l'examiner :
- Kazu-chan ?
- Oui Mademoiselle ?
Plongeant mon regard dans le sien, j'allais lui répondre, lui raconter mes angoisse, mon anxiété, du au fait que je ne voulais pas qu'Ema me l'enlève et qu'il me laisse seule mais, je ne pus le faire, du sang commençait à couler de ma bouche, et je me mis à tousser, l'hémoglobine qui jaillissant de ma gorge, je maintenais ma bouche, cette fois-ci la douleur se fit ressentir petit a petit , ce n'était pas comme d'habitude : - Ka...zu-chan... M'aggrippant a lui pendant que je me sentais m'effondrer au sol. En temps que garde du corps, il savait comment agir en cas de crise. Après, un médecin, je ne me souciais pas de savoir où était Saki et un homme arriva pour me soigner. Les crises était fréquente mais ce n'était pas comme d'habitude, les élancements survenait avant et les émulsion de sang arrivais après mais là ça avait été l'inverse comme s'il y'avais eu une divergence. J'allais de toute façon être amené comme à mon habitude a l'hôpital dans ce genre de circonstances, le clan ayant de nombreuses relation dans divers domaines surtout dans le médical, on avait des médecins qui venais régulièrement nous osculter pour des bilan de routines en général mais aussi un médecin de famille qui venais dans ce genre de cas. Je compris une fois mon hospitalisation que l'homme qui était venu était l'un d'eux. Maman, papa et Ryuji était autour de moi.
On avait effectué des séries examens qui avait montré que notre maladie avait du évoluer au fils du temps sans pour autant en découvrire la cause exacte , je me sentais entre dans le coaltar regardant autour de moi, tout en essayant de me situer dans le temps. Étant brancher a des machine je ne pouvais pas bouger ou alors très peu, je savais que j'allais rester quelque jours, voir plus si dégradation de mon état a l'hôpital. Mais j'étais confiante. Ce n'était pas ma première crise et mon hospitalisation la plus longue n'avait pas durer plus d'une semaine. Le problème était peut être la mutation de la maladie qui était nouvelle et dont jusqu'à maintenant personne n'avais entendu parler, pas même ma mère n'avait jamais eu cette version de la maladie. Les médecins n'avaient pu lui dire à l'époque ce qu'était cette mutation. Et ce jour-là également, ils en furent incapable. Cependant, ne pouvant faire autre chose que me garder en observation, je restais à l'hospital.
La seule chose qu'ils avaient pu faire c'est me donner un nouveau traitement adapter à cette mutation, je me mangeais des médicaments depuis l'enfance, alors une pilule de plus n'allais pas me déranger plus que ça, ils allaient également préparer une ordonnance spécifique afin de pouvoir renouveler le traitement. Le temps où ma famille fut présente auprès de moi, je me mit à les rassurer pour ne pas qu'ils s'inquiètent, et qu'ils pouvais rentré à la maison. Bien sur, il n'en firent rien et restèrent à mes côtés. Etant mineur, les médecin devaient recevoir l'accord d'un de mes parents avant de me garder en observation. Après une heure, je fus fatiguée et m'endormie. Durant l'heure où je m'était endormis, j'eu l'impression de voir des bribes de souvenirs de mon enfance, sans qu'il y ai des connexions entre tous c'est éléments, des choses que j'avais du certainement oublié sans grande importance pour moi à ce moment là. Dans c'est éclats d'image, deux seule personnes revenais régulièrement, Kazuma et mon grand-père, que j'entendais avoir des discussions dont je ne comprenais pas le sens.
A mon réveil, je réalisais une fois de plus à quel point Kazuma m'obsédais. Je le cherchais souvent dans les couloirs, dans notre salle commune, dans les archives et au dojo où il avait l'habitude d'aller, je parlais de lui à Mahiru, et je pensais à lui en dormant, en mangeant, en allant en cours, en travaillent et même en pensant à mon avenir. J'en étais amoureuse mais l'obsession et l'amour étaient et sont deux choses différentes : à l'époque, cette différence m'était étrangère. En fait je pense qu'à ce moment là, aucun avis ne m'importais plus que le siens, et l'obsession que j'avais pour lui, était telle que ma vision du bien et du mal était troublé, pour moi la notion d'amour et d'obsession était normal et logique. Je suréagissais et dès que quelque choses ne me plaisait pas, je le faisait savoir avec mes crises d'hystérie. A ma sortie d'hospital, ce qui arriva après de nuit, j'appris que papa avait approuvé mon idée concernant Ema. Les médecins avait tout de même conseiller à mes parents que je me ménage pour éviter qu'une nouvelle crise surgisse, en apprenant la nouvelle sur Ema, un léger sentiment envahit mon être, pour moi c'était déjà un pas de fais pour garder mon emprise sur Kazuma, mais il était encore trop tôt pour se réjouir, j'avais beau être écouter, pour moi ça ne valait pas grand chose, si mon père ne n'acceptait pas ma décision de reprendre le clan. Retrouvant le clan familial à ma rentré de l'hôpital, et voulant rester au calme, je m'étais renfermer dans mes appartements pour ne pas être déranger. Enfin plutôt les appartements de mon grand-père, nous étions les seules, c'est a dire les héritiers en plus de nos parents a avoir accès à c'est pièces, j'y venais souvent pour me couper quelque instant du monde dans lequel je vivais.
Personne ne les avait reprit. Bien que certaines choses y soient entreposées ça et là, elle était resté la même. Ce soir là, j'étais rester dans cette chambre, allonger dans le grand lit en bois de chene qu'il possédait, un odeur particulière émanait de cette pièce, où différents souvenir revenais a la surface rien quand m'imprégniant de cette odeur et de c'est lieux. J'y oubliais tout et pouvais me centrer sur moi même, sur ce que l'on attendait de moi : réussir mes études ; et sur ce que j'attendais de moi-même : agir comme une yakuza. Que ce soit pour m'y ressourcer ou bien être au calme je venais m'y cacher, étant enfant, je faisait tourner en bourrique, Kazuma et les personnes qui avais ma charge en venant rendre visite à mon grand-père. Je rechargais mes batteries en quelque sorte, en restant en c'est lieux. Je m'étais endormis sur le lit, en position foetal, ayant seulement un drap très fin sur moi, en guise de couverture, me refusant d'aller sous les draps de celui-ci. J'en avais peu de souvenir car j'étais une toute petite enfant lorsqu'il est mort. Mais je me souvenais de sa bienveillance à mon égard.
Je ne pouvais dire si c'était pour ne pas l'oublier que je venais ici, je ne crois pas que c'était le cas, mes souvenirs était très flou a son sujet, concernant sa voix qui paraissait grésillé en ma mémoire , son visage dont je distinguais a peine les trait. Je n'essayais pas vraiment d'y penser, quelque fois ça me donnait mal à la tête. Je peinais a me réveiller, le matin, restant pendant de longues minutes sous la couverture, forcé d'ouvrir les yeux en entendant quelqu'un toquer a la porte, je me mis à mamormoner quelque chose pour enfin me lever : - C'est bon....je me lève....
En ouvrant la porte, je me retrouvais nez à nez avec Kazuma.
- Bonjour Kazu-chan.
- Bonjour mademoiselle.
J'avais des cernes sous les yeux, ayant plutôt mal dormis a cause de ses souvenirs qui c'était bousculer en moi, cette nuit là. Je n'avais plus vraiment la notion du temps et me demandais pourquoi il était venu me voir. - Qu'est ce qu'il y'a ?
- J'aimerais savoir comment vous allez mademoiselle.
- Je vais mieux je te remercie, si ce n'est un mal de tête. Je me tenais la tête, grimaçant de la je maintenais mon regard terne vers lui . J'avais passer une mauvaise nuit, et mon mal de tête n'aidant en rien, je savais que cela allais avoir des conséquences sur mon comportement.
- Voulez-vous que je prévienne Saki ?
- Je ne sais pas....
Je sentais quelque chose qui résonnait dans ma tête, la douleur devenais plus intense, je me mis à grimacer de plus en plus, en la sentant exploser dans ma tête. Certainement du à un relâchement de ma part, mon regard se portais sur Kazuma qui allais sûrement chercher Saki vu mon état, j'aggripais son bras pour ne pas qu'il parte , le regardant avec insistance pour lui faire comprendre mon intention qu'il reste à mes côtés : - S'il-te-plaît ... Kazu-chan reste avec moi, ne t'en va pas.
- Suivez-moi mademoiselle. Dans les couloirs, je le vis sortir son téléphone et envoyer un message. Je pensais immédiatement à Ema ce qui ne m'aidait guère. En arrivant dans notre infirmerie, Nous manquames de percuter Saki. J'étais rester aggriper a son bras de peur qu'il s'en aille rejoindre Ema, quand je le vis sortir son portable, je resserais mon étreinte un peu plus. A ce moment là je n'avais pas remarquer que nous avions manquer de rentrer dans Saki.
- Mademoiselle ? Fais la entrer, installe la, demanda-t-elle a Kazuma. Lorsque je fus sur le lit, Saki enleva son manteau en demandant à Kazuma :
- Je croyais que l'oyabun t'envoyait en mission avec Kai, ça à été annulé ?
- Non, j'ai prévenu l'oyabun que je restais avec mademoiselle.
En entendant cela, je relevais la tête fixant Kazuma du regard en sachant qu'il allais rester à mes côtés, un sentiment de légèreté m'envahit, à ce moment là je pus enfin me concentrer sur Saki a qui j'expliquais la raison de ma venue à l'infirmerie dû à mon mal de tête.
- C'est plus qu'un mal de tête mademoiselle si Kazuma a du vous emmenez jusqu'ici.
- Elle s'est agrippée à moi quand je suis allé la chercher, c'est peut-être des vertiges ?
- Peut-être. Saki sortit quelques appareils de son tirroir. Mes douleurs continuais, ne sachant pas d'où cela pouvais venir, je persistait dans l'idée que c'était du a un relâchement de ma part et qu'une vague de stress m'avais envahit concernant pleins de petit détail. Kazuma étant rester à coter de moi, je lui tenais fortement la main, de la sueur perlait sur mon visage qui devenais au fil des minutes de plus en plus pâle.
- Infections nosocomial
- Quoi ?
Mademoiselle revient de l'hospital, elle a attrapé quelque chose là-bas. Je préviens le médecin, expliqua Saki en sortant son téléphone. N'écoutant pas ce que Saki disais, j'essayais de rester calme pour éviter d'avoir trop mal a la tête, tout en m'agrippant au bras de Kazuma, sueur perlant sur mon visage et mon corps, regard dans le vague et ma respiration était saccadé, je sentais alors qu'une chaleur envahissait mon corps. Saki commença des analyse basiques, mes oreilles, mes yeux, ma bouche et mon rythme cardiaque avant l'arrivée du médecin. Les analyses montrait que j'avais attraper une infections nosocomial mais de nature inconnu, ma fièvre continuais de monté, des rougeur avait commencé à apparaître sur mon visage, mes yeux était larmoyant, mon rythme cardiaque s'accélérant de plus en plus, mes maux de tête était de plus en plus violent, je me crispais a chaque douleurs que je ressentais, tout en continuant de serrer le bras de Kazuma en fonction de la douleurs, mon regard se portais sur lui pendant que mes yeux tremblais frénétiquement : - K..azu-chan... j'ai.. peur.....ne part pas....ne me laisse pas tout seule....
- Mademoiselle, je ne peux pas vous laisser avec Kazuma, vous êtes bien trop malade.
- Je ne suis pas loin mademoiselle.
Le médecin arriva aussitôt et envoya Kazuma pour plus de sécurité. Pendant qu'il était entrain de m'examiner, je ne pensais a rien d'autre qu'à Kazuma qui abritait toute mes pensé, tout en restant mutique, le regard dans le vide, espérant qu'il ne soit pas aller rejoindre Ema, rien que cette pensé me donner la nausée. Le médecin confirma les dires de Saki mais il ne put faire autre chose que me donner un traitement et m'escorter dans ma chambre. Kazuma nous accompagna. Je remerciais Saki et le médecin, plusieurs émotions affluaient en moi à ce moment là, de la colère, du dégoût, de la peur mais en remarquant la présence de Kazuma qui m'avais raccompagner je me rendis compte que cela ne me provoquait rien du tout, je le voyais plus s'apitoyer sur mon sort, a ce moment là, pressé de retrouver cette fille plutôt que de veiller sur moi.
Annotations