Chapitre II Le chemin du tunnel
Je me rappelle, quand j'étais petite, je suis allée dans le tunnel, mon père m'avait emmenée avec lui. Il bavardait dehors avec ses amis. J'étais en train de courir dans le noir, j'avais un grand sourire, avec un ricanement de petite fille. Une lampe torche à la main, mais je l'avais éteinte, j'adorais être dans le noir.
Quelques minutes plus tard mon père m'appela, j'allumai ma lampe torche quand j'au vu une petite fille de mon âge à peu près, en face de moi elle avait un boulet de prisonnier accroché à son pied droit, nu comme l’autre.
Elle était vêtu d'une robe blanche déchirée, saupoudrée de poussière. Son visage avait des traits fin. Deux cicatrices sur la joue droite, une grande se présentait sur son front qui s'arrêtait à son œil gauche. Ses cheveux brin virevoltait aisément, mais aucun ne s'accrochait à son visage. Ses yeux aussi vert qu'une émeraude pleurait de toute leurs âmes qui restait éclairé malgré le mal êtres qu'ils devaient subirent. Ses mains étaient noir de boue et de poussières, ses ongles étaient coupés pour qu'aucun millimètres ne dépasse de sa peau. Ses jambes presque ensanglanté et recouvert de coupures et d'autres blessures. Étaient poussiéreuse ce qui empêchait la cicatrisation de ses plaies.
Elle disait tout bas ''aide-moi, aide-moi...'' j'avais voulu l'aidée mais j'ai du faire un choix entre l'aidée ou repartir avec mon père. J'avais penser que de toute façon je pourrais l'aidée la prochaine fois que je viendrais. Alors je suis rentrée chez moi avec mon père. Ce jour là ce fus la dernière fois que j'y était aller, je suppliais mon père de m'emmener en cachette après l'école mais jamais il ne là fait.
Ma sœur me sort de mes pensée en soufflant de peur. Elle regarde autour d'elle, elle voit des atrocités, des massacres autour d'elle. On passent par une ruelle dans l'ombre à l’abri des regards charognards. Nous sommes presque arrivée au tunnel plus que quelques minutes, on entend les cloches de l'église résonner dans toutes la ville. Ses vielles cloches de trois siècle sonnent toujours du même son. On l'avait apprit en primaire sur la création de la ville. Elles sonnent le moment que plus personne ne tient conte, le midi, le temps de mangée mais tout le monde a faim, tout le temps.
Nous voyons petit à petit l'entrée du tunnel se dessiner. Une grande porte barricadée montre l'endroit défendu. Nous nous arrêtons en face de la porte.
– C'est ici, je suppose. Dit Lucrézia en mettant une main sur son arc qui est accroché sur son dos, comme si elle sentait un danger arriver.
– Oui. Dis-je en prenant une voix légèrement grave, ce qui m'a étonner. Mes sœur regardent la porte, méfiante.
– Venez il y une autres entrée, celle-ci n'est qu'un camouflage, regarder par terre. Je marche jusqu'au bout de la rue, m'arrête pour les attendre. Je les regardent, elles voient des vingtaines de crânes d'humains. Je sais que ça les marquera jusqu'à la fin de cette apocalypse. Leurs yeux s'agrandissent, surprises par la naïveté des gens.
– Vous venez, on ne vas pas rester la pendant une heure à contempler des crânes. Certains l'on peut êtres mériter vous savez. Elles me rejoignent tout en gardant le silence, et la stupéfaction de ma réaction.
Commentaire :
Madison
Comment Riley savait que ces crânes étaient ici. Mon père nous avait dit qu'elle n'y était pas retournée depuis qu'il avait fini de creusé le tunnel. Je commence à avoir vraiment des doutes sur son passée. Peut être qu'elle a subit une perte de la mémoire, qui sait. Mais non voyons Madison ! , Riley t'a dis qu'elle connaissait ce tunnel par cœur. Je ne sait plus quoi pensée de ma sœur. J'ai peur Maxime, de ne pas te retrouver. Ou même que tu soit mort ou que je découvre le passée de ma sœur qui changera peut être notre relation. Aide-moi.
– Prenez vos arcs en entrant on ne sait pas ce qui peut nous attendre.
Sa y est on est en face des escaliers du tunnel, cela me rappel toute mon enfance, la petite fille que j'ai croiser me revient aussi à l'esprit. Peut être que je la reverrai , en plus grande mais qu'elle n'auras pas besoin de mon aide, enfin je l'espère.
Nous descendons les marches, lentement une a une, j'entends les cœurs de mes sœurs battre , je garde tout de même mon sang froid. Je sais que mes sœurs s'inquiètent sur moi, sur mon passée, mais je ne peux pas leurs dévoiler ce qu'il m'est arrivé, du moins pas pour l'instant. Je dois penser au moment présent, pas au passée. Si seulement tout le monde penserait comme sa plus personne ne me poserai de questions, plus personne ne me trouverai différente.
La dernière marches est sous nos pieds, la survit commence, ce lieu est moins dangereux de la surface, mais il y tout de même des risques, j’ignore encore lesquels mais il en a, sans aucun doute plus qu'on ne le pense.
Commentaire :
Kayla
Je n'ai souvent pas mon mot à dire, même si j'ai tors. Le secret de Riley m'évite de parler, j'ai peur de la mettre en colère en lui faisant resurgir des souvenir du passée. Oui c'est sa, J'ai peur de parler juste à cause de son passé. Je sais qu'elle nous ne fera pas de mal, elle la prouver, elle nous protège, elle serai prête à mourir pour que nous vivons. Alors pourquoi j'ai peur ?, Pourquoi j'aurai peur des conséquences qui n'existerons pas si je lui demande ? D'avoir la réponse et que je change parce que j'aurai peur d'elle après que je la saurais ?, Que je sois troublé par ce qu'elle à vécu et que je parte pour m'échapper seule ? J'aimerai avoir des réponses à mes questions, mais je ne peux pas, pas tant qu'elle ne nous en parle pas par elle même. Mais est ce qu'elle en garde des cicatrices ?, par forcément sur son corps, mais est ce que au moins elle s'en souvient de son passée. Et si elle est devenu si glacial avec nous, et tout son entourage pour ne pas qu'on sache qu'elle ne se souvient de rien ? Peut être, on verra si un jour elle dira son histoire ou non.
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