La seule lueur du soleil que nous avions quelques temps auparavent a desormais disparu depuis une heure, voir plus, je n'arrive plus à me rendre compte du temps qui s'écoule. Nous continuons à marcher avec toujours autant de corps sans vies et de sang à nos pieds. Nous essayons de nous habituer à ce qu'il se passe autour de nous ; des hurlement au dessus de nos têtes, des cries et gémissent d'agonie à côté de nous, l'odeur qui n'est plus aussi forte mais tout de même présente.

Mais tous mes compagnons ont l'aire de s'être habituer, toujours sur leur gardent, pointant de leurs armes chaque être qui s'approche trop près de nous.

 Michaël marche près de moi, nous parlons tout bas comme si ont avait peur que quelqu'un nous entendent.

Il cherche à me connaître, à me décripter, il sait que nous serons ensemble durant un bout de temps. Et comme il m'a dit avec un grand sourire « Autant bien connaître la personne qui nous a sauver la vie, non ? »

 Michaël et Paul ne savent rien sur mon passé et celui de mes soeurs, et nous trois ne connaissons pas le leurs. Personne ne connais le miens, je doute même que je le connaissent réelement, moi même. On doit tous découvir le passé de chacun, chaque détail, sans en oublier un seul. Un élément pourrait changer totalement le passée que je connais, que j'ai cru vivre.

 Je vois une légère lueur au loin, cela doit être surment la lumière de la lune à la surface du tunnel.

Soudain, j'entend des rirent au dessus, des bouteilles de verres qui se cassent, des hurlement de souffrances. Je me tourne brusquement vers mes compagnons et leurs dis tout bas.

—Sortez vos arcs. Et vous, soyez vigilent,... Et essayer de ne pas vous faire tuer. Michaël pousse un petit rire étouffer et se met derrière mes soeurs et moi. Paul regarde par terre, il n'y a que des cailloux mais malgrès l'obsurité il trouve un petit canif. Je donne ma dague à Michaël, et je sors ma sphère noir, quelques secondes plus tard, elle transforme l'hologramme en solide, et attrape de mes mains l'épée.

Nous sommes un peu démunit d'armes, seules mes soeurs sont les mieux protégées et ont l'aventage d'attaquer de loins.

Nous nous approchons à pas de loups des rires continuels et des hurlments. On se cachent chacuns derrières des rocher assez grand pour camouflé notre silouettes.

Mes sœurs tirent sur l'un des hommes tenant une bouteille d'alcool, il s'écroule au sol, la bouteille tombe et se casse. D'autres arrivent près de lui pour l'aider mais il est trop tard, Kayla avait visée le cœur de l'homme, pendant qu'elle remet une flèche et qu'elle se positionne, Madison en tire une autre sur celui qui est de dos, en face de nous, la flèches transperce son foie et meurt instantanément. Une fille vient à son secourt, elle est tatouée sur la totalité de son corps du moins ce qui est visible. Kayla expire, la flèche part droit dans sa ligne atterrit dans la tête de la fille, la flèche ressort de l'autre côté de quelques centimètres.

Il en reste deux, un grand homme à droite, et l'autres assez colossal à gauche, de leurs première victime toujours par terre. Les deux hommes, sont autour de lui, pétrifiés, en moins de une minutes trois de leurs compagnons meurt sous leurs yeux, les flèches de mes sœurs se croisent, elles atteignent leur cibles au même moment et les hommes s'écroulent comme des amas de viandes, d'une flèche qui leurs transperçe le cou.

Michaël, Paul et moi montent legerment nos têtes pour aprecevoirs le messacres qu'a fait mes soeurs. On sort de nos cachette, marchant vers la surface.

L'air frais m'a manquer comme tous mes compagnons, je regarde les corps tous entasser les uns sur les autres. Mais au loin, j'aperçois un enfant allongé, il tousse en ayant une expiration saccadé. Du sang coule de son bras.

Je marche vers lui, m'accroupit pour être juste au dessus de sa tête, je le regarde il pleure de souffrances, il est faible.

– Tue moi, qui que tu sois, tue moi, j'en ai marre de souffrir. Me dis-t-il désepéré, une parti de moi hésite à répondre à sa demande pour qu'il soit en paix mais tuer un enfant est cruel, je prend un morceau de son tee-shirt déjà déchirer, l'entoure sur sa blessure pour arrêter le saignemant.

– Je te tuerais demain, mais d'abort tu vas venir avec nous, j'ai des choses à te demander. Je le prend dans mes bras, il est à bout de force et ne cherche pas à ce debattre.

Je marche vers mes sœurs qui enlèves leurs flèches de leurs victimes, elles, qui nous on montrer ce qu'elles sont capables de faire, elles ont fait leurs preuves, je n'ai plus à douter d'elles. Elles savent qu'elles avaient fait une erreur quand elles étaient pétrifiées de peur quand elles m'avaient vu avec Jason,où j'avais frôler la mort. Mais heureusement que je m'étais souvenu.

– Riley, on fait quoi maintenant, il est tard Paul et moi sommes un peu fatiguer et je pense que tes sœurs également. Dit Michaël en tenant Paul comme je tiens le petit garçon.

– Je pensais m'arrêter aussi ici, nous avons vécu assez de choses aujourd'hui pour que notre journée se terminent, nous allons encore marcher jusqu'aux ruines et nous camperons là bas, je pense que nous serons en sécurité. Tout le monde approuve mes paroles.

Ils cherchent tous du regards les fameuse ruines dont je parle, ils les voient, elles sont juste à coter d'une église au toit inexistant.

Le petit garçon ouvre les yeux lentement, il parle à voix très basse presque inaudible, un silence s'installe pour écouter le garçon.

– N'aller pas aux ruines, la bas il y des cannibales, allez à l'église, il y un passage secret près des parloirs, on y sera en sécurité, ma famille est dedans. Le garçon essouffler ferme les yeux et perd connaissance. Nous obéissons à ses conseilles, nous sommes tous fatiguer, je pense que personne ne veut se battre dans de telle conditions d'épuisement.

 Nous arrivons à l'église nous marchons lentement, nos pas résonne dans la grande salle. Près des parloirs une bougie est allumer. Au moment ou je regarde la bougie un visage me reviens en tête ; celle d'un homme, aux rides prononcés, des cheveux blond commencant à ce décoloré, son visage un peu alongé, des yeux creusé aux bleu très claire, puis le visage se dissipe jusqu'à que je prerenne mes esprits.

Nous entrons comme nous a indiqué le petit garçon, il y a effectivement un passage, j'entre la première, la dague à la main en cas de danger.

Trois personnes sont autour d'un feu, ils parlent entre eux. Cet endroit est étrange, ce sont des plaines, je sens le même vent que l'extérieur, je ne sais pas où sommes nous, mais nous sommes surement plus en sécurité, enfin si la famille du petit garçon nous acceptent.

– Bonsoir. Dis-je en m'approchant doucement de la femme, qui semble être la mère de l'enfant que j'ai entre les bras, elle s'approche méfiante et observe son fils inconscient, je lui tend le petit être avec une grande douceur, elle le prend entre ses bras.

– Qu'avait vous fait à mon garçon, il est mort ! Une larmes coule de son doux visage, il se remplit de larmes, elle le regarde à nouveau, mes compagnons viennent me rejoindre, il la regarde, le petit cligne des yeux, très faible, il essuit les larmes de sa mère, elle crie de joie en le voyant vivant. Son père et son frère la rejoigne.

– Qui-est-vous pour avoir sauver mon fils ? Dis le père en se rapprochant de moi, il me regarde de haut en bas, il me dévisage, il regarde mes sœurs, Michaël et Paul qui dort à moitiés debout.

– Nous sommes que des survivant, nous voudrions juste dormir un peu, nous repartirons demain, nous sommes tous très fatiguer. Dis-je en nous désignant, je vois Paul s'écrouler de plus en plus de sommeil, Michaël le rattrape de peu.

Ses parents acceptent que nous dormons, il nous disent que cette endroit est l'endroit le plus sécuriser de toute la ville, avant ils habitaient dans une maison en face de l'église, le petit garçon que je portais, jouait souvent avec ses amis ici, dans l'église, un jour en jouant à cache-cache il trouvèrent cette endroit qui est hors du monde.

– Depuis cinq jours la ville est devenu fou, ils ont bruler notre maison quand ma fiancée et moi travaillaient, mes fils étaient encore à l'école, alors nous nous sommes cacher ici, mon fils Emil celui que tu a sauver à été chercher du pain qu'on avait remarquer dans un endroit recemment, il a eu de la chance de vous soyez la pour le sauver.

Je regarde Emil dormir contre le feu bloti contre sa mère.

Une heure plus tard les parents et le frère d'Emil dorment ensembles à l'écart du feu, Michaël est à coter de moi sur le tronc de bois. Le feu éclair légèrement son visage mes sœurs regardent le feu, le regard perdu, Paul dort à cote de Michaël sur un petit tronc de bois qui est recouvert par sa veste qui fait office d'oreiller. Michaël se rapproche un peu plus de moi au fur et à mesure que je remus le bois, je ne fais pas attention à lui, du moins pour l'instant. Je pense que si cette endroit est hors du monde comme disent les parents d'Emil, ou sommes nous sur la terre, sommes nous vraiment hors de danger ici.

– Tu pense à quoi ? Me dis-t-il tout en regardant le feu que je remus avec un bâton qui est presque partit en cendre.

– Rien, je me perd dans mes pensées, tu devrais aller dormir demain nous partons tôt. Lui répondis-je en tournant lentement ma tête vers lui.

– Toi aussi tu es aussi un être humain tu as besoin de sommeil, tu nous as guider jusqu'ici avec tes sœurs, je pense que tu est tout aussi fatiguer que tout ceux qui sont ici. Me répondit-il en me remettant une mèche en place, il me regarde dans les yeux, ses yeux reflètent la lumière du feu, il a le visage couvert bleu à cause de Jason, sa lèvres inferieure est un peu ouverte, je regarde ses poignets , le fils barbeler par lequel il était attaché s'est recouvert de sa peau, autours des bouts de fils qui ressortes de sa peau, la couleur a dériver vers le bleu violet.

– Tu devrai les retirées, sa risque de s'infecter gravement, j'ai de l'alcool dans le sacs en cas de blessures, je peux t'en donner un peu si tu veux. Il regarde ses poignets, il n'a même plus pris conscience qu'il les a, il acquiesce avec un mouvement de la tête, je me lève pour aller chercher la bouteille, il me suit tout en me regardant, je le vois, je regarde discrètement vers les coin, il a un sourire, il se force à continuer malgré les déchirures qui se crée quand il me sourit. Je lui tend la bouteille, j'hésite à le laisser faire seul.

– Je le fais si tu veux bien,est-ce que tu as confiance en moi ? dis-je en le regardant dans les yeux, il sont brins, apparemment les personne qui ont les yeux brin sont fidèle, on confiance en eux et on peut aussi leurs faire confiance. On s'assoit ensemble l'un à cote de l'autre toujours autour du feu qui reste éternel. Je prend son poignet doucement, je sors mon couteau de ma poche, il ecarquille les yeux et retire son poignet de ma main. je lui fais un sourire rassurant et reprend son poignet. il est retiscent mais se laisse quand même faire.

J'essaie de faire aussi délicatement que je peux, malgrès ça, je sens son corps se crisper quand j'ouvre ses poignets, retire le barbelets et desinfecte la plaie. il ferme les yeux de toute ses forces pour se retenir d'exprimer sa douleurs mais des cris très faible sorte de sa bouche. J'ai un peu de la peine pour lui mais je sais qu'il en ressent aussi une certaine liberté.