La promesse :

9 minutes de lecture

Les jours et les semaines qui suivent, chacun avait des emplois du temps très charges, les cours, les révisions, les fatigues de fin d’année.

12 Juin 2008.

Giulia a fini ses partiels.

Elle discute avec ses amies, mais elle n’a pas trop la tête, elle a envie de voir Arnaud, elle doit lui parler.

Lorsque le groupe d’amies se dispersait, elle en profite, pour trouver une salle de libre pour s’isoler.

Giulia : ah (elle entre, sort son phone, elle l’appel).

Arnaud : coucou ma belle.

Giulia : bonjour beau gosse, comment ça va ?

Arnaud : ben écoute, boff, les cours sont finis, mais je dois attendre un putain de bus de merde, et j’ai deux heures de route... Fait chier sérieux.

Giulia : merde pas de chance, courage, je suis de tout cœur avec toi

Arnaud (sourire) : merci beaucoup, et toi, tes partiels ?

Giulia (en sortant du bâtiment, elle marche vite jusqu’à sa voiture.) : ben disons que je pense que j’ai validé mon année (sourire)

Arnaud : toutes mes félicitations (sourire).

Giulia : ne vendons pas la peau de l’ours avant de ne l’avoir tué, il faut attendre la fin de semaine pour avoir les résultats.

Arnaud : tu vas réussir, je n’ai aucun doute ma belle, et maintenant que vas-tu faire ?

Giulia : je rentre à l’appartement, j’ai plein de rangement à faire, un bordel monstre.

Arnaud : ah ouais, je comprends, courage.

Ils discutent encore pendant une demi-heure, jusque quand Arnaud prend son bus pour rentrer chez lui, une fois raccrocher, Giulia passe la cinquième, elle a le temps, mais elle veut être arrivée le plus vite possible en étant la plus prudente possible.

Une heure dix après, elle arrive dans la rue de chez Arnaud, sur toute la route, elle ne pensa qu’a une chose, ce qu’elle aller lui dire.

Giulia à peur qu’Arnaud, trouve une fille, alors oui, il n’est pas le plus beau, ni le plus intelligent.

Elle met plusieurs minutes pour trouver une place de parking, à l’instant où elle arrête le moteur, elle reçoit un sms d’Arnaud, ils discutent jusqu’au moment où il lui annonce qu’il est arrivé à la gare routière.

Elle descend de la voiture, elle va vers le bâtiment, elle pousse sur la porte, elle n’est pas fermée, cela est un signe pense t'elle.

Elle monte l’escalier le plus silencieusement possible, arrivée à la porte, elle s’asseoir sur la dernière marche puis elle attend, il ne faut pas longtemps, elle entend rapidement la porte qui s’ouvre.

Arnaud : putain, je suis mort.

Elle a le sourire en entendant sa voix, il monte lentement, lorsqu’il arrive, il lève la tête, un énorme sourire lui arrive sur le visage, les traces de fatigue disparais en quelques secondes.

Arnaud : mais... je ne comprends pas...

Giulia : oui, je sais, mais faut que je te parle Arnaud...

Elle rougit

Arnaud : ah... je sens la mauvaise nouvelle...

Il ouvre la porte, ils entrent

Elle lui attrape le bras, pour le faire retourner, elle lui attrape le visage, elle l’embrasse, leurs langues se retrouvent enfin, depuis le temps qu’ils attendent pour enfin ce retrouver.

Arnaud : en voilà d’un accueil (sourire)

Giulia (rougie) : on peut aller sur le canapé (une fois installer), Arnaud, je te demande de ne pas m’interrompre s’il te plaît, j’ai 19 ans, ma vie n’a jamais été simple, mon père toujours absent pour son boulot, une mère absente pour son boulot, lorsqu’ils ont là, ils veulent acheter leurs absences en m’offrant tout ce que je veux, j’ai vite compris que je pourrais avoir tout ce que je veux facilement...

Il y a quelques années, j’avais pensé trouvé l’amour, en une soirée, nous étions ensemble... Il a profité de moi, de mon argent, de mes faiblesses, il m’a rabaissée plus bas que terre, il a fait de moi, une pauvre fille qui n’a que la peau sur les os.

Une fille qui a peur de la vie, alors oui, je porte un masque pour que les gens ne me cassent pas les bonbons, je me suis mise à fumer pour lui faire plaisir, mais mon corps n’a pas supporter, alors j’ai arrêté, mais à la place, je picolais...

Pour lui plaire, pour qu’il m’aime, une fois, j’ai voulu faire l’amour, lui n’avait pas envie, alors il a proposé à ses potes, de baise la salope.

Je n’étais rien pour lui, mais je l’avais dans la peau... Enfin, c’est ce que j’ai cru...

Jusqu’au jour, ou nous avons discutez...

Avec toi, tous paraient plus simple, plus normal.

Et arriva le jour, ou nous avons fait l’amour sur la plage... Comment te dire, que c’était un moment magnifique, j’ai eu pour la première fois de ma vie, un orgasme.

Puis quelque temps, j’ai appris que je porte ton enfant... Notre enfant... Mais la vie à décider autrement... Peut-être que cela fut une bonne chose... Car nous n’avons rien, pas de boulot, pas de toit qui nous appartient...

Tu ne m’as pas jugé, tu ne m’as pas rendu responsable, ni accusé.

Tu as simplement été là pour moi.

Tu m’as parlé normalement, les autres ont peur de discuté avec moi, je ne leur reproches pas, parce que j’en ai décidé ainsi, mettre une frontière entre eux et moi, pour me protéger de leurs souffrances.

J’ai appris à te connaître, alors qu’avant, je ne pouvais pas te supporter, que serait le monde si on apprendrait à connaître les autres, le monde serait meilleur et plus beau.

Le matin, en ouvrant les yeux, je me pose des questions, est-ce qu’il a bien dormi ? Puis est-ce qu’il pense un peu à moi (elle rougit.) Puis je prends mon phone et sois tu m’as envoyé un sms ou je t’en envoie un.

L’autre jours, lorsque nous avons passé la journée... Et la nuit (rougie), quand j’ai ouvert les yeux je me suis rendu compte que j’ai dormi toute la nuit sur ton épaule et que j’étais bien.

Lorsque je suis avec toi, j’ai l’impression que le temps s’arrête, je suis tellement bien avec toi. (elle rougit encore plus.)

Lorsque tu n’es pas là, j’ai l’impression qu’il me manque quelque chose (des larmes lui arrivent aux yeux.) tu es un phare, mon phare.

Je sais que tu peux trouver n’importe quelle meuf, mille fois mieux, qu’un sac d’os que moi et tu aurais raison, mais aucune... Ne pourrait être amoureuse de toi, comme je le suis.

Je t’aime Arnaud D. comme je n’ai jamais aimé une personne de ma vie... Voudrais-tu de moi ? Veux-tu être mon mec ?

Arnaud essuie les quelques larmes qui coulent de ses yeux...

Arnaud (sourire) : euuh, tu attends une réponse ?

Giulia (sourire) : non-idiot.

Il l’a prend dans ses bras, il l'a fait tourner en rond plusieurs fois, puis ils s’arrêtent, il ne la repose pas, Giulia passe ses jambes autour de la taille d’Arnaud, il passe ses mains sous ses fesses.

Arnaud : je t’aime Giulia G. (elle sourit, ils s’embrassent.) Mais sache qu’être avec moi n’est pas chose facile, tu devras te montrer forte, avoir du caractère, ne pas avoir peur de m’engueuler, de me remettre en place sinon cela ne pourra pas fonctionner entre nous.

Giulia (elle l’embrasse.) : oui, mais (elle rougit.) je voudrais que tu me fasses une promesse.

Arnaud : oui ?

Giulia : je sais que tu as déjà eu plusieurs meufs en même temps... ne me fais pas ça.

Il la regarde droit dans les yeux, première fois de sa vie qu’il vit ça, habituellement, lorsqu’il est en couple, il va ailleurs, car il s’ennuie avec la fille.

Arnaud : Giulia, je te regarde droit dans les yeux, je te fais la promesse, qu’il n’aura pas d’autres femmes, il n’aura que toi, je t’aime.

Giulia (en pleure) : je t’aime mon cœur.

Ils tournent plusieurs fois, en s’embrassant.

Giulia : tu sais ce que je voudrais ?

Arnaud : oh, là, non, comment veux-tu que je sache ce que peux vouloir une femme, vous êtes tellement compliqué (il rigole).

Giulia (sourire) : en plus, monsieur à fait l’école du rire.

Arnaud : que veux-tu ? (sourire)

Giulia : je veux que mon mec me conduise dans la chambre et qu’il me face l’amour toute la nuit avec sa grosse bite. (sourire)

Arnaud : aaaaah, oui, là je pense que je peux.

Il la porte jusqu’à la chambre en l’embrassant.

Il la pose à terre, ils continuent de s’embrasser, elle le pousse sur le lit, ils tombent, ils rigolent.

Arnaud s’installe confortablement, elle arrive vers lui en mode tigresse qui chasse, elle monte sur lui, ses fesses touchent la bosse qui est formée sur le jean, elle lui retire les vêtements en quelques instants, Arnaud est le seul qui porte encore un vêtement.

Giulia est complèment à poil, elle retire le boxer pour prendre en bouche l’objet de ses désirs.

Giulia : hmmm, qu’elle est grosse, elle est à moi, et rien qu’à-moi ta bite.

Elle le suce, elle pose ses deux mains dessus elle le masturbe, sa bouche suce uniquement le gland, elle lèche les couilles, elle remonte, plusieurs fois elle essais de faire une gorge profonde, mais elle n’arrive pas.

Il lui caresse les seins, il masse l’un puis l’autre.

Quand d’un coup, il la fait tomber sur le lit, les jambes écartées, Arnaud plonge la tête pour lui rendre l’appareil.

Giulia : mon dieu, HMMMMM.

Elle avait envie d’avoir son sperme, mais dans l’histoire elle n’est pas perdante, il lui embrasse les cuisses et sans le moindre signe, il donne des petits et rapides coups de langue sur le clito qui est déjà en feu.

Elle gémit sous sa langue experte, Arnaud place un doigt dans son minou, elle gémit.

Giulia : mon cœur 4 doigts, il faut au moins ça pour ta bite.

Il introduit, un second doigt, il donne de longs mouvements, pendant que sa bouche ne s’arrêtait pas, il était comme un fou, il a toujours aimé donner du plaisir aux femmes.

Un troisième puis un quatrième, Arnaud avait la main recouverte de mouille, il ne peut pas résister de lèche

Giulia : je veux ta bite.

Arnaud s’allonge, elle se lève pour prendre son sac, elle en fait tomber pas moins de dix capotes sur le sol, Arnaud, eu le sourire.

Elle se mord la lèvre.

Elle prit une capote pour essayer de l’installer sur l’énorme pine, Arnaud l’aide un peu, elle l’embrasse pour le remercier, l’instant qui suit elle prend le pénis en main ses lèvres s’écartent délicatement pour accueillir son homme.

Ils passent de longues minutes à faire l’amour, ils gémissent, Giulia a plusieurs orgasmes, son corps est en feu, ils n'ont pas besoin de parler juste un regard, ils se comprennent, ils fondent plusieurs positions et lorsqu’il est sur le point de jouir, elle lui demande s'il peut jouir dans sa bouche.

Il la prévient qu’elle ne pourra peut-être pas tout avaler, elle accepta, elle retire la capote, en quelques aller-retour, il jouit, une quantité énorme de sperme, elle réussit en avaler un grand parti, mais pas tout, il en a trop.

Elle trouva son sperme bon, goût sucré.

Il faut un peu de temps pour qu’Arnaud revienne à lui.

Elle en profita pour aller prendre une petite douche, pour retirer le sperme qu’elle avait dans les cheveux, sur le visage, les seins, on dirait un masque.

Lorsqu’elle retourne toute nue dans la chambre son homme est allongé complétement nu.

Elle le rejoint, ils s’embrassent.

Arnaud : je t’aime.

Giulia : je t’aime mon Arnaud.

Elle place sa tête sur son épaule, une main sur le pénis qui n’a pas retombé.

Arnaud : excuse

Giulia (elle l’embrasse) : ne t’excuse pas, j’aime la sentir dure, elle est vraiment énorme, j’adore.

Ils passent quelques minutes dans un grand silence...

Giulia : tu nous vois ou dans 10 ans ?

Arnaud : a deux dans la joie, le bonheur, oui, la vie ne sera pas facile, mais à deux, rien, ni personne ne pourra nous résister, on pourra déplacer des montagnes ensemble.

Les deux ont le sourire.

Ils sont enlacés, ils ne bougent plus, ils regardent vers le futur.

C’est ici que la porte de nos amies se referme.

Et la fin de cette aventure.

Merci d’avoir été présent.

FIN.

Annotations

Versions

Ce chapitre compte 3 versions.

Vous aimez lire Morgan Uchida Officiel ?

Commentez et annotez ses textes en vous inscrivant à l'Atelier des auteurs !
Sur l'Atelier des auteurs, un auteur n'est jamais seul : vous pouvez suivre ses avancées, soutenir ses efforts et l'aider à progresser.

Inscription

En rejoignant l'Atelier des auteurs, vous acceptez nos Conditions Générales d'Utilisation.

Déjà membre de l'Atelier des auteurs ? Connexion

Inscrivez-vous pour profiter pleinement de l'Atelier des auteurs !
0