Attention, certains passages de cette histoire ne sont pas pour les plus jeunes !

Domenico Scribus, le célèbre enquêteur romain, profite de sa période de répit chez la belle Annelise pour se ressourcer. Tous les matins, il sort en sa compagnie et se promène sur la plage sur laquelle il a échoué il y a de cela quelques semaines. Il se demande toujours pourquoi le destin l’a envoyé ici, mais il en apprécie chaque instant, surtout en compagnie de la pulpeuse et charmante danoise qui le comble plus que de raison.

Main dans la main, ils déambulent entre la mer grise et farouche d’un côté et la forêt sombre dans le froid piquant du matin. Bien couvert, Domenico trouve cela plutôt plaisant et apprécie cette communion retrouvée avec la nature, en compagnie de celle qui fait chavirer son cœur. Régulièrement, il se baisse pour observer un coquillage ou un petit caillou coloré qui attire son regard et le montre à Annelise qui fait de même de son côté, tels deux enfants qui découvrent les joies naturelles et les cadeaux offerts par la mer.

Une mouette passe au-dessus de leur tête et leur lance un cri moqueur qui fait sourire le romain. Il imite parfaitement le cri qu’elle vient de faire et lui répond pour le plus grand amusement de la jolie blonde :

« Et la Mouette ! Ne te moque donc pas ! La dernière mouette que j’ai entendu crier ainsi s’est fait poursuivre par un romain fou de colère ! »

Annelise le regarde sans comprendre et Domenico éclate de rire !

« Voilà une histoire que je me dois de te raconter ! Dès que nous serons de retour à la maison, je te dirai tout sur La Mouette voleuse ! »

Ils finissent rapidement leur promenade entrecoupée de nombreuses pauses où ils s’embrassent oubliant tout, jusqu’au bruit des vagues et le froid mordant du vent d’hiver. En arrivant chez Annelise, celle-ci dépose son manteau près de la cheminée où un feu réconfortant les accueille, dévoilant ses jolies courbes à un Domenico dont l’envie ne fait plus de doute comme la Danoise peut le voir dans son regard. D’un air malicieux, elle défait le nœud qui maintient sa robe dans son cou et se retrouve nue devant son merveilleux amant. Elle se niche dans ses bras et l’embrasse passionnément. Domenico laisse ses mains vagabonder sur son corps magnifique puis se déshabille à son tour.

Alors qu’ils commencent tous les deux à sentir leur excitation monter et qu’il se positionne sur elle pour prendre possession de son intimité, elle le repousse et lui dit dans un mélange d’italien et de danois que seuls eux deux peuvent comprendre :

« Raconte moi l’histoire de la Mouette voleuse, mon amour. Si l’histoire me plait, tu pourras faire de moi ce que tu veux. Sinon, tu seras tout à moi. »

Elle se cale alors contre lui, lui dépose quelques doux baisers sur le visage puis se saisit de son membre durci et lui fait signe de commencer son récit. Domenico est un peu surpris de la situation qu’il trouve néanmoins très excitante. Il se dit qu’il va lui falloir être bon dans son récit.

« Alors, ma chérie, je vais tout te raconter. J’étais chez mon ami Lorenzo. C’est un petit coquin, cet ami. Il est toujours en train de se mettre dans des situations compromettantes. Mais c’est quelqu’un qui a quand même bon cœur. »

Domenico s’arrête un instant car sa compagne s’est mise à le caresser doucement, profitant pleinement de son érection qu’elle maintient sous ses doigts. Le début de l’histoire a l’air de l’intéresser…

« Alors, nous voilà en train de discuter de sa dernière aventure. Il était allé dans un temple dédié à Jupiter, le roi des Dieux. Des richesses partout… Le pape a banni l’existence de tels lieux, mais ce coquin de Lorenzo est attiré par l’interdit et il ne craint plus l’excommunication vu tout ce qu’il a déjà fait. Surtout quand c’est pour aller retrouver une jolie femme. »

Annelise prend doucement la main de son amant et lui laisse caresser ses seins, ce que Domenico s’empresse de faire, ravi de voir que l’histoire a l’air de plaire à sa compagne.

« Il l’a donc retrouvée et a bien sûr profité de l’occasion, non seulement pour la combler, mais surtout pour dérober une petite statuette dorée, qu’il espérait pouvoir me revendre. »

Annelise a l’air aussi excitée que lui par la situation et elle permet au Romain de glisser sa main entre ses jambes. Domenico a du mal à garder le fil de son histoire tellement les sollicitations sont multiples, entre les caresses qu’elle lui prodigue de manière tendre et continue et l’accès qu’elle lui permet à toutes ses voluptés.

« Nous voilà donc à discuter dans son jardin où il me montre la petite statuette. Elle représente une petite sirène et il ne me permet pas de la toucher. Pour que je puisse néanmoins admirer ses belles teintes dorées, il la soulève un peu au-dessus de nous afin de l’exposer aux rayons du soleil. J’essaie de ne pas me laisser éblouir par sa beauté quand tout à coup, une mouette surgit et vient happer la statuette des mains de Lorenzo après avoir lancé un cri moqueur et strident ! »

Annelise profite de ce moment de l’histoire pour s’empaler sur le sexe tendu de Domenico qui ne peut réprimer un petit râle de plaisir. Tout à son excitation, il s’interrompt dans son histoire pour essayer de profiter de la proximité de la jolie blonde qui cesse cependant immédiatement tous ses mouvements et fait mine de se retirer.

« Attends, je vais te raconter la fin, ma belle… Mais, ce n’est pas facile de se concentrer ! ». Elle lui sourit diaboliquement. Dès qu’il recommence à parler, elle reprend ses petits mouvements lents sur son amant qui parvient à reprendre assez ses esprits pour poursuivre son récit.

« Et donc, voilà Lorenzo qui bondit pour essayer de récupérer son bien ! Enfin, l’objet qu’il a lui-même dérobé peu de temps avant. Quel spectacle il a alors offert à la moitié de la ville ! Il s’est mis à courir les fesses à l’air et hurler contre le volatile qui s’est bien vite envolé. Mmm oui, comme ça… rajoute l’italien qui sent Annelise s’envoler littéralement pendant sa chevauchée. Et donc, sans se préoccuper du fait qu’il ne portait qu’une toge mal attachée, il poursuit l’oiseau voleur jusqu’à la fontaine du village. La Mouette s’est en effet posée sur le haut de l’édifice d’où jaillit l’eau qui abreuve toute la population. Lorenzo monte sur le rebord de la fontaine et… »

Domenico est obligé de s’arrêter car la blonde est en train de se déchainer sur lui et il est trop distrait par ses jolies fesses qu’il serre dans ses grandes mains. Mais dès qu’il s’interrompt, la danoise parvient à se maitriser pour stopper elle aussi ses mouvements, son antre humide à quelques millimètres du sexe bandé de l’Italien qui n’a jamais été aussi excité… Ni autant frustré !

« Et donc Lorenzo se met sur la pointe des pieds pour attraper la statuette laissée sur le sommet de la fontaine et quand il pense y arriver, la Mouette pousse à nouveau un cri moqueur qui déséquilibre complètement le voleur humain qui tombe alors dans l’eau, provoquant les applaudissements hilares de toutes les personnes présentes ! »

Dans un râle, Domenico répond alors au gémissement de son amante et se laisse aller à un orgasme monumental. Une fois leur excitation un peu calmée, Annelise lui demande :

« Je n’ai pas bien compris, mon beau romain. Qu’est-il arrivé à la statuette après ça ? Tu aurais une autre histoire à me raconter ? »

Domenico éclate de rire.

« Je ne sais pas, mais vu comment tu écoutes mes récits, je peux t’affirmer que je vais l’inventer cette histoire afin de pouvoir profiter de ton attention comme tu viens de me le faire savourer ! »