Un vaisseau marchand approchait de l'épave d'un navire de guerre recouverte d'une épaisse couche de glace et entourée de centaines de cadavres flottants dans le vide spatial. Le Capitaine, contemplant le spectacle horrible qui s'affichait devant lui, sur le pont de son vaisseau, ordonne à son équipage d'aller chercher des cargaisons parmi l'énorme navire en ruine, se trouvant autour des débris de métal : c'est certes un cimetière, mais il y a des chances pour qu'il reste un beau butin à trouver, même si c'est de la ferraille ou des données à pirater, les marchands savent qu'il sont sur un terrain neutre, et donc qu'ils ne volent pas. En effet, chercher des problèmes seraient le premiers de leurs soucies, ils sont trop pauvre pour se permettre de payer ne serait-ce qu'une amende. L'équipage, s'exécutant, scrutaient via des caméras externe si ils pourraient trouvés quoi que ce soit de vendable. Plusieurs minutes de recherche passe avant qu'un marchand n'aperçoive un grand conteneur ouvert, laissant planer plusieurs types de cargaisons.

 Le Capitaine, voyant dans ce conteneur une opportunité sans risque, ordonne que l'on aille chercher tout ce qui permettrait de faire de l'argent : Marvin, l'un des marchands, est désigé pour aller chercher le butin s'offrant à l'équipage. Celui-ci enfila une combinaison rattaché à une corde qui permettais de garder un contact avec le vaisseau, au cas où un danger pourrait survenir de n'importe où et dans quel cas, il serait possible pour lui de revenir en lieu sûre. Marvin fût envoyé dans l'espace et commença à agripper des divers objets aléatoires venant à lui : des bouts de métal, des colifichets qu'il se permit d'enlever aux corps glacé qu'il croisait sur sa route car, en effet, peut importe ce qu'il trouvera, il le revendra. Il faut savoir que même le métal cassé et déchirer par le froid spatiale à heureusement une valeur dans ce monde. Il faisait des allers retours interminables, pendants plusieurs dizaines de minutes.

 Alors qu'il était sur le point de venir avec le reste du butin, Marvin heurta un corps flottant à coté de lui: voulant poussé le cadavre afin de rejoindre le vaisseau, le corps se mit à ouvrir les yeux, regardant la personne tout en l'agrippant par la combinaison. La personne se met à hurler de peur, un cri transmit via son casque à l'équipage du vaisseau. Le capitaine demande ce qu'il se passe à lui demande si il a besoin d'aide ou si ils doivent faire feu. Le personne venu chercher les divers marchandises se met à lâcher ce qu'il avait dans les mains et se précipite de rentrer à bord du vaisseau de marchandise. Il enlève sa combinaison mais, sous l'état de choc, n'arrive pas à bouger, ni à parler. C'est en reprenant son souffle et gérant son stress qu'il explique ce qu'il a vu : un corps, sans bouger, l'a prit par la combinaison en le regardant, laissant tomber ce qu'il avait dans les mains.

 Après quelques minutes, l'infirmier du vaisseau se porta volontaire afin d'aller chercher ce que son coéquipier avait laisse tombé, décidant par la même occasion d'aller jeté un coup d'œil à ce corps. Se rapprochant des marchandises, il se dit que personne ne peut survivre dans l'espace, que son collègue hallucine juste. Il décide en premier lieu de retourner vers lui le corps sur le dos, puis constate qu'il essaye de bouger, sous l'effet de la peur, il prends le corps flottant sous sont son bras, en transportant sous l'autre la marchandise trouvée. Le ramenant au vaisseau et le posant en face du pont du vaisseau, le capitaine, ainsi que les autre membre de l'équipage, se mette autours du corps qu'ils viennent de repêcher. Tout le monde entoure macchabée qui , lui, ne bouge pas comme le criait le marchand tout à l'heure. Certains pointes des armes sur le corps, tandis que d'autre recule. Le capitaine se rapproche de la dépouille et prends son pouls :

- Messieurs, vous avez devant vous le simple corps d'un petit gars qu'à pas eu d'chance, affirme le capitaine, Marvin as juste eu la frousse d'un cadavre, mais on t'remercie d'avoir été chercher les matériaux. On l'remet dans l'espace, c'est pas nos affaires.

L'équipage, bouche-bée, tournaient leurs yeux sur Marvin, toujours apeuré :

- Mon capitaine, sans vous offensez, je jure qu'il m'a regardé dans les yeux, comme si il souhaitait absolument de l'aide, demander à Young !

- Pour le coup, mon capitaine, je rejoins Marvin : ce gars est bien en vie, c'est pas un cadavre, affirme Young.

 Alors que le capitaine regardait les deux compères d'un air intriguer, la carcasse se met à bouger pour reprendre vie, comme si il revenait de l'au-delà. Le corps se met à respirer, ouvrant les yeux et criant à pleins poumons. L'homme, revenu à la vie, est sous le choc, regardant autours de lui : tout le monde est apeuré de sa présence, venant d'assister à une résurrection. Le capitaine hurle à tout le monde de reculer et de mettre en joue le jeune homme qui vient de revenir d'entre les morts. Celui-ci, tremblant, reste immobile et penche la tête au sol, plissant les yeux : il ne voit rien, aveuglé par la luminosité des boutons incruster sur les différents panneaux de contrôle du vaisseau. Reprenant ses esprits, il essaye de se lever, faisant reculer en moins d'une seconde les marchands :

- Putain de merde...t'es qui toi ?! murmura le Capitaine.

- J'AVAIS RAISON ! J'AVAIS RAISON ! s'exclama Marvin.

 Celui-ci commença à courir dans le vaisseau, cherchant un endroit où se mettre en sécurité tout en criant à tout le monde d'aller se cacher ou de l'abattre sur le champs, tandis que Young, malgré la peur qui l'envahissait, décida de s'approcher de l'homme confus. Il s'agenouilla à son niveau pour le rassurer, le tapotant gentiment sur l'épaule, lui faisant comprendre qu'il était dans un vaisseau de marchandise nommer le "Sailor", pour ensuite le prendre sous son bras, afin de l'amener sur un lit:

- Tu fais quoi Young ? faisant remarquer le Capitaine.

- Je vais le soigner, il est gravement blesser.

- Young, il était mort y a 2 secondes, fais pas l'con !

- Capitaine, avec tout le respect que je vous dois, je vais prendre ce blessée sous ma responsabilité.

 Le Capitaine n'insista pas plus, demandant à son équipe de retourner à leurs occupations, faisant comprendre que la journée fût terminer et qu'ils n'allaient pas tarder à trier le butins de la journée. Pendant ce temps là, Young installa le rescapé sur le seul lit d'hospitalisation qu'il possédait. Le jeune homme, à peine allonger, se mit à vomir ses tripes, tachant le sol d'un liquide nauséabond mélangé à une étrange et épaisse couche de matière noir visqueux. Young prépara un sceau dans lequel le malheureux pourrait se pencher dessus dès qu'il se sentirait mal.

 Ce dernier retourna dans le hall principal du vaisseau, rejoignant ces compères qui, eux, étaient en pleins tris de leurs récoltes : tous étaient présent, en demi cercle et réparties en petits groupes de 5 avec chacun un ou deux tas de ferrailles, chantant des musiques variées dans la bonne humeur. Dans leurs tête, triée leurs trouvailles en fin de journée était un moment d'enthousiasme, où tout le monde rigolait, car il savaient que plus ils y passeraient du temps, plus il y aura de l'argent à gagner, même si ce n'est pas énorme.

 Young se mit entre 2 confrères et commença à trier ce qui se trouvait en face de lui. Il y avait deux boîtes à coté de chaque groupe : d'un coté, la ferraille irrécupérable, les données corrompus, les accessoires en toque ou l'artilleries défectueuse, allait dans la boîte "occasion", tandis que le reste, d'un état moyen ou correct, allait dans la boîte "tout neuf". De temps en temps, entre deux musiques, un marchand racontait un moment de sa journée, qu'elle soit agréable ou pas, du moment que ça fasse rigoler la galerie. L'un d'eux, au bout de trois heures, fit rappeler le moment où Marvin c'était planquer à cause de "macchabé". Tout le monde se mit à rire, à l'exception de Marvin lui même qui, d'un ton brave, affirma que ce n'était pas drôle. Un autre marchand un peux plus vieux, continuant de trier son trésor, interpella Young :

- Dit moi, mon gars, tu sais comment il va le bonhomme ?

- Disons qu'il est pour le moment en train de survivre, confirma Young. J'ai pas le matériel requis pour faire un diagnostic de son état, mais de ce que j'ai vu, il est certes mal en point le pauvre gars, mais il a des chances de survivre.

- Et t'as réussi à obtenir des informations sur notre hôtes ? demanda le marchand.

- Pour être franc, il ne fait que vomir et est encore en état de choc, il n'a pas parlé. Mais de ce que j'ai vu, il a l'air d'avoir la vingtaine, n'a pas l'air méchant mais ça se voit qu'il est sonnée, il tremblait comme pas possible tout à l'heure.

- Tu m'étonnes, dit un autre marchand qui entendit la conversation, il revient de l'espace !

 Soudain, le Capitaine arriva dans le hall. Tout le monde s'arrêta de trier, fixant le ce dernier. Marchant d'un pas lent vers les marchands, en fixant Young, il ordonna à ses hommes de quitter les lieux, à l'exception de Young et Marvin. Les marchands s'exécutèrent sur le champs, sortant lentement, tout en chuchotant entre eux sur ce que pourrait bien avoir le capitaine :

- Young, s'exprima le capitaine, pourquoi t'as ramener c'mec sur mon vaisseau ?

- Mon capitaine, je voulais le sauver. Même si il me fait toujours un peu peur, je trouve qu'il est juste normal, qu'on ne devrait pas être restreint vis à vis de lui.

- Non Young, il est pas normal.

- Mon capitaine, avec tout le respect que je vous dois, je pense que-

- IL N'Y A PAS DE "JE PENSE QUE"!! TU PENSE PAS, TU SUIS MES ORDRES QUAND J'T'EN DONNE !! SI JE TE DIS DE LE RELACHER DANS L'ESPACE, TU LE FAIS !! hurla le capitaine

- Il est dans un état critique, monsieur. Laisser moi au moins le sauver, s'il vous plaît. On pourra acheter des soins pour le remettre sur pied, puis il partira sans faire d'histoire ! Avec ce qu'on a trouver ces derniers jours, on peut se permettre de l'aider !

- NON ! Y a pas de de "on", il fait pas partie d'l'équipage, on sait pas combien d'temps il a séjournée dans l'espace...MERDE YOUNG !! TU VOUDRAIS QUAND MÊME PAS FOUTRE EN L'AIR L'ÉQUIPAGE ? TU VOUDRAIS PAS TOUS NOUS BUTER ??

- Non monsieur, répondit timidement Young

- ...J'ai vu ton type. J'ai vu à quoi il ressemblait. Pendant qu'tu chantais avec les autres, j'ai été l'voir. T'en fais pas, il s'est endormie, mais bordel, j'te jure, il nous a cracher j'sais pas combien d'litre de c'truc noir. Et tu m'as même pas dit qu'en plus de ça, c'était un hors la loi...

Un silence s'installa après ce que venait de dire le Capitaine. Bouche bée, les yeux écarquillés, Young se tue :

- ...Comment ça, un "hors la loi" ? s'exprima Marvin.

- T'as pas vu, quand tu l'as choppé dans l'espace, son bras ? s'interrogea le Capitaine, il a un tatouage de clan, il appartient à un credo ou un truc dans le genre, et nous, on ferait mieux de pas fréquenter ce genre de personne, ça pourrait nous attirés des problèmes, et c'est pas ce qu'on cherche honnêtement. Alors, s'il te plaît, Young, débarrasse nous de lui. Et c'est un ordre.

 Young, perdu dans ses pensées, répondit à l'affirmative sans réellement comprendre ce qu'il avait fait. Il traversa le vaisseau, rattrapée en milieu de route par les autres marchands qui le suivait comme si il était devenu en une minute une célébrité, essayant d'attirer son attention et d'obtenir des réponses sur ce qu'il c'était passé. Sans répondre, Young arriva dans la chambre de son malade, et s'y enferma.

 Il ne savait pas quoi faire, tournant en rond dans la pièce, essayant de trouver un solution : Young, dans toutes les situations qu'il imaginait, perdait. Peut importe ce qu'il dirait, peut importe ce qu'il démontrerait, le Capitaine rebalancera le pauvre malheureux dans le vide galactique. Posant violement les mains sur une table, et regardant cette dernière, il y ne voyait plus qu'une seule échappatoire. Au même moment, le ressuscité se réveilla, se levant doucement sur le lit. Dans un cri de joie, Young se jeta sur lui, voulant lui poser tout un tas de questions à son convive. Celui-ci, regarda tout autours de lui, et demanda où il se trouvait, et en présence de qui :

- ENFIN ! Je peux finalement échanger avec toi ! Bon premièrement, je m'appelle Young, médecin du "Sailor", et le membre le plus jeune de l'équipe, et toi, comment tu t'appelles ?!

- ...Comment ? répondit-il.

- Quoi "comment" ?! Je t'ai demandé ton prénom, et d'ailleurs j'ai aussi pleins d'autre questions à te poser, même si on a pas trop de temps, donc si tu pouvais te dépêcher, rétorqua Young en souriant d'un air malaisant.

- ...L'Enfant...

- Comment, de quoi "L'Enfant" ? C'est ton nom de famille ?

- ... Où est l'enfant...

- Bon désolée vieux, je comprends pas un mot de ce que tu me dis. Pour la courtoisie, ça serait quand même sympa que tu me dises ton blaze !

 Alors que Young tentait tant bien que mal de comprendre ce que baratinais son visiteur pendant plusieurs minutes, celui-ci repris en lucidité petit à petit au fils de la conversation.

- Donc si je comprends bien, vous m'avez trouver dans l'espace alors que j'étais encore vivant ?

- Techniquement, tu devrais être mort, mais concrètement ouais c'est ça. Et ça serait super cool que tu nous dises comment t'as fait, parce que personne ,à part les tardigrades, ne peut survivre dans l'espace sans combinaison.

- Pourquoi je me souviens de rien...

- Woaw, comment ça tu te souviens de rien ? On tombe pas dans l'espace à poil comme ça mec.

- Je sais pas, je ne sais même plus mon prénom.

- Alors là, c'est grave.

- Je te jure, j'ai beau cherché, je ne sais pas pourquoi je suis là. Je n'ai aucun souvenir, je n'arrive même pas à visualiser quoi que ce soit.

- Rien ? C'est impossible...après tout, trouver un survivant dans l'espace aussi c'est impossible...

- La seul chose qui résonne dans ma tête est le mot "Enfant". Et je ne sais même pas par qui, c'est comme si j'étais dans le noir, et qu'on me disait en continue : "L'enfant".

- Donc même ton prénom t'as aucune piste...Il t'en faut un !

- T'as une idée ?

- Et pourquoi pas William ?

- Je sais pas, ça n'a pas d'importance, va pour William.

- Très bien, enchanté William !! s'exclama Young.

- Ouais...enchanté.

- Bon, c'est pas tout mais là on a plus beaucoup de temps, le capitaine veut te laisser là où on t'a trouvé. Apparemment t'es un hors la loi et on veut pas de problème, mais bon, je pense que ça aussi tu dois pas t'en souvenir...

- Comment ça un hors la loi ?

- C'est ce que je pensais...Tu vois ton tatouage, sur le bras ? Eh bien ça veut dire que tu fais partie d'un groupe, d'une secte, d'un "credo", comme le dit le capitaine. Donc tu dois absolument partir.

- Il ne peut pas me laisser partir sur la prochaine planète où vous arriverez ?

- Trop risqué. Si les gens de ton "credo" où des ennemies que tu t'es fait te voient en notre compagnie, on morfle aussi, donc on veut pas prendre de risques, et les marchands préfèrent te laisser dans l'espace, là où on t'as trouver, mais comme je pense que tu veux pas y retourné, ce qui me semble logique, j'ai trouvé une solution !

- Et elle consiste en quoi ta solution ?

- On a 3 capsules de sauvetage. T'en prends une, je te donne un peu de matériaux que tu pourras revendre sur place, comme ça d'un coté, nous on a plus de problème avec toi, et de l'autre, toi, tu repars pas dans l'espace ! Le truc c'est que si on te relâche dans l'espace, je pense qu'à ce moment là on aura des problèmes. Être en ta compagnie peut être dangereux, mais, si tu y retourne, et que tu meurs de froids, là on se fera chasser. Donc la meilleur solution c'est de t'envoyer sur la planète la plus proche, seul.

- Et t'as le droit de faire ça ?

- ...Non, mais on va le faire quand même !

- Écoute, c'est super sympa, mais je pense que je devrais aller parler à ton capitaine, vu qu'il dirige -

 William fût interrompu par des bruits, provenant de l'extérieur de la chambre. Young, s'approchant de la porte pour entendre ce que c'était, constata que leurs temps fût compter : le Capitaine arriva, prêt à renvoyer William d'où il venait. Le jeune infirmier, dans la précipitation, compris qu'il n'aurait pas de réponse à ces question, n'ayant plus de temps à lui accorder. Il trouva un sac à dos, dans un coin de la chambre, avant d'y mettre quelque outils et ressources primaire :

- Bon là je te met un blaster, si t'as oublié, ça marche comme un pistolet, tu sais, l'arme à feu qu'utilisait les premiers hommes ?! Et je te met aussi un peu d'argent, environs 700 unités. Avec ça tu pourras t'acheter un casse-croûte, et n'hésite pas à chercher du travail sur la prochaine planète, parce que tu risque d'y passer un moment !

- Mais je n-

-On a pas le temps là ! Le capitaine arrive te chercher !

 La porte de la chambre s'ouvra brusquement. C'était Marvin, informant qu'il avait préparé une capsule de sauvetage pour William : il trouva lui aussi l'idée du Capitaine barbare, se résignant à aider son ami. Young, dans la précipitation, expliqua ce qu'il c'était passé avec William, et qu'ils devaient se dépêcher, remerciant au passage Marvin. William essaya de se lever du lit, mais en tomba : il ne pouvait pas marcher, étant encore paralyser par son passage dans l'espace.

 Entendant le Capitaine crier aux marchands d'ouvrir la porte menant sur l'espace, Young se décida, avec l'aide de Marvin, de soulever William afin de le transporter dans l'une des 3 capsules. Tandis qu'il essaya de courir avec William dans les bras, Marvin prit le sac de William. Arrivant à temps vers la salle de secours, salle où se trouvèrent bien les capsules de sauvetages, Young déposa William, par terre, dans une des écales sphériques, préprogrammer pour appareiller sur la planète la plus proche. Au même moment, le Capitaine, se trouvant dans la chambre, hurla d'un cri énervé, demandant où était passé le malade. Young et Marvin, se regardant dans les yeux, comprirent que les adieux été venus :

-J'espère qu'on se verra William. Si tu récupères la mémoire, tu m'expliqueras ce qu'il t'es arrivé, et me donneras ton vrai prénom, ok ? dit Young

-Oui, pas de problème, et merci beaucoup pour l'accueil, dit William d'un air fatigué. Merci aussi à toi euh, Marvin, c'est ça ?

- Ouais, de rien, et désolé de t'avoir laissé en plan dans l'espace, vieux, lui souriant gentiment Marvin.

 Alors que les pas du Capitaine qui fouillait le "Sailor" s'approchait de plus en plus, Young préprogramma les commandes de la navette. Il termina et, regardant William une dernière fois, referma les portes séparant la capsule, du vaisseau. A travers la porte, Young fit comprendre à William qu'il lui faudra encore quelque temps avant de reprendre le contrôle totale de son corps, mais qu'il pourra surement marché à l'arriver de son voyage. William le remercia et, ne pouvant pas se lever, il dit aurevoir oralement. Young appuya sur un bouton de lancement, celle qui permettais de larguer la navette de William. La capsule se détacha du Sailor, et William partit sur la planète la plus proche.

 Au même moment, le Capitaine arriva dans la salle de secours, trouvant Marvin et William ensemble. Voyant une capsule manquante, le Capitaine compris ce que les 2 amis avaient fait. Même si ils savaient qu'il allaient surement être puni de butin ou qu'il allait recevoir moins de nourriture au cours des prochaines semaine qui allait arriver, ils étaient content d'avoir fait ça, d'avoir aider un passager clandestins hors du commun, comme si Young avait le présentiment que c'était nécessaire de le laisser vivre...