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Que peut bien écrire le petit chaperon rouge dans son journal intime ?
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Jean-Patric-René est de retour dans une nouvelle aventure.
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Jean-Patrick-René Delapointe était un scientifique reconnu dans le monde entier. Sa spécialité, les tribus indigènes d’Asporia. Cette planète se situe dans la galaxie B612.
Ce jour-là, Jean-Patrick-René avait décidé de rendre visite à la tribu Imonticha. Leur village était à la fois mystérieux et apaisant. Jean-Patrick-René aimait particulièrement cet endroit, il pouvait rester debout des heures face à la grande cascade. Il avait l’impression qu’elle lui murmurait des choses. Le chef de la tribu lui avait raconté qu’un jour, un chaman tomba amoureux de la chute d’eau, il resta des journées entières à l’observer et par une nuit de pleine lune il fusionna en elle. Depuis, la maladie ne frappait plus au sein de la communauté. Jean-Patrick-René pensait qu’ils étaient en bonne santé grâce à leur vie saine et leur alimentation équilibrée. Il aimait réellement cette tribu, non seulement ce n’étaient pas des barbares sauvages comme la plupart des autres civilisations de cette planète, mais il se sentait chez lui. De nombreux pères de famille avaient voulu le marier à leurs filles. Une ou deux fois, il avait été tenté de dire oui, mais il ne voulait pas prendre le risque de devenir un membre des Imonticha et de les décevoir par la suite.
Jean-Patrick-René venait de recevoir un message de son centre d’étude. Les dirigeants lui demandaient de rentrer au plus vite, les fonds pour ses recherches avaient été suspendus au profit d’un de ses confrères qui avait réussi à mélanger l’ADN de végétaux avec celui des primates. Sa dernière nuit, il désirait la passer auprès de ses amis. Le cœur lourd et les larmes aux yeux, il s’endormit d’épuisement. Cette nuit-là, il rêva de la cascade, comme à son habitude, elle coulait limpide et apaisante, il entendait ses murmures. Il s’en approcha pour mieux comprendre ce qu’elle voulait lui dire. Quand il arriva à mi-chemin, un homme lui apparut, ils se regardèrent droit dans les yeux. Jean-Patrick-René lui demanda s’il était bien le chaman de la légende. L’autre ne lui répondait pas, il se contentait de l’observer. Après un temps indéfini, le chaman lui annonça qu’il ne pouvait pas quitter Imonticha, qu’il était un membre à part entière. Le sorcier disparut, la cascade s'évapora et Jean-Patrick-René tomba dans le vide, tout était sombre autour de lui, il ne sentait que sa chute.
Dans un sursaut violent, il se réveilla. Il était en sueur. Le chef de la tribu était à ses côtés, il tenait un récipient en terre dans lequel se trouvait un liquide orange. Il lui ordonna de l’avaler en une seule fois. Jean-Patrick-René lui obéit. Bien que le goût fût infect, il faisait confiance à son ami. La mixture avalée, il se sentait mieux. Son ami lui sourit et le rassura en expliquant que sa fièvre était tombée et qu’il ne serait plus jamais malade.
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Je suis le meilleur. Je suis le plus fort. Nul ne peut me vaincre.
Quelle pression, malgré le fait de savoir que je suis invincible, je stress toujours autant. Si jamais, il y avait quelqu’un de plus fort que moi ? Je ne pourrais jamais m’en remettre en cas de défaite. Il faut que j’arrête maintenant. Je suis le meilleur et je préfère terminer ma carrière sur une victoire.
Les combats s’enchainent les uns après les autres. Ceux de mon groupe se font pulvériser. Mon tour approche et je sens la pression de plus en plus forte.  Plus qu’une personne avant moi. Elle aussi a été vaincue. Je ne peux plus reculer, j’inspire profondément et j’expire lentement. Je suis le MEILLEUR.
Je n’ai fait qu’une bouchée de mon adversaire. Je me sens soulagé, mais le combat n’est pas fini. Voici le deuxième tour maintenant. Mes camarades m’encouragent, ce qui me donne encore plus de hargne. Au sein de mon équipe nous ne sommes plus que quatre en piste. L’adversaire qui était si fort tout à l’heure, ne tiens pas face à nous. Nous nous relayons, réduisant le groupe rival de moitié. C’est terrible, nous venons de perdre l’un des nôtres et pas le plus mauvais.
Nous arrivons à la fin de cette lutte, trois contre trois. Un dernier effort et la victoire est à nous. Premier duel, mon camarade l’emporte, ça me gonfle à bloc. Deuxième combat, une défaite pour nous. Tout est sur mes épaules, je n’ai pas d’autre choix que de réussir. Je suis le meilleur, nul ne peut me vaincre. La voix des commentateurs résonne, je les entends. J’entre en scène. Ils m’annoncent.
-          AS DE PIQUE !
-          Et moi j’ai un JOKER !
Un quoi ? C’est quoi cette carte ? Elle sort d’où ?  Le joker est plus puissant que moi c’est terrible, je ne suis qu’un perdant.
Nous avons perdus. La tête basse, je retourne dans le paquet. Mes trois frères AS, viennent me réconforter. Eux aussi, ont été déshonorés face à cette carte diabolique. Plus jamais je n’oserais jouer à la bataille. La honte me hante tellement que je m’enfuis et me cache sous l’armoire. Je sais qu’ici personne ne viendra me chercher. Adieu, pique, cœur, carreau et trèfle associés.
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Réponse au défi "Énigme" proposé par Rivko.
sur l'image se trouve la liste des coupables potentiels.
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J’ai vu les quatre chevaliers de l’apocalypse chevaucher d’un bout à l’autre de la planète. Dévastant tout sur leur passage. Ne laissant rien d’autre que mort et désolation. J’ai vu les flammes de l’enfer exterminer les hommes. Dans sa grande clémence Dieu m’a épargné afin que je reconstruise ce monde dans l’amour.

Avec ce genre d'ineptie, je pourrais en profiter pour mettre en place une nouvelle religion dont je serais le prophète adulé. Étant le seul survivant, je n’y vois aucun intérêt. En vérité j'ai vu, des hommes trop cons pour détruire l'humanité entière. Tout cela au nom de « l'obscurantisme ». Le pire, c’est qu’ils ont réussi. Le monde n'a jamais été aussi sombre depuis…. Comment nommer cet événement ? Apocalypse ? Je n'aime pas ce mot. Je vais opter pour la « Juste Conclusion ».

Un peu d’histoire pour les générations futures, si je trouve une femme survivante ! Je résume rapidement je ne vais pas m’étendre sur des siècles d’humanité idiote.

Au commencement, la création du monde puis celle de l'homme. Un mâle et une femelle. Jusque-là tout va bien. Ils engendrent deux garçons. L'un des deux est jaloux de l'autre, il décide de le tuer. Depuis, le meurtre et la jalousie se sont incrustés dans nos gènes. L'humanité se développe et à chaque époque son arme de destruction massive. Les lances pour tuer ses ennemis à distance, les machines de guerre pour éradiquer le plus de monde possible. Les génocides, c'est plus sympa de s'en prendre aux gens qui ne peuvent pas riposter. Pour finir, la bombe nucléaire l'apothéose pour la fin de l'humanité en beauté.
Comment sommes-nous arrivés à la fin du monde ? À partir de l'an 2010 avant JC, la "Juste Conclusion", une organisation terroriste ayant pour nom « Obscurisme », s'est développée à une vitesse incroyable. Ses agents infiltrés dans chaque pays s'intègrent en attendant de pouvoir exécuter leur mission. Pour mieux se faire connaître, ils déclenchent une guerre civile dans un pays du Moyen-Orient en prétextant qu'ils désirent la liberté. Rapidement, des kamikazes opèrent en Europe, prétextant que les occidentaux aident le régime qui les persécute. Certains gouvernements cèdent le pouvoir à ces fanatiques en pensant avoir la paix. Ces pays dont la devise est la liberté, se retrouve sous une dictature. Les habitants qui refusent d'adopter la religion obscure sont torturés et lapidés sur les places publiques. Le président de la première puissance mondiale explique au monde qu'il est le véritable chef de l'Obscurisme. Pour contrer ce nouvel empire, plusieurs pays décident de s'allier. Notamment la Russie, la Corée du nord, Cuba et d'autres pays communistes. L'U.R.S.S renait de ces cendres. La guerre froide qui ne s'est jamais réellement arrêter se transforme en une guerre franche, ouverte et sanglante. Après des années de combat, les deux puissances se retrouvent à forces égales. Les soviétiques s'enferment dans une autarcie, mais l'organisation Obscure décide de réduire à néant tout ce qui n'accepte pas d'adopter leur doctrine. Le chef spirituel Obscurien fait une déclaration internationale où il proclame la fin prochaine des infidèles même si pour cela le monde ne doit plus exister. Quelques jours plus tard, la guerre nucléaire éclate. Les fusées explosent toutes simultanément. En moins d'une journée l'humanité n'est plus. Qu'en est-il pour les hommes dans les abris ? À mon avis ils auraient mieux fait de ne pas y entrer. Ils n'ont pas supporté d'être enfermés et sont devenus fou.

Aujourd'hui, il ne reste que moi, Édouard Lomet. Vous savez cet homme dont même la mort ne veut pas. J'ai survécu aux lapidations publiques, aux champs de bataille et même aux radiations. C'est génial d'être vivant, je devrais remercier le Créateur, mais je suis tout seul dans cet enfer. Seul dans ce cimetière géant, une chose est sûre , la mort ça pue. Au départ, j'ai essayé d'enterrer les corps, puis de les brûler, finalement j'ai laissé tomber. Maintenant, je cherche un endroit tranquille avec un minimum de vie animale. J'en suis au point qu'avoir un cafard comme compagnon me rendrai heureux. Ici, il ne règne que la mort et le désespoir. L'apocalypse dans les films ça avait l'air plutôt sympa. En vrai qu'est-ce qu'on s'ennuie. J'écris mon histoire, simplement pour ne pas devenir dingue. Je sais que personne ne lira. L'humanité est morte et j'en suis le dernier représentant. La nuit approche, je vais en profiter pour dormir dans cet ancien hôtel de luxe en plein cœur de Paris. Infidèle. Tu es condamné à la lapidation publique. Nous te laissons une dernière chance, converti toi ou meurt. Jamais je ne me convertirai, jamais. Que le grand Obscure aille se faire….

Le prêtre me gifle si fort que du sang s’échappe de mes narines. Deux gardes me traînent jusqu’à la place de l’Hôtel de Ville. Quand le prêtre me demande si j’ai une dernière chose à déclarer, je rigole en expliquant que les lieux d’exécution n’ont pas changé. Je vais être tué à l’endroit précis où la guillotine décapitait déjà les condamnés à mort au temps de Victor Hugo. Le bon peuple m’attend fébrile et excité. On m’attache au milieu de la foule. Le premier projectile est envoyé, droit sur mon visage.



Encore ce terrible cauchemar qui me hante. Heureusement que cette stupide bombe à exploser au moment de ma condamnation. Tous ces moutons sont morts et moi je reste un homme libre. Je n'arriverais plus à dormir, je sors de la chambre et descend au sous-sol. Je repère la cave à vin et m'ouvre une bouteille de 1842. Je repère la cuisine et mange les rares aliments qui ont l'air comestible. Quelque chose vient de filer devant moi. J'en suis sûr je n'ai pas rêvé. Il vient de repasser en sens inverse, c'est un rat. Je tente de le suivre dans ce sous-sol. Essoufflé, je m'arrête. Le rat a peur de moi et je peux le comprendre. J'observe la salle où je me trouve. C'est apparemment l'endroit où il entrepose les objets à restaurer. Principalement des œuvres peintes, rien de bien intéressant pour un survivant. Je m'apprête à sortir, quand mon pied heurte un cadre. Contrairement au reste des objets, il n'est pas recouvert de poussière. Je le prends en main, mes yeux se posent sur le message écrit en rouge.

Il y a de l’espoir, nous ne sommes pas seuls. Au port de Marseille se trouve un bateau dont sa destination est un pays où la vie y est reine.


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Il était une fois dans une ampoule....
ALADDIN



         Dans les rues d'une ville orientale, un jeune orphelin profite d'une minute d'inattention pour chaparder un pain chaud sur l'étal d'un boulanger (Ça commence bien ! Je dois raconter l'histoire d'un voleur). Malheureusement l'artisan aperçoit le voleur et crie tellement fort que les gardes rappliquent. Ils poursuivent le jeune homme à travers les rues. Au fond d'une impasse, le lieutenant sourit et dit :
 Aladdin encore toi, cette fois tu ne t'en sortiras pas.  

 (Techniquement il doit s'en sortir puisque c'est le héros de l'histoire.). À l'instant où le garde s'apprête à attraper Aladdin, une main géante s'empare de l'adolescent (Carrément on la joue miracle !). Le jeune homme est déposé quatre ruelles plus loin, il en profite pour manger son pain. Son maigre repas terminé, il retourne dans le grand boulevard, afin de plumer deux ou trois touristes. C. R. S et gendarmes empêchent les braves gens de traverser. Soudain, venant du Soudan, un régiment militaire se dirige vers le palais insultant (Non désolé, je voulais dire du sultan.). Les soldats précèdent une voiture de sport, à son bord un prince du pétrole (Il n'y a pas un anachronisme quelque part ?). Aladdin pense que ce jeune émir a de la chance, il a le droit de draguer la princesse. Le lendemain, le roi du pétrole repart aussi précipitamment qu'il est venu (Étrange comportement !). Comme tous les matins, Aladdin entreprends de voler son pain quotidien, mais cette fois, des agents du F. B. I l'attendent et l'arrêtent.


 Au nom de la loi je vous arrête, vous avez le droit de garder le silence, tout ce que vous direz sera retenu contre vous au tribunal. (Oui c'est bon on a compris) Désolé monsieur le narrateur, mais on doit lui lire ses droits sinon il y aura vice de procédure. (Bon d'accord, mais déjà la présence du F. B. I dans une ville d'orient au moyen âge ce n'est pas logique, enfin bref).


Aladdin est donc conduit au commissariat central, le juge qui est aussi le premier ministre (même à cette époque il y avait cumul des mandats) se présente :
Je suis le grand juge et premier ministre Caffar.


Il est tout de noir vêtu, avec une barbe noire, des yeux noirs (Et sa couleur préférée ?) Le rouge. (Ah bon ? D'accord !).


    Il condamne le jeune voleur à la mort par décapitation (Tout ça pour un morceau de pain ?)

Oui, c'est écrit dans le code pénal. Regarde bien. art. 125. 2 : en cas de vol de pain, le coupable sera condamné à la décapitation. Pour tout autres vols une peine maximum de deux coups de fouets. (Puisque c'est écrit, désolé Aladdin, tu n'as pas de chance.) La prochaine fois je braquerai une banque.


        Aladdin n'a pas d'autre choix que d'accepter sa condamnation, mais le juge lui propose un marché (personnellement je prendrai la mort, il a l'air louche celui-là !). Le jeune homme accepte la proposition. Caffar et Aladdin avancent dans le désert en pleine nuit. Soudain au Soudan (Non je plaisante, bon je reprends.). Le premier ministre ordonne au jeune homme de s'arrêter, il sort une chaîne en or massif (12 carats à peine) et assemble un cœur à partir du pendentif (Celui de 12 carats). L'objet s'élève dans les airs. Puis s'enfonce dans le sable. Celui-ci se transforme en une caverne géante (Pour l'originalité c'est un zéro pointé.). Le premier ministre ordonne à Aladdin d'entrer et de prendre la lampe qui s'y cache. Le jeune homme pénètre dans l'antre, descend l'escalier en colimaçon, puis glisse maladroitement et détale toutes les marches sur le postérieur (Enfin de l'action !). Se relevant péniblement, il observe les lieux et découvre mille et une merveilles.

Oh la caverne d'Ali Baba ! (Non, pas vraiment !) Ça doit être la boite de pandore ? (Non plus. Cherche encore, ça rime avec oseille.) Je ne sais pas. (La caverne aux merveilles tout simplement.)

Ah oui c'est logique !


    Il s'avance lentement dans le souterrain et essaye de ne pas céder à la tentation. Il trouve la fameuse lampe, il la ramasse et retourne vers la sortie. Il remet l'objet au premier ministre qui pour le remercier l'enferme dans la caverne. (Déjà la fin de l'histoire, le pauvre mourir comme ça ?).  Enfermé dans le noir, Aladdin sort de sa poche une torche, appuis sur le bouton mais rien ne se produit. Je ne comprends pas, j'ai changé les piles hier soir.
Brusquement, il a un doute. Je crois que j'ai donné ma lampe à Caffar et garder l'autre. Il ne me reste plus qu'à mettre de nouvelles piles.

    Il dévisse le fond de l'objet, subitement sort un homme tout bleu avec un bonnet blanc (Mais c'est un... schtroumpf !). Des millénaires dans la caverne aux merveilles ça vous fout un de ces torticolis. Accroche-toi pe.. (Stop, stop, stop, la souris la plus célèbre du monde va nous faire un procès.)
    Le machin bleu apprend à Aladdin qu'il peut lui exaucer trois souhaits (Réfléchis bien et pas de connerie.). Tu parles d'un cadeau, je suis coincé ici. Ouais ben souhaite sortir, je ne vais quand même pas me faire avoir comme un bleu. (Jeux de mot à deux sous et  il connait aussi la version pour enfant.)
    Aladdin souhaite sortir de la caverne et le lutin bleu réalise son souhait. Puis le jeune homme désire draguer la princesse. Le génie (si on peut appeler ce truc un génie) transforme le pouilleux en prince et prépare un défilé digne du plus grand cirque du monde. La troupe entre en fanfare dans la ville d'orient (Quelqu'un devrait nommer cette ville ? Maintenant qu'on arrive à la fin, cela ne sert plus à rien). Ils pénètrent dans le palais du sultan qui les reçoit en les insultant. Seul le prince Aladdin est autorisé à rester. Je me nomme Aladdin Ledébile. (Ledébile, ça lui va bien comme nom !) Je ne te gêne pas ? Ce n'est pas parce que tu es le narrateur que tu peux te permettre de me couper la parole. (Oui c'est bon, ce n'est pas la peine de t'énerver.) Si, j'en ai marre des petits présomptueux qui se prennent pour dieu (Tu le prends comme ça, tu vas le regretter.) Tu vas me faire quoi ? (Tu verras, la vengeance est un plat qui se mange froid.)
    Aladdin et le sultan insultant parlent durant des heures. Le monarque finit par accorder la main de sa fille à Ledébile, mais Caffar apparait et reconnait le pouilleux qui l'a arnaqué. Je n'ai arnaqué personne, je me suis trompé. Cela arrive non ? (Ça reste à prouver !)
Le premier ministre réclame la mise sous les verrous du jeune homme, mais celui-ci profite d'un moment d'inattention et paye les gardes avec l'argent qu'il vient de dérober au sultan. Les soldats attrapent Caffar et le mettent en prison pour tentative de corruption. (Quelqu'un m'explique ?) Le mariage a lieu avant qu'Aladdin puisse voir la mariée. Avant la nuit de noce, le jeune homme souhaite libérer le lutin bleu. (Merci Aladdin maintenant, je vais pouvoir me venger). Le jeune marié retrouve sa femme et la déshabille, il est tout fier de lui, quand il retire la petite culotte en soie, une chose inattendu apparait (Je n'ose le dire et laisse votre imagination le deviner). Aladdin regrette d'avoir rencontré le génie, mais il est trop tard il a épousé un homme. Aujourd'hui il n'est pas heureux et n'aura jamais d'enfants.



Moralité:
Aladdin, la prochaine fois tu ne t'énerveras pas.
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31 mai 1431

    Sur le bûcher, les flammes la dévorent. La douleur est tellement horrible qu'elle ne peut se retenir de hurler. L'évêque de Beauvais, Pierre Cauchon confirme devant l'assemblée la mort de l'hérétique et sorcière Jeanne d'Arc. Alors que son corps devient cendre, le peuple applaudit et retourne à ses occupations.

31 mai 2016

    Je profite de mon après-midi de libre et pour une fois ensoleillé pour vagabonder dans les rues de Paris. Le dédale de la capitale me guide jusqu'à la place Vendôme. Dans ce luxueux environnement, une anomalie me perturbe. Inaperçue des badauds, se trouve une jeune fille nue et visiblement désorientée. Voulant faire comme tout le monde, je tente de l'ignorer. Malheureusement, c'est plus fort que moi, tel un chevalier servant je vole à son secours. Je m'avance vers elle, je sens une odeur de brûlé qui agresse mon odorat. Je lui tends la main, pour lui signifier que je désire l'aider. Effrayée, elle n'ose me la prendre. Je tente de la rassurer en lui parlant lentement et calmement.  Elle me répond dans un langage que j'ignore. J'ai l'impression que c'est un mélange de latin et de français. Je tente l'anglais. Elle a le regard rempli de haine, j'abandonne la langue de Shakespeare pour revenir à celle de Molière


    Après maintes tentatives, j'arrive enfin à la convaincre que je ne lui veux pas de mal. Je lui donne ma veste qu'elle enfile rapidement et je décide de la conduire chez moi. Non sans méfiance, elle accepte de me suivre. Nous empruntons la rue Castiglione puis la rue Rivoli en direction de la Bastille. En arrivant sur la place des Pyramides, elle s'arrête ébahi devant la statue dorée de Jeanne d'Arc. Elle me semble intriguée. Cy est mi ? Je ne comprends pas désolé, mais c’est la statue de Jeanne d’Arc. Dje sui Jeanne d’Arc !
    Elle me répète sans arrêt cette phrase en pointant tour à tour son doigt sur la statue et sur sa personne. Je finis par saisir ce qu’elle veut me dire. D’un rire gêné, je lui explique qu’elle ne peut pas être la personne sur la statue, que la pucelle d’Orléans est morte en 1431. Son regard reflète son incompréhension. Nous décidons de poursuivre notre chemin.
                En arrivant dans mon appartement porte d'Orléans, je lui indique la salle de bain. Par sa réaction, je comprends qu'elle souffre d'aquaphobie. Je ne veux pas la froisser et abandonne l'idée de lui faire prendre une douche. Je fouille dans mon placard et par chance trouve des vêtements oubliés par mon ex. Cette fois, elle accepte mon présent. Je lui offre un repas chaud, qu'elle dévore comme si elle n'avait pas mangé depuis des mois. À force d'essayer de communiquer, nous arrivons à nous comprendre. Elle me raconte son incroyable histoire. N'importe qui l'aurait fait interner, mais la pureté et l'innocence de son récit m'ont convaincu et sans m'en rendre compte je rentre dans son jeu. Je lui raconte ce que j'ai appris sur elle quand j'étais écolier. Comment son procès a été révisé en 1455 et qu'elle a été canonisé en 1920. La nuit tombante, je remarque qu'elle est épuisée, je l'installe sur mon canapé.
                Il est six heures du matin, elle est déjà debout et me réclame à manger.  Quand elle voit le petit-déjeuner que je lui prépare, elle rigole nerveusement et me demande le reste du repas. Un peu gêné, je lui explique que la plupart des gens de notre génération se contente d'un café au lait. Elle me demande ce que c'est du café. C'est vrai qu'au moyen âge, il n'y avait ni café, ni chocolat, ni toutes ces bonnes choses qu'on avale sans connaître son origine.  Pendant que nous mangeons, je lui parle de notre époque. Elle ne comprend pas la démocratie et me fait comprendre qu'un pays ne peut fonctionner que grâce à la force d'un roi. Nous discutons de tout et de rien, elle désire en savoir plus sur les mouvements féministes. Je lui promets de la mettre en contact avec mon ex qui est un membre actif de l'association « Ni pute, ni soumise ». Lentement, elle s'habitue au langage moderne. Je lui montre une carte du monde et elle me questionne sur le continent américain. Je repars sur un cours d'histoire improvisé. Je remarque son visage frappé d'horreur quand elle comprend que l'anglais est devenu la langue officielle dans le monde. J'ai donné ma vie pour chasser les Anglais du royaume et tu m'annonces que je suis morte sur le bûcher pour rien ! Maudit soient les Anglais.  Je suis d’accord avec toi, je n’ai jamais pu les supporter. Maudit soient les Anglais.
 
    Les mois passent et Jeanne s’habitue à la vie moderne. Elle a rejoint mon ex au sein de son association. Elle habite toujours dans mon appartement porte d'Orléans, mais son surnom de pucelle est bien fondé. Des mois que nous vivons heureux et pas une seule fois j’ai réussi à l’embrasser.
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staffez
La mort n'est pas toujours ce que l'on croit.
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staffez
Réponse au défi Tu. il est bien amusant de narrer une histoire avec ce pronom personnel.
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Notre sujet est un homme de trente cinq ans. Il mesure un mètre soixante quinze et pèse soixante neuf kilos. Il se nomme Bertrand Baguette. Sa profession n'est pas vraiment glorieuse, il est téléprospecteur. Il doit vendre des colliers anti-puces par téléphone. Au niveau de sa vie sociale, c'est un célibataire avec peu d'amis. Bertrand a un passe temps très intéressant, il collectionne les tickets de métro usagés. Il en possède actuellement un million six cent trente huit. Avec l’arrivé du Pass Navigo, il a de plus en plus de mal à compléter sa collection. Si je l'ai choisis, ce n'est pas pour sa vie passionnante, ni pour sa passion dévorante. Je l'ai sélectionné grâce a son aventure extraordinaire qui lui tombée dessus aujourd'hui.



Comme toujours après son travail, Bertrand se rend au café. Il commande son éternelle bière blonde. Installé au comptoir, il rêvasse les yeux fixés sur cette brune ténébreuse. La demoiselle commence a être gênée, elle demande au barman de l'aider. Malgré l’intervention de celui-ci, Bertrand ne lâche pas de regard la jeune fille. Pleine de colère, elle se lève et lui administre un coup de poing en pleine figure.
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je fais justice, en m'imposant mon défi. Cela n'est pas si facile le boycotte de signe alphabétique, mais je n'ai pas le choix. Si vous avez atteins l'objectif, je me dois le succès. commençons la fable.


Il était une fois dans une hotte pleine d'alimentation.

Le petit capuchon coquelicot.

Dans une pinède magique, vivait une petite fille vêtue constamment d'un capuchon coquelicot. Si bien qu'on la nomma "le petit capuchon coquelicot" (c'est tellement logique !). elle passait tout son temps à la cuisine de clafoutis et de galettes et à la divagation. Un matin dissemblable a ceux d'avant, elle obtient, de l'employé de la poste, un message signalant que son aïeule était bien mal en point. Elle mit donc dans sa besace, des galettes et un pot de compote et se mit en chemin. Elle monta dans sa Bugatti à la teinte sanguine. Elle pilota aussi vite que possible. Soudain, ce fut le souci mécanique et l'immobilisation du dit véhicule ( heu une Bugatti avec un souci mécanique ?). Elle abandonna son automobile et continua à pied. Un homme l'accosta avec ces quelques mots. Hé mad'moiselle, t'es excessivement belle t'as vu. loyalement si tu me disais où tu vas, je t'y conduis de suite. Je vais au chevet de la vieille, la vie la quitte et je veux mon nom affilié aux testament. Ok, je t'y amène. Au fait mon nom c'est Lou Stick

(Un peu naïve, la petite !). elle lui soumit un défi. Si il la devance, elle lui dédie une nuit complète. N'écoutant que son encéphale situé sous la panse, il s'envola tandis que le petit capuchon coquelicot lambinait lentement. Lou toqua au battant de l’accès. Qui est là ? C'est oim, heu c'est moi le petit capuchon coquelicot. Tu as une voix inhabituelle. Heu oui, j'ai une bacille. Bien, active la chevillette et la bobinette.... Ouais, le machin habituel quoi ?
Lou accéda dans la maison. Voyant la vieille femme dans un états si délicat, la tua de sang glacial. Il ensevelit la dépouille au fond de la plantation et se déguisa en sa victime. Le petit capuchon coquelicot vint à ce moment là. Il lui fit le coup de la bobinette. Quand elle s’avança a son niveau, elle senti quelque chose de pas net. Elle l'examina puis lança C'est quoi tout ces poils ? Je suis malade depuis si longtemps que l'épilation n'est pas de mise. Soit, mais je n'avais jamais fait attention aux gigantismes de tes outils auditifs. C'est des implants qui me donne une ouïe exceptionnelle. Et les dents ? C'est quoi l’excuse ? Bon ça va, je ne suis pas celle que tu attends. Dans l'exactitude des choses, je suis ton ascendant. NOOOOOOOOOOON
 Il lui expliqua les choses et à la suite d'une discutions dont le contenu est intime, elle s'en alla avec lui. Depuis, il se dit qu'elle se balade en petite tenue dans les avenues d'une ville connue.


Conclusion:
Ce n'est pas si difficile le développement d'une fable avec le boycotte d'un signe alphabétique.
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