Adieu foyer - 2
Je me débarrasse du corps devenu froid. En le mettant sur mes épaules, de divers souvenirs me reviennent en tête y comprit le jours ou Chaïm m'avait dit qu'il m'aimait, ce jour, je m'en rappelle comme si s'était hier :
C'était une journée d'automne, je traversais le parc où chaques feuilles des arbes qui y pleuplaient avaient rougi. Pour me rendre au bar le plus proche, me vider la tête quelques instant, après une après-midi remplit de mauvaise nouvelles et d'embrouille au lycée.
Ecouteurs, musique à fond dans mes oreilles. Je me remémorai les commentaires du principal à propos de mon ami qui avait subit des attouchement sexuel par une professeure. J'y étais convoqué avec lui en tant que témoin.
– Riley, en quoi es-tu témoin pour que tu sois convoqué avec lui ? M'avait dit le proviseur sur un ton grave, son regard noir posé sur moi, attendant sa réponse impatient, craignant que j'étais de mêche avec la professeure.
Les images se reformaient dans mon esprit alors que je fixait son costume d'un regard vide ; La voix envoûtante de la prof, accompagné de sa robe azur au décolleté, qui laissait apercevoir un infime boût de ses seins sans pour autant être vuglaire. Ses cheveux blond fraise, et ses yeux remplit de teinte rose dérivant délicatement vers le violet galactique.
Qui aurai cru que sous ce masque angélique qui désignai la femme parfaite tel qu'elle soit, ce cachait une femme qui se prosituait, et qui mouait d'envi de tuer tous ceux qu'elle l'entourait. Sa bonne attention en tant que professeure pour ses élèves, et tout le respet qu'on lui devait, c'était transformé en dégout, en honte et dédin.
– La prof lui avait demandé de rester avec elle dans la salle, alors je l'ai attendu dans le couloir comme on le fait à chaque fois entre nous. Elle avait scuté la pièce pour s'assuré qu'il n'y avait plus personne, et elle s'était précipité sur la porte pour la fermé à clef... J'avais été surpris de son geste mais l'attendu tout de même derrière la porte. Après quelques minutes, la voix de mon ami se fit plus forte et j'ai entendu son corps se plaquer violemment contre la porte, il avait essayé d'enclencher la poigné, en vain.
Le corps de mon ami, qui était assis sur la chaise près de moi s'était raidit, ses yeux se pointai vers ses pieds, lui, se souvenant de tout ces détails, qui pour certains m'étais inconnus.
– C'est à ce moment que tu es intevenu, n'est-ce pas ? Mais comment as-tu ouvert la porte ?
Sur ses mots, j'avais pris mon sac qui était à mes pieds, et en avais sortit une petite sphère noir, décoré de cercle épais bleu céleste très brillant.
Arrêtant ma rêverie en évitant des enfants ratrappant leurs parents quelques mètres plus loins. Je prends de-nouveau cette petite sphère, la faisant rouler doucement entre mes mains, je ressents les cercles ressortant de la boule elle même, tout sa surface était parfaitement lisse, quand on la regardait, aucune imperfection ne se voyait, pourtant sur l'une des face, au centre d'un petit cercle qui se fait entourer par un plus grand, se trouvait un bouton.
Si on sait pas qu'il existe on ne peut pas le ressentir, ses contours se recouvre par une couche de la même matière que la sphère, qui camoufle tout creux, ce qui est très pratique quand elle tombe entre les mains des curieux, qui eux, croient que c'est une sorte de boule anti-stesse ou alors une bille géante.
Me rendant compte que j'étais déja sortie du parc, je constatais les mutiples voitures garés sur les trottoir ne laissant qu'une infime parti pour laisser passer les piétons, bien qu'ils n'y en avait peu à cet heure, les quelques personnes devait circuler les uns derrières les autres.
Profitant de l'espace entre deux passant, je fini par enfin arriver dans la grande rue qui, à chaque fois que je la traversai me semblai infini. Alors que je m’apprêtais à entrer dans le bar, une voix criait mon nom, je m’arrêtai aussitôt, la tête relever, terrifiée, je craignais que se soit une personne qui n'aurait pas hésiter à le déclarer aux Droit de Société Urbaine - aussi nommé DSU-, qui, elle, m'aurait emmener devant le juge et emmener en prison.
Car les six mois précédent, j'ai été bien connu du commisariat et le juge de l'assemblé des État Généraux n'avait pas vu mon visage qu'une seule fois ; J'ai été accusée d'affaires de drogue, d'argent, de trafique d'arme, d'avoir aider de multiples groupes terroristes, et bien d'autre choses imporobables. Bien que maintenant les vente de certaines drogue soient légal, d'autres son puni par la lois assez sévèrement.
Toutes ces affaires ont pu décorer mon casier judiciaire. J'ai eu tout de même de la chance que de nouvelles lois soient élu au sort de mineur, et ne pas être mise à mort pour la plupart de mes soit-disants crimes.
Ma mère était derrière ces trafiques et me faisait porter le chapeau, j'avais beau essayer de prouver mon innocence, en vain. J'ai été condamner à une exclusion de la société pendant trois mois. Cela m'avais fait grandir et réflechir sur mon indépendance dans la vie quotidienne.
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