Deux texte écrit il y a bien longtemps ... L'un m'a value un quinze sur vingt et pour l'autre j'ai oublié la circonstance par lequel il a été écrit. il fait référence à ma période d'internat et les retours en train. Bonne lecture et merci.

Ce soir le vent est froid

Et le ciel me semble triste.

La vie autour me paraît d'un silence glacial.

Parce que, auprès de moi tu n'es plus.

Des jours heureux nous en avons connus,

Dés que, près de moi tu a été,

Alors, le soleil s'est mis à briller.

Jusqu'au moment où je t'ai perdue.

Parce qu'à tes côtés je me sentais vivant

Et que tu étais ma seule raison de vivre,

Aujourd'hui, c'est mon cœur qui est mort.

Si subtil tu étais,

Que je me croyais indigne de t'aimer.

Et pourtant c'est ton corps que j'ai eu.

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Il est le passe pour m'en aller à Beauvais,

Quand la gare n'est pas en grève j'y vais.

L'acheter c'est déjà être proche.

Et vers la maison,  je vais les mains dans les poches.

Cet objet c'en est plusieurs en fait.

Mais un par semaine ça me suffit.

Si c'était dans l'autre sens je déprimerai.

Et tout ces retards ça suffit.

Il reste la clé vers ma ville,

Celle qui permet de souffler,

Et de repartir reposé pour mieux taper dans le milles.

Je ne l'ai pas encore entre les mains,

Mais je parle seulement de mon billet de train.