Le continent central est un lieu bien terne comparé à son glorieux passé. Autrefois domaine Impériale, il est maintenant le berceau de nombreux royaumes qui ne cessent de s'embourber dans des guerres et intrigues futiles.

L'Eclesiarchie qui a survécu à la chute de l'Empire est plus affaiblie que jamais. Les forces de l'ombre contre lesquelles elle luttait se font à présent plus menaçantes et les vérités relayées par la foi des Trois pourraient bientôt menacer sa crédibilité même.

Pierre d'Ambroise est un jeune seigneur appartenant au royaume du Corvin. Encore bercé par les mythes des héros du passé, il sera malgré lui confronté aux intrigues et jeux de pouvoirs de la noblesse. La récente mort du roi et les rumeurs quant à la résurgence d'un culte longtemps oublié entraînera le jeune seigneur dans une succession d'événements qui changera à jamais son futur, sa vision des choses.


« Les hommes sont parfois bien plus dangereux que les monstres. »



[ EN ATTENTE D'UNE REECRITURE ]

Voilà une année que la guerre fait rage dans le Corvin. Ce n’est pas un conflit livré contre des forces extérieures, mais bien une guerre civile qui déchire le royaume de l'intérieur. Les amis et frères d’autrefois s’affrontent ainsi sur les champs de bataille au nom de la fille du feu roi ou de son cousin l'autoproclamé roi Léonard.

Les campagnes sont dévastées par les armées et les hordes de routiers ou pillards qui naviguent dans leur sillage. Les villes sont tenaillées par la famine et l’espoir n’est plus qu’un mot vin dans ce tableau des grandes calamités. C'est à présent aux nobles du royaume comme Pierre d’Ambroise que revient la lourde tâche de mettre fin à tout cela. Mais est-il seulement encore fidèle aux têtes couronnées qui ont mené sa famille et ses plus proches amis à la mort ?

Le Corvin est prêt à vaciller, les prêtres de la foi des Trois attisent la hargne populaire en annonçant des temps encore plus sombres et de ce chaos ne peut venir que plus de malheur. Les prédateurs ne vont pas rester oisifs et s’abattront bientôt sur la bête affaiblie qu’est le royaume du Corvin.


« Le pouvoir ne se donne pas, il se prend. »


[ Club Valentine ]

Des nuages bien sombres obscurcissent le ciel de la cité nation.

Les politiques désastreuses de l’assemblée impériale poussent Aldius au bord du précipice. La guerre au nord contre l’Union vire au cauchemar après le jour noir qui a vu l’effondrement du front centre. La cité nation ne tient plus qu'à un fil, le peuple est le premier à souffrir de tous les maux infligés à Aldius tandis que les grandes familles, elles, festoient en se menant d’interminables luttes intestines. On ne peut indéfiniment pousser une bête affaiblie. Les sangs bleus devraient se rappeler leur histoire…

L'étau se resserre autour des Devràn, les hautes sphères du pouvoir fourmillent d'intrigue et l’ombre derrière le trône ne fait que grandir. Les menaces se multiplient et la mort rôde. La famille de l’Ours reste forte, mais les temps troubles qui s'annoncent risquent de tout balayer tel un puissant vent d’est. Derrière le fier Baron Devràn les rangs se resserrent, mais leur force sera-t-elle suffisante face à la tempête qui s’annonce ?


« Il n’y a pas de règle dans la course au pouvoir. »