Luinilia
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Violette est une jeune adolescente de 15ans. Elle vient d'entrer au lycée et ne sait pas ce qui l'y attend. Elle est discrète mais heureuse jusqu'à rencontrer le monstre qui viendrait la détruire.
Violette. C'est l'histoire d'une jeune fille mais aussi de nombreuses autres filles qui souffrent aujourd'hui.
Violette, c'est moi. C'est toi. C'est nous.
Violette s'est relevée, elle s'est battue pour vivre, pour être heureuse.
Violette s'est défendue et a gagné la bataille non pas sans chutes.
Violette. C'est l'histoire d'une jeune fille mais aussi de nombreuses autres filles qui souffrent aujourd'hui.
Violette, c'est moi. C'est toi. C'est nous.
Violette s'est relevée, elle s'est battue pour vivre, pour être heureuse.
Violette s'est défendue et a gagné la bataille non pas sans chutes.
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Elles sont dix. Dix femmes dont la vie va basculer. Dix femmes qui, jusqu'à présent, tenaient sagement leur rôle de femme. Aujourd'hui, c'est fini. Ce changement s'appelle Karmilla Shadow.
Karmilla est une jeune femme éprise d'aventures et de voyages. Après l'abandon de son père, la mort de sa mère, il n'y a plus de sens dans sa vie. Son cœur ne bat que pour un ailleurs.
Les nombreux navires n'acceptent pas les femmes, sexe faible. Elle prouve par son courage qu'elles ne sont pas que ce sexe faible. Que va-t-elle découvrir lors de ses périples en mer ? Qu'est-ce que son père lui a caché sur son histoire ? D'ailleurs, qu'a-t-on caché à ces dix femmes qui ont donné leur vie pour suivre Karmilla ?
A l'abordage !
Karmilla est une jeune femme éprise d'aventures et de voyages. Après l'abandon de son père, la mort de sa mère, il n'y a plus de sens dans sa vie. Son cœur ne bat que pour un ailleurs.
Les nombreux navires n'acceptent pas les femmes, sexe faible. Elle prouve par son courage qu'elles ne sont pas que ce sexe faible. Que va-t-elle découvrir lors de ses périples en mer ? Qu'est-ce que son père lui a caché sur son histoire ? D'ailleurs, qu'a-t-on caché à ces dix femmes qui ont donné leur vie pour suivre Karmilla ?
A l'abordage !
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L'année 2120 a sonné, et avec elle, la population se retrouve confrontée à de nouvelles problématiques. Les ressources sont de plus en plus rares et les hommes font toujours de plus en plus d'enfants. Le chef d'état décide de prendre des décisions radicales afin de pallier à ces difficultés : supprimer toutes les religions.
Lou se retrouve en plein cœur des changements. Persécutée, elle se doit de se montrer courageuse et avancer dans ce monde en mouvement. Au cœur des guerres, comment faire régner le bien ? Comment survivre à cette nouvelle Shoah ?
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Cette histoire répond à un défi visant à écrire un genre dont on n'a pas l'habitude. J'ai choisi la science fiction, avec un sujet assez complexe à traiter. Soyez indulgents, encore plus que d'habitude ;)
Lou se retrouve en plein cœur des changements. Persécutée, elle se doit de se montrer courageuse et avancer dans ce monde en mouvement. Au cœur des guerres, comment faire régner le bien ? Comment survivre à cette nouvelle Shoah ?
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Cette histoire répond à un défi visant à écrire un genre dont on n'a pas l'habitude. J'ai choisi la science fiction, avec un sujet assez complexe à traiter. Soyez indulgents, encore plus que d'habitude ;)
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Ayana a la chance d'être accompagné d'un petit être relatant ses faits et méfaits.
Fragile et souvent seule, elle souffre d'attendre plus que de vivre réellement. Un jour, elle rencontre un jeune homme qui va lui donner l'impression d'exister, d'être unique et particulière dans ce monde où tout est une pâle copie.
Mais cet homme, ne cache-t-il pas un mal être encore plus grand que celui d'Ayana ? Ne serait-il pas non plus victime de lui-même en se berçant d'illusions ?
Fragile et souvent seule, elle souffre d'attendre plus que de vivre réellement. Un jour, elle rencontre un jeune homme qui va lui donner l'impression d'exister, d'être unique et particulière dans ce monde où tout est une pâle copie.
Mais cet homme, ne cache-t-il pas un mal être encore plus grand que celui d'Ayana ? Ne serait-il pas non plus victime de lui-même en se berçant d'illusions ?
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Défi
A toi ma douce et merveilleuse petite fille,
14 mois. 14 mois que j'ai des étoiles dans les yeux chaque jour en t'admirant toi, ton savoir, ta beauté, tes manies, ton sourire, ta joie. 14 mois que je suis devenue maman de la plus belle des petites filles, que je passe mon temps complètement admirative à ton égard. J'ai toujours rêvé d'avoir une petite fille car je voulais inculquer mes pensées autour de la liberté et de l'égalité que je défends depuis toujours à quelqu'un qui avait le pouvoir et la magie de changer les choses. Je rêve de bâtir un monde meilleur où la femme n'a pas à se sentir moins bien que les hommes.
Tu t'appelles Mulan mais je ne veux pas que tu fasses comme un homme. Fais comme toi tu le veux, à ta manière, et ce sera encore mieux !
Tu es une fille et pour notre société tu seras considérée comme le sexe faible. Tu auras un salaire moins conséquant que celui que touchent les hommes. On te refusera certains métiers davantage destinés aux hommes. Tu ne seras pas sous marinière. On te dira que si tu touches le SMIC, tu ne pourras pas divorcer. On te fera croire que ta place est dans la cuisine ou à tenir le balai familial. Tu te baladeras un jour dans les rues et on te dira que tu es bonne tout en te faisant des tas d'allusions sexuelles. Ton corps fera, sans doutes aucuns, envie à la gente masculine. Tu te feras peut être agressée, violée, ou pire qui sait ? Sous le simple prétexte que tu portes une jupe trop courte. Tout cela pour ne pas dire que tu es une fille et que ce statut peut parfois te rabaisser.
Je sais tout cela et je ne te les écris pas pour te faire peur. Je te les dis car je suis moi aussi une femme et qu'autrefois, j'ai souffert de ce statut. Je suis à la fois choquée et triste de voir que la situation évolue si doucement qu'on ne le remarque même pas. Je veux me battre pour toi et pour toutes les petites filles qui viendront derrière moi.
Grandis dans ce monde en songeant que tout est possible. Tu as le temps et des rêves à accomplir au fond de ton coeur. Alors va ! Je t'encouragerai toujours à atteindre les objectifs grandioses que tu te fixes. Ne songes hamais que quelque chose n'est pas à ta portée car la société te le fais croire. Tu es capable de bien plus que tu ne le crois ! Tu feras de belles choses ma fille, mais ne soit pas toujours trop sérieuse. Amuse-toi, prends du bon temps et que tout cela ne t'empêche pas d'aimer les personnes qui t'entourent.
C'est cela la force : c'est de continuer malgré tous les maux infligés, à aimer l'autre quand bien même il nous persécute. C'est un pari à prendre mais, crois-moi, ça vaut le coup. SI je m'étais laissé aller après la multitude de mauvaises expériences que j'ai eu, tu ne serais pas là aujourd'hui. Tu es un miracle. Mon miracle.
Et si les personnes que tu aimes se montrent malgré tout vexantes quant à ton statut, dis le leur. Ne te tais surtout pas ! C'est ainsi que les miracles commencent. C'est ainsi que ton père me décharge de certaines tâches comme la vaisselle, le repassage ... Je fais ma part également, bien entendu. Mais le secret, c'est l'égalité. Je t'avouerai que quelque chose qu'on pourrait encore améliorer, c'est la capacité à encaisser. Ô combien ton père se sent malade avec juste un rhume, Ô combien il est fatigué après avoir accompli sa tâche ménagère. Mais il n'est qu'un homme après tout. Et il n'aura jamais à subir ce que nous subissons. Tu es bien plus forte que tu ne le crois. Et telle la super héroïne qui se cache en toi, tu détiens entre tes mains le changement vers un monde meilleur.
Je t'aime de tout mon coeur,
Ta maman
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Obscurantisme, prison, esprits peu avancés. On aurait pu trouver bien des qualificatifs pour qualifier et juger cette monstrueuse période sanglante, nous, habitants du XXIème siècle.
Elisa, depuis son retour chez elle n'aspire qu'à une chose : Retourner dans le passé afin de retrouver toutes ces personnes qui lui ont redonné le sourire et le goût à la vie. Jamais elle ne s'est sentie aussi heureuse que sous la dangereuse menace de la guillotine.
Réussissant à retourner dans son passé bien-aimé, elle se retrouve malgré tout très loin des années révolutionnaires ... Bienvenue en 1572 chère Elisa !
Elisa, depuis son retour chez elle n'aspire qu'à une chose : Retourner dans le passé afin de retrouver toutes ces personnes qui lui ont redonné le sourire et le goût à la vie. Jamais elle ne s'est sentie aussi heureuse que sous la dangereuse menace de la guillotine.
Réussissant à retourner dans son passé bien-aimé, elle se retrouve malgré tout très loin des années révolutionnaires ... Bienvenue en 1572 chère Elisa !
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Bohemian Rhapsody : un album qui permet que tous les marginaux se rencontrent, c'est ce que disait Freddie Mercury. C'est ce que sera ce texte.
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Ce recueil est inspiré d'un des défis proposés que je n'ai pas su finir en temps et en heure mais je vous partage ce texte tout de même. Il fallait, à chaque chapitre, tirer une phrase d'une chanson dans un album. Bohemian Rhapsody est actuellement l'album que j'écoute quotidiennement dans ma voiture <3
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Ce recueil est inspiré d'un des défis proposés que je n'ai pas su finir en temps et en heure mais je vous partage ce texte tout de même. Il fallait, à chaque chapitre, tirer une phrase d'une chanson dans un album. Bohemian Rhapsody est actuellement l'album que j'écoute quotidiennement dans ma voiture <3
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Défi
Être une femme n'est pas chose aisée. Lorsqu'une petite fille naît, on vous offre des petites robes roses parce qu'elle se doit d'être mignonne. Une femme se doit d'être correcte, porter des vêtements adéquats mais assez mignons, tenir son foyer correctement, tout en élevant correctement ses enfants. Ecarter ses cuisses quand le moment est venu. Donner une suite à la lignée de son mari. Être une femme n'est pas chose aisée car même si elles essaient de se dégager de cette image archaïque, il en restera toujours des fragments.
Cet inktober racontera l'histoire d'une famille dont les femmes aux vies diverses et variées se dégageront de l'image qu'on le leur a inculqué et devenir elles-mêmes.
Cet inktober racontera l'histoire d'une famille dont les femmes aux vies diverses et variées se dégageront de l'image qu'on le leur a inculqué et devenir elles-mêmes.
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Défi
J'ai toujours songé que demain serait mieux qu'aujourd'hui. Mais la vérité est que jamais il n'y a eu de mieux. Je souriais, rassurais mon entourage. Faisais mon bon travail de maman et d'épouse, de maîtresse, de citoyenne. Mais la vérité était là et dure à entendre. Le bonheur stagnait mais jamais il n'y en avait plus que la veille. La vie est un cycle qui se répète indéfiniment. Et je venais à me dire que la vie n'avait pas de sens, qu'elle ne valait pas forcément le coup d'être vécue pour la simple et bonne raison que le bonheur n'existait pas vraiment.
Comment, âgée d'à peine trente ans, un mari et deux enfants, un métier de passion, pouvions-nous nous retrouver ainsi? Aussi blasée de la vie ?
Me regardant à travers le miroir, je crois encore entrapercevoir la jeune fille pleine d'ambition qui pouvait soulever des montagnes au nom de la liberté, au nom de l'égalité. Des petites rides venaient déjà les enterrer à tout jamais. Des cheveux grisaillants ternissaient une beauté déjà trop aléatoire, presque transparente, presque illusoire.
Je ne m'étais jamais trouvée jolie. Pourtant Dieu sait combien j'aimais admirer mes propres portraits. Je n'étais pas belle à l'instant T mais je l'étais hier, sans m'en rendre compte. De gros cernes venaient assombrir mon regard. Il n'était plus question de les cacher. J'étais épuisée par des nuits raccourcis, par les besoins d'autruis, par le bruit des voisins et les ronflements de mon mari.
Je poussais un long soupir plein d'ennui. Mon visage était comme tout : banale et ennuyeux. Je ne savais même plus me vêtir avec originalité. C'était tous les jours les mêmes tuniques pour ne pas paraître trop dévergondée, ou trop alléchantes pour les personnes de mauvais goût.
J'entendais le père de mes enfants les gronder d'avoir jeter la pâte à modeler sur le sol, et leurs pleurs lui répondant.
-J'arrive ! lançai-je agacée d'être interrompue
Mais pour faire quoi ? Donner le sein au petit dernier ? Attendre que le temps passait encore une fois ? Assise en tailleur sur le canapé, faisant la madonne distributrice de bisous ? Patientant que leur père soit parti travailler et attendre qu'il rentre, épuisée et ne m'adressant qu'un vague baiser sur mes lèvres sèches et crispées?
Enceinte, j'imaginais de grandes choses pour mes enfants. Qu'ils fassent de grandes découvertes qui changeraient le monde, qu'ils écriraient des romans et se battraient contre des inégalités. Qu'ils soient médecins, architectes, avocats, profs, ou même présidents de la République. Qu'ils soient heureux.
Je leur avais donné la vie pour qu'ils soient heureux.
Ma mère m'avait porté neuf longs mois et je me consolais en me disant qu'elle aussi devait avoir eu des desseins identiques à mon égard.
Ainsi donc, je serai celle que ma mère avait fantasmé. Il ne me restait plus qu'à trouver le bonheur. Mais où? Comment pouvait-on croire qu'une mère de famille passait son temps à s'ennuyer de tout ce qu'elle faisait ?
Ce mot s'appelle la routine. Ca s'installe sans prendre garde. C'est mâlin et malicieux, ça fait des ravages. C'est aussi mortel qu'un cancer et on ne sait pas si on sait en sortir indemne.
-MAMAAAAAAAN, pleura ma fille en entrant dans la salle de bain. Papa il est méchant avec moi ! Il veut pas que je joue à la modelée avec lui !
Plongée dans mes pensées, je ne l'entendais qu'à peine. J'installais mon poncho correctement et pris la porte :
-Ecoute chéri, je m'en vais. Je reviens ce soir, tant pis pour ton travail. Dis leur que tu es malade ou une histoire comme ça. J'en ai vraiment besoin.
Les yeux de mon mari devinrent globuleux :
-Tu plaisantes ?
-Absolument pas.
Avant de changer d'avis, je claquais la porte derrière moi. Tant pis si je n'avais pas son accord, il en allait de ma survie.
Je pris la voiture et conduisit droit devant moi. Je n'avais pas d'endroit où aller. Juste un besoin de prendre l'air, d'arrêter le temps, de prendre le temps de penser, d'être là pour moi-même.
Sans grande surprise, je me rendis au pied du terril, où il y avait la plage artificielle de Rieulay. C'était un endroit que j'appréciais grandement. Il me rappelait mes premières fois avec mon mari. C'était là que j'avais découvert son corps dans une étreinte qui n'avait jamais cessé, là où j'étais tombée amoureuse de nouveau, là où j'avais aimé voir le papa qu'il était. Là où je pouvais laisser ma fille transvaser dans son seau et prendre le temps de lire mon livre et sortir de l'ordinaire pour vivre l'extraordinaire.
Cet endroit était d'une beauté infini. Le lac s'étendait à perte de vue, l'eau était d'un bleu foncé magnifique qui n'avait rien à envier au noir gadoueux qui se formait lorsqu'on se risquait à se baigner. Des cygnes nageaient sur la petite île, les feuilles chantaient au gré du vent. C'était un jardin parmi tant d'autres mais c'était le mien.
Toute ma vie, j'avais fait ce qu'il fallait faire. J'avais toujours obéi à la maîtresse sans surpasser quiconque. Je ne m'étais jamais battue avec quiconque. J'avais toujours obéi à mes parents, baissant la tête sans me plaindre. Je m'étais mariée comme on l'attendait de moi puis j'avais porté des enfants. J'étais devenue professeure et j'aidais les plus jeunes pour leur vie future.
J'avais toujours fait ce qu'il fallait faire. Mais j'en avais marre. Marre car ce n'était pas là que je trouvais mon bonheur. Je me fânais telle la belle fleur que j'étais. Mais je ne voulais plus être une fleur. Je ne voulais ni être le beau lys, ni la belle petite violette. Il était fini ce temps-là.
Je ne voulais pas me laisser faner et remplacer sans rien dire. Alors maintenant que j'avais passé mon temps à être sage et comme il le fallait sans y trouver le bonheur, je ferai le contraire.
J'aimerais le mal qui m'habite. Et je le ferai vivre.
Je serai le mal.
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Vous êtes arrivé à la fin