Bonjour à tous ! 

L'histoire de Myra s'achève ici mais vous retrouverez Théo Wagner dans une histoire ultérieure et qui portera d'une manière plus générale sur le thème du handicap et sa place en société.

Je ne me dis pas être la meilleure personne pour changer les choses. Je sais que je ne le suis pas. Cependant si ce texte a réussi à vous faire voir Myra et ses semblables autrement que par ses clichés, j'en serais déjà très heureuse. Je sais bien que ce n'est pas un texte de vingt-cinq minutes qui va réussir à écraser les clichés installés depuis des siècles. Mais c'est toujours une voix de plus. Et une voix plus une voix et encore une voix.... fera taire ces idées reçues un jour. Et si Myra en est qu'un  minable son, j'en suis déjà satisfaite. Ma seule crainte est de ne pas avoir réussi à contourner entièrement les clichés, ou même pire, d'être tombée dedans ! Si c'est le cas, alors on peut largement dire que je me suis ratée et que ce texte est un échec....

Cependant, si ce texte est bon, alors j'ai réussi ce pourquoi je l'ai écrit. Je suis allée au bout du message que je voulais faire porter par Myra, j'ai dit ce que je voulais dire, à vous maintenant de l'entendre ou de rester sourd. Et si vous l'entendez alors prenez le en compte et essayez de changer. Croyez-moi, ce n'est pas si dure. Comme pour Gustave, ce n'est ici qu'une question de volonté. Et vous verrez très vite que vous ne ferez pas cela pour rien, vous aurez grandi. 

Mais le combat contre les clichés du handicap ne s'arrête pas là. Il est bien trop injuste et me tient trop à cœur pour que je m'arrête à vingt-cinq chapitres d'une minute en moyenne. Alors maintenant c'est Théo qui va s’exprimer. Et ça va vous changer de Myra. Vous risquez de vous prendre de sacré claques parce que je peux vous assurez qu'il ne va pas y aller de main morte. 

"Moi, Théo Wagner, douze ans et révolté" : croyez-moi, ça le résume parfaitement.