À propos de l'auteur

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Mon but et ma vision des choses.

J'essaierais de tisser un lien avec vous à travers chaque texte.
Je fournirais des notes, explications, analyses, si demander, mais pas sur tous les textes, sinon cela n'a plus d'intérêt.
Je vous donnerais juste les clés pour vous débrouiller par vous-même pour tout décrypter.
Je trouve que c'est plus gratifiant et enrichissant de tout trouver par soi-même et de vérifier après si c'était vraiment une intention de l'auteur ou non et bien sûr d'en parler après avec l'auteur si possible, que de lire une explication intégrale et détaillée, sans avoir cherché quoi que ce soit, par ce que FLEMME ! Pourquoi chercher, vu que les réponses sont là, toute prête, il y a juste à lire le guide de l'auteur.
C'est comme acheter un jeu déjà fini avec tout de débloquer à 100 %, cela n'a aucun sens pour moi, mais bon, chacun son mode consommation.

Je préfère apprendre à quelqu'un à pécher pour qu'il se débrouille tout seul après, ce qui apportera de la richesse et de l'accomplissement pour cette personne qui a appris et qui peut être fier d'avoir appris et maîtrisé quelque chose, que de lui apporter du poisson sans jamais rien lui apprendre et qu'il soit dépendant de moi pour manger du poisson.
( Ceci est un exemple théorique hein... Au cas où... Certains voudront faire les malins.)

Je sais bien que comme ça, je vais à l'inverse du succès et de la reconnaissance global, tout le monde aime le succès et la reconnaissance du public ou de ses pairs donc reconnaissance professionnelle, mais ce n'est jamais ce que j'ai recherché, ça n'a jamais été mon but.
Être reconnu pour mes textes serait une immense fierté ainsi qu'un immense honneur, ce serait une preuve, comme quoi, je ne suis pas juste un mec perché que personne ne comprend, car il est vraiment, putain, de trop, perché.
Et je ne parle pas des multiples sens, sous-texte, figure de style poétique ou non ainsi que des joyeusetés comme de la polysémie, homonymie, néosémie ou même des acrostiches qui est une manière de crypter très connu maintenant et bien sûr d'autres joyeusetés, mais si je détaille tout ici, ce serait interminable.
Pour faire court, j'utilise tout ce que je connais.

Malgré des événements d'il y a quelques mois qui m'a complètement détruit la mémoire, que ce soit en effaçant de nombreuses anciennes connaissances ou la quasi impossibilité a en stocker des nouvelles.

La joie !

J'espère vraiment que ne serait-ce qu'un texte soit percé à 100 %, que tout ce qui existe dans celui-ci soit trouver dans son intégralité.
J'aimerais parler à des personnes cultivées et intelligente avec qui je pourrais ressentir et partagé des émotions, mais aussi s'enrichir mutuellement pour être meilleure.

Si je voudrais avoir du succès ou même si je voulais être pété de thune, synonyme de réussite d'une vie. *Rires enregistré*

Je m'y prendrais plutôt comme ça, déjà, je sais qu'il n’y a pas d’ascenseur ou de raccourcis vers la réussite ou le succès, il faut prendre l’escalier même pour les pistonnés.
Si tu veux réussir à atteindre tes objectifs, il faut acquérir et contrôler l'information, les connaissances dont tu auras grandement besoin pour bâtir ton escalier vers la réussite de tes objectifs pour approcher de ton but final, s'il y en a un et bien sûr s'en donner les moyens.
Il faudra faire les bons choix en évitant les mauvais, plus faciles à dire qu'à faire, j'en conviens.

L'échec est bien sûr source d'enseignement, mais à un prix conséquent, parfois possiblement dramatique et ralentissant fortement l'ascension vers le but final.
Quand on tombe d'une falaise en escalade, il faut tout reprendre à zéro donc repasser par ce que l'on a déjà escaladé, non ?
Donc, ça vous donne bien l'image de comment nous pouvons être ralentie.
Patience est mère de vertus donc c'est du temps perdu oui, mais pour de l'expérience de gagner.
Pour le côté dramatique, il ne faut pas oublier que tomber d'une falaise peut être fatal.

Tout dépendra de la solidité de cet escalier que vous bâtissez, la solidité du travail fourni, des désirs, de la motivation, ainsi que de la volonté à les réaliser malgré les erreurs et les chutes qui peuvent se succéder et être décourageante.

Même en essayant d'appliquer les meilleures méthodes, tomber est inévitable, l'échec même les génies le connaissent.
On ne peut pas l'éviter malgré toute la bonne volonté du monde, comme on ne peut pas léviter malgré toute la bonne volonté du monde.

Mais ! Ce nombre peut être limité par tous les facteurs cités précédemment et l'expérience engrangée.

Une analyse pertinente du monde ainsi que de ses problématiques et des réponses qu'on peut lui apporter sont obligatoire pour une ascension rapide et maîtriser.
Le succès est plus le fruit de la persévérance et de l'épanouissement avec une chance maîtriser que le fruit du talent, inné ou pas.

La réussite n’a rien de magique, elle est toujours décidée et contrôler.
Avoir du succès dans ses entreprises est une étape, perduré dans le succès est un idéal.
Il ne faut jamais laisser le succès te tourner la tête, toujours te souvenir où tu vas et d'où tu viens ne jamais regarder à travers le filtre de ce putain de succès, qui est illusoire.
Mais ! Toujours au travers du filtre de son expérience.
On ne perdure jamais sur la voie du succès et de la réussite par hasard.
La longévité, ça ce travail et ça s'entretient.

Donc, dernier petit conseil pour la route, plutôt logique, mais que quasi-personnes n'applique, car les gens aiment se plaindre, en se complaisant dans leur misère et leur malheur, plutôt que de se bouger et faire des choses bénéfiques pour eux et leur avenir.

C'est sur, ça demande moins d'efforts et c'est plus facile, surtout de se dire “et si... ceci ou cela” mais avec des “si” on coupe du bois, du métal où on peut produire certaines notes, mais pas refaire le monde, changer sa vie, sa réalité ou son quotidien.

Dans la vie, il y a un truc qu'il faut comprendre le plus tôt possible, il faut bosser dur, mais pas pour rien dans sa finalité.
Ce serait un gâchis de temps et de force.
Nos forces ne sont pas illimitées, c'est encore plus vrai avec notre temps, qui peut s'arrêter à chaque instant.
Ne jamais être cupide mais intelligent dans ses désirs, ceux que l'on peut assouvir avec son pouvoir d'achat et utiliser ce pouvoir d'achat à bon escient comme avoir de nouveaux actifs par exemple.
De ce fait, vous ne travaillerez plus pour avoir de l'argent, mais l'argent travaillera pour vous et vous n'aurez plus jamais peur de manquer de quelques choses comme ce putain d'argent donc de pouvoir d'achat.
C'est le but d'avoir plus d'actifs que de passifs, faire des bénéfices grandissant, je n'apprend rien à personne, j'imagine ?
Alors pourquoi quasi personne le fait ?

Il y a aucune injustice à réussir, vous savez comment et pourquoi vous avez réussi et si le voisin rage de ne pas avoir ce que vous avez, partager votre savoir et vos bons conseils, éduquez-le !
Après, il appartient qu'à lui de suivre la voie vers la réussite de sa vie et le succès qu'il désire.
Il faut mettre tout en œuvre pour réussir sa vie, pour ne manquer de rien ou être heureux, un pas après l'autre et si l'échec se présente de nombreuses fois, replaces-toi, prends du recul et recommence après avoir appris de tes erreurs.

Voilà comment je m'y prendrais d'après les analyses de mes expériences.

Pour en revenir à l'art en général, honnêtement, j'en ai plus que marre, je suis dégouté par tant de débilité dans ce monde, des gens qui bouffent toujours la même merde en majorité, à tel point que le goût de la merde est devenu une norme et que malgré le goût infect que cela a, c'est devenue fade, sans gout, car trop consommer.
C'est anti-artistique à ce niveau !
Pour prendre l'exemple du cinéma du moment, celui des gros studios, que j'ai appelé le mouvement human centipède, le mouvement de studios qui font des films plus par ce que faut faire tant de film par studio et par année plutôt que par réelle démarche artistique.
Hors qu'avec les moyens investis, on pourrait faire des trucs géniaux, si on laissait les créateurs inspirés libre de se déployer plutôt que des investisseurs qui dictent leurs règles pour faire un film.

Les consommateurs sont autant à blâmer que les producteurs ou les actionnaires et dire qu'il y a des gens qui attendent juste que ça, de faire montrer leur vision du monde, leur vision du cinéma !
Et après, on se plaint que c'est plus aujourd'hui que des Hitchcock ou des Kubrick verront le jour.
Leur époque, était l'époque ou le cinéma était beaucoup plus libre, beaucoup plus expérimental, ce qui a donné des révolutions, la création de nouveaux codes, car c'était des personnes qui avait quelque chose à apporter à ce médium, une vision ou une manière de faire, quelque chose de personnel et enrichissant.

Je ne suis pas un jean-culture bobo branlette intellectuelle, mais faut reconnaître ce qui est un moment.
Peut-être que je n'ai pas le recul pour juger mon époque, vu que les 2 personnes que j'ai citées sont à l'ancienne va-t-on dire, mais l'état du cinéma d'aujourd'hui est ce qu'il est, pitoyable et triste.
On a quoi aujourd'hui ?
Un Spielberg qui s'est perdu et qui n'apporte plus rien, un Christopher Nolan qui enchaîne les pétards mouillés, Michael Bay et ses films 0 % scénario 100 % explosion ?
Sans parler de pourquoi !? On laisse des gens comme Paul WS Anderson et Uwe Boll, aux commandes d'une caméra ou avoir un gros budget ?
Surtout après les preuves que c'est toujours des fiascos qui ne respectent même pas des règles basiques que l'on apprend en première année d'étude du cinéma...

Bon, je vais arrêter là, je parle du cinéma, mais pour moi tous les médiums sont touchés à différentes échelles.
La faute à une consommation de masse ? À détailler, mais je me suis déjà beaucoup trop étendu sur le sujet, j'ai l'impression, non ?

Dernier truc, j'écris toujours avec de la musique, en ce moment du rap de chez Rustage où None Like Joshua, donc, j'imagine qu'il y a possiblement une certaine musicalité dans ce que j'écris.
Expérience intéressante à tenter, essayer de lire n'importe quels textes surtout les récents, en écoutant les sources cités, pour voir si vous avez le truc vous aussi et venez me le dire en commentaire des textes lus avec les musiques que vous avez écoutées !

Amusez-vous bien !

Un rythme d'écriture ?

C'est 5 derniers jours, j'ai écrit 30 pages, en calibri, taille 12.
Les 5 jours avant ça, presque rien, c'est totalement dépendant de mes idées, de mon humeur, de mes envies, de ce que je regarde, de ce que j'écoute etc...
J'avoue que maintenant que je suis sur Scribay, j'écris tous les jours, sans exception, l'inspiration appellerait l'inspiration ?


Quand je dis que j'écris, c'est ce schéma au minimum :

- Création mentale sans écrire

- Réflexion

- Écriture

- Relecture

- Réécriture

- Maturation, prise de recul

- Relecture

- Réflexion

- Réécriture

- Relecture

- Réflexion

- Correction

- V1 Fini

Je lis tellement mes textes, qu'à la fin, je suis totalement saturé et dégoûté, car trop lu d'affilée pour savoir si tout est bien comme je le veux et bien corrigé pour le respect du lecteur.
J'utilise aussi 2 correcteurs différents pour cela.

Sinon, je ne sais pas si ce que j'écris a sa place ici.
Mais, au pire, on s'en fout, tant que je peux écrire et laisser ma trace, ça ira.

Je vais voir cette plateforme comme mon labo littéraire.
Donc, ça ne sera pas toujours tout propre, comme tout labo qui se respecte.
Avoir un chaos personnel, c'est important.
Après, tout sera en perpétuel mouvement, ça se trouve plus tard, ce sera tout propre.
Avoir un ordre personnel, c'est important.


Pourquoi tu viens poster, si tu as l'air de t'en battre les noisettes ?


Version courte :

C'est simple, on m'a souvent accusé de ne pas partager à tout le monde ce que je fais et demandé pourquoi, je ne partage pas sur internet, qu'est-ce qui m'en empêche ?
Car à ce qui paraît, c'est bien, intéressant, transmet bien les sentiments et ça pourrait aider beaucoup plus de personnes que ce pourquoi cela a été créé.
C'est-à-dire, exprimer mes sentiments et me faire comprendre, vu que j'ai vraiment beaucoup de difficultés à communiquer sur ce genre de choses et que je garde tout pour moi, que je prends feu, que le sol se dérobe sous mes pieds ou que le ciel me tombe sur la tête, je garde toujours tout pour moi d'ordinaire.
Donc mon labo sera le seul endroit, où je m'autoriserais une trêve pour évacuer mes sentiments sous couvert d'anonymat.


Approfondissement :

Donc, j'ai réfléchi à la question, car elle se faisait de plus en plus insistante et récurrente et toutes les oppositions que je trouvais sont des oppositions liées à la honte, l'impuissance, la peur et particulièrement la peur de se montrer sous un jour peu glorieux, faible...

Tout le contraire de ce que j'ai appris...
À l'heure ou tout n'est que compétitivité malsaine, ou il faut se montrer féroce et impitoyable pour se faire respecter, ou se faire une place.
Dévore où sois dévoré, inspirent la peur et le danger.

Pourquoi choisir de révéler ses faiblesses, ses blessures et de verser dans le sentimental ou l'émotionnel ?
Dans un monde où les animaux censés être les plus évolués s'entre-dévorent par plaisir ou/et besoin égoïste.

Ce monde n'est que jeu de pouvoir, en tout cas pour moi et de ce que j'ai expérimenté.
Chercher de la compagnie même avec précaution, est dangereux.
Un humain ne peut rester seul, c'est dans sa constitution.
L'humain est une espèce profondément sociale dans le but de sa survie.
Il est impossible de rester toute sa vie seule, même si les autres représentent un danger potentiel, il vaut mieux choisir le danger et jouir de court moment de bonheur, que rester seul et mourir seul a causes de différents facteurs.


On s'aperçoit vite à terme, que nos faiblesses, sentiments, émotions sont toujours comme des armes retournées contre nous.
Donc on apprend la leçon, douloureusement, mais l'apprentissage se fait souvent dans la douleur. Une douleur qui enrage.
Dans le cas où on est malheureusement empathique, sentimental, émotionnel par nature, on le cache du mieux que l'on peut dans le but que cela ne soit pas retourné contre nous.

Donc partager aux plus grands nombres, surtout des inconnu(e)s, donc des dangers potentiels, n'a donc jamais été mon objectif.

Ces textes sont une partie de moi à part entière, une mise à nu sans carapace, sans échappatoire, sans artifices, sans paraître.
C'est comme être à genoux, sans armes, sans armure dans un environnement ouvert où les attaques peuvent venir de toutes parts.

Je préfère donc contrôler l'information.
L'information est une des armes les plus importante et puissante dans ce monde.
Une source de danger à contrôler.
Donc, j'ai pris l'habitude de prendre le risque de partager aux seules personnes à qui s'était destiné, les personnes dont je pensais avoir reconnues la valeur.

Tout ça, avec une information importante, je savais que je ne serais jamais compris entièrement pour tout un tas de différents facteurs comme la culture, le sens de l'interprétation ou le vécu par exemple.


Cela m'a longtemps poursuivi, empêché d'écrire (car à quoi bon au fond...), de me dévoiler, d'exprimer ce que je ressens.
J'ai donc adopté une écriture codée ou cryptée avec beaucoup de sous texte, le tout sous couvert de textes à figure poétique comme je l'ai déjà dit plus haut.


Si vous êtes capable de tout décodé et j'en doute énormément, c'est que vous me connaissez très bien ou que vous savez entré dans la tête des gens et décodés/décryptés ces dites personnes.
Mais bon, de toutes façon qui vous dira si vous avez en effet tout trouver, tout décoder, tout décrypter ou non et que votre interprêtation est la bonne ?

Dans le milieu de l'art, dès que l'on montre son oeuvre au publique, le publique s'en empare pour voir ce qu'il veut dans l'oeuvre, la dite oeuvre n'appartiens donc plus a son créateur mais au publique.
Chacun aura sa version de l'histoire et son avis.
C'est le publique qui fait vivre une oeuvre et qui fait vivre son créateur, même a titre postume.

Beaucoup de choses que j'ai écrites pourraient être adaptées en musique, chant ou rap, l'idée m'a traversé l'esprit.
Pourquoi s'arrêter à l'écriture ?


J'ai découvert, médicalement parlant, que j'étais malade depuis longtemps, il y a plusieurs mois, lors de mon séjour de quelques mois en clinique.
Le plus drôle, dans tout ça, c'est que je réalise toujours pas que je suis considéré comme handicapé officiellement au yeux de la société maintenant.

J'ai faits des choses que je ne me pardonnerais jamais, que je sois malade ou pas, peu importe, je reste moi, responsable de mes actes, peu importe toutes les saloperies qui me bouffe depuis tant d'années.
Mais, maintenant que tout a été dépister et dénomé, il est trop tard pour me soigné.

Malgré ce que la vie m'a douloureusement enseigné, je ne peux aller contre ma nature indéfiniment. Toutes façon, c'est pas comme-ci je serais encore là dans...
Vaut mieux pas que je fasse un décompte.


Que restera-t-il de moi quand je m'en irais ? Qu'est-ce que je sais faire qui peut laisser une trace et prouver que j'ai existé ?

Écrire, chanter, rapper, produire, faire tout sortir.

C'est ainsi que j'ai ouvert ce labo littéraire.

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