
Louise!
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Défi
Petit aparté : J'étais tellement enthousiaste à l'idée de relever le défi que j'ai voulu tenter ma chance. Néanmoins, je crois que j'ai finalement échoué (une fois encore mon imagination s'est beaucoup trop emballée)
Plutôt que de jeter le texte à la poubelle, j'ai quand même voulu vous le partager
(Oui je sais que la consigne était "incipit insipide" et oui je sais on était censé écrire une seule phrase, mais comme vous pouvez le voir, les règles ne sont pas faites pour moi :) )
***
Eléonore claquait ses petits talons noirs dans la Rue Principale. Elle marchait depuis suffisamment longtemps pour presque regretter d'avoir mis des talons, mais pas assez pour s’en plaindre. Elle aimait la stature gracile que lui octroyait la robe de chez Chanel, le seul habit potable de sa penderie. En général, lorsqu'elle souhaitait se rendre à l’extérieur et qu’il faisait soleil, il fallait qu’elle tire ce délicieux tissu hors du placard. Son abdomen en frétillait à chaque fois. Voilà, pour quelle raison elle avait enfilé des talons ce matin-là, de 8 centimètres exactement. Ainsi, Eléonore pouvait atteindre les 175 centimètres qu’elle désirait tant. En passant devant les vitres des boutiques, elle contemplait sa silhouette élégante, presque irréelle mais tellement satisfaisante. Soudain, une goutte d'eau chuta sur son bras, puis une deuxième. Sourcils froncés, elle fixa le ciel désormais empli de nuages. Elle se mordit la lèvre, frustrée par le changement météorologique brutal, chose qui n’était pas prévue. Eléonore détestait ce qui n’était pas prévu, et la pluie s’intensifiait. Vite, vite, vite, il ne fallait pas qu’elle trempe sa robe. Le premier refuge qu'elle aperçut était un abribus. Elle fut forcée de s'en contenter. Tendu comme un pic, mains croisées sur le jupon, elle attendait que la pluie cesse. Elle attendrait au moins trois heures et la foule de vie avait déjà étiré les parapluies ou s'était abritée à l'intérieur des voitures. Dans ce genre de moment, la véritable condition d’Eléonore apparaissait comme une évidence : elle n’avait même pas assez de monnaie pour se payer un ticket de bus.
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Défi
J’ai adoré relever ce défi ! Du coup, voici une scène sous trois points de vues où une transaction entre gangs dérape… Au menu : un peu d’action, une bonne dose de tension, une pincée de psychologie, et surtout beaucoup de fun à jongler entre les points de vue. N’hésitez pas à donner votre avis en commentaire !
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Défi
Les vagues de lumières dansaient dans le ciel. Toi, tu braquais ton regard sur elles, les joues rosées, les lèvres gercées. Notre rêve était là, bien réel, tu ne pouvais décrocher le regard. Et alors que les aurores polaires s’illuminaient juste sous mes yeux, je n’ai vu que toi.
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Dans un monde post-apocalyptique, les Vampires règnent en maîtres et les Hommes sont voués à les servir jusqu'à la mort. Alaric est un Résistant qui s'est juré de libérer ses semblables. Malheureusement, l'une de ses missions tourne mal. Non seulement il est fait prisonnier, mais en plus il attise l'intérêt du pire Vampire qui soit : le Baron Fou.
Dès lors, Alaric n'a d'autre choix que de coopérer avec l'espèce qu'il déteste plus que tout ; une coopération dont le secret pourrait constituer le seul salut de l'Humanité et du monde.
Dès lors, Alaric n'a d'autre choix que de coopérer avec l'espèce qu'il déteste plus que tout ; une coopération dont le secret pourrait constituer le seul salut de l'Humanité et du monde.
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Défi
Le mascara coulait sur ses lèvres gercées.
Les flocons de glaces se déposaient sur son chignon en bataille.
La chemise de nuit tournoyait dans une danse macabre.
Seule, au sommet de la bâtisse, elle répétait les pas de valses qui autrefois avaient su charmer son âme, des pas trompeurs, des pas menteurs. La nuit camouflait sa peau à peine recouverte, la même nuit froide qui avait pris sa dignité et son coeur. Elle accola la bouteille contre ses lèvres, dans un lent et douloureux baiser, le seul capable de remplacer l'écrasant remord : celui d'en avoir trop dit ou pas assez, celui d'être parti ou d'être resté trop longtemps.
Le bord s'approcha puis s'éloigna avant de se rapprocher de nouveau. Elle tanguait comme un bateau à la dérive qui avait abandonné son sort entre les mains de Dieu. Sauf qu'elle se moquait de Dieu, elle se moquait du vide, prisonnière d'une fumée artificielle et agréable ; un songe éphémère qui s'estompa "Non, juste une fois laisse moi sombrer". Elle reprit une nouvelle gorgée, encore plus longue, encore plus suffocante, encore plus apaisante.
Elle dansa plus vite, plus fort, comme pour se prouver qu'elle était encore là, qu'elle existait, non pas à travers lui. C'était sa vengeance. Elle bougeait ses bras tremblants aux doigts fendus, valsait avec ses pieds nus entravés de cloques, ignorait ses poils hérissés et son cœur tapant à l'aide. Car l'alcool s'était emparé de toute pensées, il avait édifié une utopie sans question ni reproche, il l'avait sauvée. Désormais, elle n'avait plus froid, elle n'avait plus mal, étreinte par une douce chaleur fictive, la seule qui lui restait, la seule qui l'embrassait.
Jusqu'au bout, elle avait dansé, jusqu'au bout, elle avait souri et si vous vous étiez approché du toit cette nuit-là vous l'auriez sans doute entendu chanter.
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Défi
Adepte de romans aux relations qui font vibrer (et réfléchir), je cherche quelqu’un pour échanger sans prise de tête (promis, je ne mords pas)
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Défi
J'ai tellement apprécié l'idée du défi que je me suis finalement jeté à l'eau avec le fabuleux "Grand Mage"
Ce personnage est l'un de mes antagoniste préféré ! J'espère que vous l'apprécierez autant que moi :)
Concernant l'acteur, je suis tellement une bouse en référence cinématographique que je préfère laisser votre imagination choisir l'identité de l'interprète. Physiquement, j'imagine à peu près un acteur ressemblant à l'image placé en couverture.
Pour les plus curieux, l'histoire du Grand Mage n'est malheureusement pas publiée sur ce compte (bien que je pense à vous la partager).
Ce personnage est l'un de mes antagoniste préféré ! J'espère que vous l'apprécierez autant que moi :)
Concernant l'acteur, je suis tellement une bouse en référence cinématographique que je préfère laisser votre imagination choisir l'identité de l'interprète. Physiquement, j'imagine à peu près un acteur ressemblant à l'image placé en couverture.
Pour les plus curieux, l'histoire du Grand Mage n'est malheureusement pas publiée sur ce compte (bien que je pense à vous la partager).
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Défi
Sous la surface d'un lac gelé, tu me vois, je te vois. Toi, le monstre des eaux, l'ombre des profondeurs translucide et froide ; froide comme le monde. Mes pas craquèlent sur la glace qui menace de céder sous mon poids. Mon cœur bat et tu me regardes comme on observe une créature étrange. Je t’entends presque dire : “Pourquoi marches-tu sur ce lac ? Pourquoi prendre ce risque ?”
Moi, je continue de marcher. Le sol craque, mon cœur tape et tu me regardes ; toi, la créature des tréfonds, toi qui effraies le monde, tu ne vois que moi, douce obsession. Tu ne comprends pas pourquoi je marche sur cette fichue glace et tu attends une réponse. Tant qu’elle tiendra, tu n’en auras pas. Tu ne sauras pas. Alors tu attends désespérément qu’elle se brise, que quelque chose se passe, tu pries pour ça et tu espères si fort.
Et moi, je jubile sur ce lac fracturé, je te teste, je danse à te rendre fou. Tu me détestes, tu aimerais cogner la surface avec tes poings, mais tu ne le feras pas. Si la glace se brise, elle disparaît avec moi.
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Défi
J’aime sentir ton souffle sur mon cou, presser tes reins avec mes paumes, j’aime sentir ton dos humide sur mon torse. Sais tu que ta peau s'hérisse à chacune de mes caresses ?
Alors que tes yeux restent clos, tes lèvres se rapprochent un peu plus des miennes. Et plus nos langues s’entremêlent, plus le désir grimpe. Dis moi que tu brules autant que je brule, que ton cœur tape aussi vite que le mien. J’explore ton ventre, ta poitrine, comme si je te touchais pour la première fois et que je découvrais tes courbes. Tu me laisses faire, tu m’accompagne même en posant ta main trempé sur la mienne. Toi aussi tu cherches ma chaleur, je le sais. Derrière nous et la fenêtre empli de buée, les étoiles n’ont jamais été aussi brillantes mais nous en saurons rien, pas ce soir du moins. Ce soir, je ne verrai que toi.
PS : Je m'excuse pour ne pas avoir respecté les 280 caractères mais je me voyais mal tronquer le texte. J'espère qu'il vous a plu ;)
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Défi
— Par pitié arrêtez
— Qui a dit cela ?…J’attends…Eh bien j'espérais un peu plus d’aplomb de la part de mes employés
— Si…si vous augmentez d’avantage la puissance de l’appareil, le cobaye va mourir
— Les stagiaires n’étaient-ils pas défendus d’entrer dans cette pièce ?
— Je suis chercheur Monsieur, j’ai obtenu mon diplôme cet année
— Quel âge as-tu ?
— 20 ans Monsieur
— Un gamin…
— Je m’appelle Vincent Monsieur
— T’ai-je demandé ton nom ?
— Non
— Dis-moi, Vincent, es-tu embauché par la Commission ou par moi ?
— Par vous Monsieur
— Peux-tu m’assurer qu’une autre diffusion d’ultrasons tuera ce monstre ?
— Je…je ne sais pas Monsieur
— As-tu conscience de la nécessité de ces expériences ?
— ...
— Et pourtant, tu te permets d’ordonner l’arrêt des tests. Dis-moi Vincent, sur quelles certitudes bases-tu ta petite jérémiade ?
— Vous torturez une enfant !
— Si tu souhaitais satisfaire ta conscience, tu aurais dû rejoindre le Centre d’Hébergement. Maintenant quand j’ordonne une augmentation de puissance, que dois tu faire ?
— Je ne peux pas. Je suis désolé
— Désolé ? Tu es désolé ? Voyez-vous ça. Et si je te licenciais, là tout de suite, serais-tu toujours désolé ? Savais-tu que je peux m’assurer qu’aucun laboratoire de ce monde n’accepte de t’embaucher pour le reste de ta vie. Continues donc de t’excuser, de pleurer ou de ramper à quatre pattes si tu le souhaites, rien ne m’empêchera de briser ta carrière si je le désire. Maintenant laisse moi te reposer la question de manière plus explicite ; soit tu relances la machine soit tu changes de job.
— Je n’ai jamais utilisé cet appareil
— Appui sur le bouton rouge et dicte moi à voix haute les valeurs qui s’afficheront devant toi.
—...
— J’attends
— Oui Monsieur…200…décibels à…130 000 Hz
— Parfait…ne détourne pas le regard, tu dois assumer tes actes jusqu’au bout…c’est pas vrai le cobaye à perdu connaissances…nettoyez moi et bazard et Vincent ! Ne reste pas planté là comme un cadavre anémique ; aide tes collègues. Tu rédigeras ensuite le rapport de l’expérience. Je le veux sur mon bureau ce soir. Après ça et uniquement après ça tu pourras rentrer chez toi. Est-ce clair ?
— Limpide Monsieur
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