Narindra le Gobelin
« En effet, je vais créer un ciel nouveau et une Terre nouvelle. Personne ne se souviendra plus du passé, on n'y pensera plus du tout. Débordez de joie, réjouissez-vous sans cesse à cause de ce que je vais créer. De Jérusalem, je vais faire une ville remplie de joie, et de ses habitants un peuple débordant de joie. Je me réjouirai à cause de Jérusalem, je déborderai de joie à cause de mon peuple. On n'entendra plus de pleurs ni d'appels au secours. Il n'y aura plus de bébé qui ne vit que quelques jours. Les adultes ne mourront pas avant d'être vieux. Le plus jeune mourra à cent ans, et mourir avant cent ans sera considéré comme une malédiction. Ils bâtiront des maisons et les habiteront. Ils planteront des vignes et mangeront le raisin. Ils ne bâtiront plus de maisons pour que d'autres y habitent à leur place, ils ne planteront plus de vignes pour que d'autres en mangent le raisin. En effet, les gens de mon peuple vivront aussi vieux que les arbres. Ceux que j'ai choisis pourront profiter du travail qu'ils ont fait. Ils ne se fatigueront plus pour rien, ils ne mettront plus des enfants au monde pour les voir mourir. Car ils forment la famille de ceux que je bénis, eux et leurs enfants. Avant qu'ils m'appellent, moi, je leur répondrai. Ils n'auront pas fini de parler, je les aurai déjà entendus. Le loup et l'agneau mangeront ensemble, le lion mangera de l'herbe sèche comme le bœuf. Le serpent se nourrira de poussière. Il n'y aura plus ni mal ni violence sur toute ma montagne sainte. C'est moi, le SEIGNEUR, qui le dis. »
Chose promise, chose due. Que demande le peuple ?
Œuvres
Je n'en appelle pas pour autant à l'indulgence du lecteur : certes, il ne s'agit là que d'un premier jet, mais j'attends toutefois de vous que vous utilisez tout votre soûl la fonction d'annotation pour écrire absolument tout ce qui vous passe par la tête au sujet du texte, le positif comme le négatif (dans les limites de la décence, bien entendu), jusqu'à le peinturlurer.
Bonne lecture !