T'as plus pied

Une minute de lecture

Aux poètes forts pour la stance

Ô combien de rimeurs, combien de Scribayennes

Qui ont écrit joyeux leurs poésies sereines

Pourront s’enorgueillir d’avoir eu des lecteurs

Appréciant leur œuvre à sa juste valeur ?

Combien nous ont quitté tristes et sans fortune

Délaissant leur ouvrage et regrettant déjà

Outre le fait qu’un soir quand brillera la lune

Si les amis virtuels qui sont restés là-bas,

Reines artificielles et rois superficiels,

De gloire eux non plus n’ont pas pu goûter le sel

La notoriété ne leur a pas donné

Renommée et argent qu’ils avaient espérés.

Je sais, vous vous dites c'n'est pas un acrostiche

Il faut avoir l'esprit tordu par l'hémistiche

Ou la raison perdue à force de vouloir

Nous éblouir avec un verbe ostentatoire

En tentant de passer pour un poète affable

Alors qu'en fait il est plutôt désagréable

Une fois qu'on sait qu'il aime la déconnade.

Jacques à dit je vous y invite

Il suffit de lire la suite

Inspiré par Oceano Nox de Victor Hugo

JI 15/11/18

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