Nadia Turpin
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Je l'ai rencontré le 1 janvier de cette année - précisément à trois heures - je fêtais le jour de l'an avec les amis de ma soeur- Sania-. C'était bien la première fois qu'elle m'intègrait dans sa vie et je me sentais proche d'elle pour une fois -dire qu'il fallait attendre dix sept ans pour que ça arrive- comme quoi, la patience est maître de vertu.
Nous étions dans une magnifique maison située assez loin de la ville, dans les montagnes si on peut dire. Elle était à la fois rustique et moderne. Ce soir là, le meilleur ami de ma soeur Mathew, nous a accueilli. Je l'avais déjà vu étant plus jeune donc j'étais plus ou moins à l'aise avec lui, mais avec les autres je ne garantissais pas que se serait aussi facile. Mathew est grand et chaleureux, tout de suite amical avec les gens qu'il rencontre. Son passe temps favori est la descente de vélo et grâce à lui, ma soeur a connu toutes les personnes qui étaient présentes à cette soirée.
Une fois passé le portail il m'était impossible de faire marche arrière et je devais parler aux gens - ce qui soit dit au passage n'est pas ma qualité première - Sania fait ainsi les présentations puis je me suis mise dans un coin et je n'ai plus beaucoup bougé. Sania était obligée de venir me chercher pour que je participe aux festivités. Il y avait à la fois la famille et les amis, Saphia était à l'aise avec tout ce petit monde, je me contentais de rester près d'elle.
A minuit, on se souhaite tous une bonne année, je sers ma soeur dans mes bras et je la remercie de m'avoir emmené à cette soirée où - au final- je m'amuse bien. Puis tout le monde se met à danser, avec les effets de l'alcool je me suis détendue et je me mets à danser.
Pour la première fois de ma vie, je m'amuse à une soirée et j'y prends goût.
Dans les alentours de 2h50 du matin, ma soeur et moi étions dehors, nous discutions jusqu'à que Mathew dise qu'Alexandre arrivait. Sania étendit un sourire aussi grand qu'une tranche de papaye et elle m'a dit que je comprendrais pourquoi quand je le verrais.
Et c'est ainsi, à 3h00 du matin le 1er Janvier 2018, que ma vie bascula.
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Défi
Chère Nadia,
Je suis la grande Nadia, celle que tu vas devenir dans très peu de temps. Tu peux me croire à l'époque où je vis, le temps passe à toute allure. Je te rassure tu es devenue une très belle femme - et tu gardes quand même une grande âme d'enfant et une rêveuse hors paire - Je sais que, cette année sera l'une des plus difficile que tu vas passer. Je sais aussi que tu es très fragile moralement et physiquement tu n'en peux plus, mais ne baisse pas les bras.
Ces filles qui t'ont harcelé, tu sais quelque chose qui s'appelle le Karma s'occuperont d'elles. L'année prochaine tu auras un professeur merveilleux qui te servira de modèle de vie pendant un certain temps et qui marquera ton esprit.
Je sais que du haut de tes 10 ans tu as l'impression que la vie est contre toi et tu ne sais ce que tu as fais aux autres ou à ce monde où tu as l'impression d'être détester. Mais je te rassure, tu as une famille qui t'aiment plus que tout au monde, tu le comprendras au cours de cette année. Ils vont voir des vertes et des pas mûres avec toi, mais ils ne t'abandonneront jamais, tu peux me croire - même si la grande Nadia qui te parle actuellement ne sais pas ce qui se passe dans sa vie - alors tiens bon !
Et n'oublions pas de parler de Ludivine, c'est ta meilleure amie et elle le restera jusqu'à la fin de tes jours ! Vous allez vous rapprochez encore plus dans les années qui suivent. Et vous finirez, sans doute, dans une maison de retraite ensemble ! Ne t'inquiète pas, grandir peut-être génial. Evidemment bien plus tard, tu feras de véritable amis, en plus de Lulu. Tu seras heureuse et tu verras par toi-même que tu n'ais pas si mal aimée que tu ne le crois.
Juste que, ton bonheur à toi prendra juste un peu plus de temps arriver que celui des autres. Et comme un homme que tu admireras jusqu'à la fin de ta vie, je te le dis : " Ne te laisse pas abattre, je sais que tu peux y arriver car tu es loin d'être idiote, quoique avec un esprit plutôt revolté mais très ingénieux." Oui, car tu seras très douée pour faire des bêtises, et ce n'est pas prêt de changer.
Bisous bisous, ancienne moi. A très vite.
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Qu'est ce que le bonheur ?
Le bonheur est dit-on le but de la vie humaine, semblerait-il que c'est quelque chose qu'on se doit de trouver pour vivre avec son cousin Heureux.
Le bonheur est recherché dans les plus petites choses de la vie : en mangeant un gâteau, en partageant des moments avec les personnes qu'on est censé aimé. Ou bien dans les grands accomplissement de la vie Humaine : accomplir ses projets, fonder une famille, trouver le grand amour, voyager ...
Pour moi, le bonheur est juste une grosse blague... Un but éphémère et inutile. On ne peut être dans un bonheur total toute sa vie. Je pense que le Bonheur c'est perdu quand Malheur a décidé de se pointer. Faut dire que celui-ci part toujours en courant quand celui là arrive.
Haha ... Vous savez pourquoi nous faisons toujours une polémique sur ce petit mot qui est à la foi inutile et éphémère ?
Car comme je l'ai dit plus tôt, c'est le but de la Vie en générale, car grâce à ça on garde toujours une once d'espoir en nos coeurs, en espérant tellement fort qu'un jour nous serons tous heureux dans nos vies dépourvus de sens, pourvu qu'on trouve un sens grâce à elle.
Vous savez pourquoi ce sentiment de bien être reste momentané ? Car tout le parcours initiatique que nous poursuivons nous, jeunes assoifés de plus de sens, le bonheur n'est lié qu'au hasard qui rend un moment agréable, des fois pour plusieurs heures, jours, années, décennies, siècles ou millénaire ... Tout bonne chose on une fin, et le bonheur en fait partie : car quand tout va bien tout fini par foirer : et la on découvre une des phases cachés de ce fameux Bonheur qu'on court après : son amie La douleur. Elle est là pour casser vos espoirs et vous donnez la réalité que la vie n'est qu'une simple garce.
Le fameux bonheur s'en va en promettant toujours de revenir, mais parfois elle ne revient jamais et laisse Douleur faire son boulot, qui des fois emmène ses compères avec elle pour achever, tout achever... Puis quand tout est perdu, vraiment perdu, plus une once d'espoir véhicule dans nos coeurs et nos âmes, on se meurt. Mais à petit feu, en attendant que Bonheur revienne le sourire aux lèvres et recommence à illuminer nos vies misérables.
Un conseil ... Ne vous faite pas avoir, Bonheur est la pire des p.... qui existe.
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Un nuit, une date, une heure précise... Je suis tombée follement amoureuse. Mais pas comme ses amourettes de lycée où tu penses juste : " oh ... mon coeur bat vite, je l'aime".Non, je vous parle de ses émotions qui vous prends aux tripes, celles qui vous retourne l'estomac. Celle qui fait qu'une simple pensée vous donne des frissons et un sourire béat pour un bon moment.
Cet amour qui vous pousse à faire des choses de folies avec lui (ou elle), qui vous pousse dans vos retranchements, qui vous permet d'être vous même pour la première fois de votre vie.
Cet amour qui fais que chacunes de ses caresses, de ses baisers, de ses câlins, de ses mots vous provoque une onde de choque tellement énorme que vous ne pouvez vous empêchez de frissoner.
Qui vous empêche de détacher une pensée de cette personne, vous vous abandonnez à lui (ou elle) corps et âme. Et que déplacer des montagnes n'est qu'une formalité, séparer la mer en deux est juste un jeu d'enfant. Juste pour lui ... Je serais capable de me liguer contre le monde entier, Juste pour lui ...
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Cela fait un mois que mon bouquin a été publié, et franchement, je ne m'attendais pas à un tel succès. Je suis à la limite de la crise cardiaque en voyant les milliers de commentaires positifs des lecteurs. Même s'il y a une minorité qui sont négatives, j'essais de me concentrer sur le positif.
Il va même il y avoir une interprétation cinématographique, je suis aux anges. Mais aujourd'hui mon défi est répondre à ma première interview, je suis plutôt stressée. La ou le journaliste qui va arriver travaille pour un grand journal Américain : THE NEW YORKER, un article me sera dédiée dans la rubrique littéraire.
Je souffle un bon coup, et je m'installe sur le fauteuil en velour rouge. Je triture mes doigts en essayant de créer des phrases correctes dans ma petite tête. En espérant que les questions ne sont pas trop compliqués, ni personnels.
On frappe à la porte, je dis :
Nadia (moi) : Entrée ! Ma voix est assurée, mais ma jambe gigote dans tout les sens c'est un tic de stresser.
La journaliste donc, entre. Sa démarche est assurée, elle porte un pantalon cintrée gris clair en lin, un chemisier blanc en soie et des escarpins rouge carmin. Sa jolie chevelure rousse semble lui arriver au milieu du dos, ils sont lisses. Son visage est parsemée de tâches de rousseurs et ses yeux sont d'un vert déconcertant. Je me crispe, elle semble extrêmement jeune et très intelligente. Elle me serre la main fermement en me disant :
La journaliste : Hello, i'm Layla. Nice to meet you Ms.Turpin Ah non, pas ça ! Pas d'anglais !
Moi : Hum .... No ... Speak me ... Euhhhh .... Je suis un peu dans la mouise la !
La journaliste ( elle se retient de rire) : Je peux parler le français si vous ne parles pas bien l'anglais.
Moi : Oui, s'il vous plaît. Je ne vais l'en empêcher, moi ça m'arrange.
Elle s'installe dans le fauteuil en face de moi, heureusement pour moi que l'interview se déroule chez moi, car je suis habillée comme un sac, à vrai dire en pyjama même.
La journaliste : Nous pouvons commencer ? Dit-elle avec un accent très peu prononcée, elle est très douée comparer à moi.
Moi : Oui, je vous écoute. Oh et appelez moi Nadia, s'il vous plaît.
La journaliste : Alors, Mme ... Nadia - réitère-t-elle - comment les éditeurs ont-il découvert votre oeuvre ?
Moi : Oh ... Et bien, en réalité cette oeuvre a été écrite dans un but... disons créatif. J'ai trouvé une plateforme où l'on pouvait écrire des histoires dessus. C'est Scribay... et... Devant ces yeux dubitatifs je me demande si je vais pas trop vite ??
La journaliste : Scri... bay ? Répète-t-elle en penchant la tête sur la droite.
La journaliste : Oui, c'est une plateforme pour les écrivains en herbe comme moi qui ont besoin 'exteriosée leurs histoires.
La journaliste : Il y a des éditeurs la dessus ? C'est comme ça qu'on a découvert votre roman ? Dit-elle curieuse.
Moi : Non pas vraiment, je dirais que c'est de la chance plutôt... J'ai juste été poussé pour envoyer mon manuscrit à une petite maison d'édition et je ne m'attendais à ce que ça fasse autant succès. Je pensais plutôt que ça allait être une catastrophe. Je suis du genre négative.
La journaliste (surprise) : Really ? Hmmm... No! Vraiment ? Excusez-moi mais c'est plutôt surprenant vu la positivité de votre personnage... dit-elle, en frottant son stylo dans sa crinière rousse.
Moi : Haha ... oui, mon personnage ne me ressemble pas du tout, elle est beaucoup plus téméraire et déterminée. Je ne peux pas dire que je me suis inspirée de moi, elle risque de croire que c'est autobiographique, d'où l'intêret de faire un personnage opposé à la romancière.
La journaliste : Yeah ... - son accent revient de plus en plus, est-ce que ça veut dire que ça l'intéresse ? - Dites moi, est-ce une oeuvre autobiographique ? Car le personnage semble très humanisée, très peu sûre d'elle par moment... En fin, la trame de votre roman ne suit pas vraiment les caractéristiques d'un roman New Age.
Moi : Alors... euh ... non, il n'est pas autobiographique, comme je viens de le dire, mon personnage diffère trop de la romancière. Et puis, je ne souhaite pas que d'autres personnes sachent ma vie dans les moindre détails.
La journaliste : Je vois .... Les lecteurs ont été surpris par la fin de votre roman ? Pouvez-vous nous expliquez pourquoi une fin aussi tragique ? Est-ce un paradoxe avec le titre de votre livre ?
Moi : C'est compliqué ... - Je ne peux décemment pas lui dire que certains faits sont réels - Oui, nous pouvons parler de paradoxe, car le titre "Eternity" qui signifie eternité, nous aspire à un "happy end" -dis-je en mimant les guillemets - Mais je veux faire comprendre, que la vie n'est pas ce qu'on espère et c'est pas parce qu'on dit que tout va bien finir que tout finit bien. - Je repose mes mains sur mes jambes croiser et fais comprendre à Layla que je n'en dirais pas plus -
La journaliste : Donc c'est juste pour faire comprendre à vos lecteurs que tout n'est pas tout noir ou tout blanc ?
Moi : Exactly... - Dis-je en souriant ironiquement - la vie est une palette de couleurs que mon personnage découvre au fur et à mesure du roman, passant par l'amour fulgurant et passionnant mais aussi par la déchirure, le doute et la tristesse. Se sont des sentiments que je trouve pas très bien exploitée. Car dans la plupart des romans New Age, je trouve qu'on vend encore trop de rêve et de : "L'amour vaincra toujours".
La journaliste : Je comprends, mais vos lecteurs souhaitent une suite ? Il y aura-t-il une suite ?
Moi : Peut-être bien je ne me suis pas encore décider.
La journaliste : Je vois ... - elle semble déçu, mais oui je compte faire une suite. - Ce sera tout for me ... Une dernière déclaration ?
Moi : Mes chères lecyteurs, je suis une rêveuse éternelle et je vous avoue que la fin laisse à désirer mais la vie est une chose à désirer et qui est cruelle. Mais moi aussi je rêve d'un happy end.
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Défi
Ce poème n'est pas un poème,
Juste une manière de dire les cris du coeurs,
Celles qu'on a l'habitude d'étouffer.
Pour éviter de penser aux plus sombres moeurs.
Ce poème n'est pas un poème,
Ce sont des écritures perdues, des pensées dispersées,
D'une personne perdu dans un désert émotionelle.
Ce poème n'est pas un poème,
Juste des mots brulés sur une feuille de papier,
Seulement des oreilles sourdes pourront comprendre ces mots fade et irrationnel.
Ce poème n'est pas un poème,
Elle possède des notes baclées et des idées ratées.
D'une simple fille qui se targue d'allégorie obessionnel.
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Vous êtes arrivé à la fin