Part 5
« Merci Horace, c’est aussi pour ça que je .» dis-je à voix basse en m’approchant de lui au maximum.
« Eh bien, William, que se passe t-il, mon fils ?» demanda Élise
- En vérité, j’étais parti m’assurer que votre fille, ma sœur n’avait rien. Mais je ne l’ai pas trouvé…..elle a été enlevée !» déclarais-je
- Seigneur Dieu !» s’exclama mon père.
« La nuit s’y prêtait bien, madame Leosnhar. Nous sommes à Halloween, le soir où de nombreuses personnes sont déguisées. Ceux qui ont fait le coup,on pu l’approcher sans crainte.
« Appelez le général Losa,Nestor, et passez le moi !» dit ma mère
- Ce soir, Horace, au vu des nouvelles, tu peux dormir ici, tu seras mieux. Notre fils à besoin de quelqu’un à ses côtés.» dit Walter Leosnhar.
« Oh merci,Monsieur !» dit mon ami
Malgré le fait que j’aurais voulu rester, je savais que ce ne serait pas possible. J’entraînais donc Horace vers les étages. Nous montâmes jusqu’à ma chambre, en silence. Le climat n’était plus à la joie d’être tous les deux. Il fallut attendre le moment où nous fûmes dans ma chambre, la porte fermée pour qu’il agisse enfin.
« Mon chéri, je vais avoir besoin de toi, dans les prochaines heures !» dis-je
« Mon cœur, je resteraiavec toi,le temps qu’il faudra !» me répondit-il
Un baiser fut échangé, puis un autre. Je ne voulais plus y penser, plus penser à ces gens qui avaient enlevé ma sœur, sinon, je ferais un carnage. La violence ne résout rien, dit-on très justement, et en agissant, j’exposais ma mère. Ce parce que j’étais son fils et que mon nom, malheureusement pour le coup, était indissociable du sien. Soudain, le portable d'Horace sonna et il sortit un moment.
« Allan a récupéré Wendy !» dit-il en rentrant de nouveau, toujours au téléphone.
« Une chose est sûre,il ne faut pas qu’on sache ce qu’elle est pour Élisa. Dis lui de l’amener ici, par l’issue secrète.» dis-je
Très vite,il s’exécuta, Allan était un de nos amis, le seul à savoir vraiment pour moi et Horace. Mais il gardait le secret. Il avait été au théâtre, ce soir-là et s’en était sorti sans aucune égratignure. Nous l’avions chargé de surveiller Wendy quand elle pourrait partir. Le fait qu’il était mon ami faisait que Wendy le connaissait aussi, de vue.
« Et maintenant, va l’attendre,et amènes la moi !» dit-je
« D’accord!» répondit-il
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