Pour le mort-vivant
Quelques Facilités Pour la Traduction :
*Âmes-soeurs*
*Au sein de la mythologie grecque : l'air, celui qui est respiré par les dieux*
*Des nuances dans leurs inspirations*
*Les autres divinités qu'on croit*
Mon frère,
Mes ères de scandales, il en est l'air.
Je me tends à son temps,
L'imagine détendu à mon ton.
Quelques fois la « pudeur » est au respect des mœurs,
Souvent nous devenons dans *l'âme, sœurs*,
Et s'osons au plus pure de l'inceste, puisque munis de coeur,
Nous nous essayons à la lueur de la peur.
La colère de mère,
Femme fertile,
À faire grossier au style,
Couche et accouche d'une nouvelle chaire,
Une ère à taire mais que Déméther a offert son air de vie pour qu'elle erre.
Son laiteux est coûteux aux douteux,
Goûteux pour *ses compagnons du miteux en habit de vapoteux*.
L'Ironie avec laquelle je l'imite au partage de l'odeur,
L'on présumerait la même pueur,
Et que je nous complimente de fleurs,
Avec toutes nos *sueurs*.
Le rire de *l'Éther*,
Est le berceau de chimères.
À la vipère nos caracteres qu'on n'opère pour faire naître le mystère, pour faire taire l'air de l'unique bambin qui profère le souffert dont il est ainsi à refaire : encore à revendre de l'imaginaire.
Baudelaire,
Tu es mes féeries : les dents de sucre,
Le léger du lucre,
La lourdeur du volucre.
Tu as mon chœur,
J'ai ta rancoeur.
Annotations
Versions