Avant de mourir, le Président de la République Française s'adresse une dernière fois à ses compatriotes : "Je crois aux forces de l'Esprit et je ne vous quitterai pas". Un quart de siècle plus tard, Aurélie, une jeune femme de 15 ans va rentrer en contact avec ces forces pendant que le président de son époque s'apprête à enfermer son peuple. Des destins qui se croisent, se répètent et finiront par lier tous les personnages dans les multiples formes imbriquées de l'Invisible, du Sexe et de l'Amour.

Merci aux conseillers techniques anonymes des organismes suivants dans l'ordre alphabétique : CEA, CERN, CNA, DGA, ENA, ESA, Faculté des Sciences de Besançon - département géologie et astrophysique, France Télévision, Glock, Google, Heckler & Kock, INA, INAD, INSP, M6, MBDA, NASA, Radio France, Roscosmos, Sciences Po, UNC, Wikipedia, Youtube ainsi que la Couronne Britannique, la ville de Dijon et le Vatican. Et bien-sûr un remerciement tout particulier à G.T. à qui je dédie ce roman.
Toute ressemblance avec des personnes ayant existées, existantes ou qui existeront n'est pas fortuite ni le fruit du hasard. Tous les textes de chansons ne sont pas libres, de droits. Ce roman a été écrit par un amateur, n'essayez pas de reproduire la même chose chez vous. Tenir hors de lecture des enfants. Beaucoup d'âmes ont été blessées pendant l'écriture. Satisfait ou remboursé jusqu'en 2057. L'essentiel est dans Lactel.

C'est la partie 2 du tome IV de l'Invisible. Il fallait marquer le coup après le but atteint des 1286 pages. J'ouvre donc une porte pour commencer à lire ici en gardant le format court des chapitres. Pas de grande littérature, juste du langage parlé ou pensé au présent et à la première personne du singulier pour avoir à chaque page un simple angle de vue sur cette saga osée en forme de fresque intersidérale. Un chapitre, une page. Entre 400 et 500 mots selon les dialogues. Deux minutes de lecture entre deux stations de métro. Une perspective de 300 pages. À chaque fois un personnage, souvent le même à la suite, pense et parle au présent. Une page, un jour. Chapitre 1 le premier mai, 2116, sur la planète 4 avec de l'Humanité arrivée en deux fois qui se transforme et se mélange, où tout le monde est immortel, où toutes les filles sont enceintes passivement ou activement, où la religion essaie de canaliser les spiritualités, où personne n'est seul, où tout le monde s'aime, où chaque génération se réinvente.

Gutenberg s'est fixé une limite de 1286 pages pour son best-seller international, il en reste 422 à écrire pour moi et à lire pour vous dans ce tome III, dernier volet du triptyque.

J'aimerais vous dire que tout est écrit à l'avance mais non, il y a quelque chose de mystique dans l'écriture. Moi-même je ne connais pas la fin. Je vais juste être à l'écoute, de mes personnages, entre autres forces occultes. Eux ont la réponse à mes questions. Vous avez les réponses à leur question. Et c'est dans ce dialogue triangulaire que nous allons projeter nos esprits, nos cœurs et nos âmes à travers les trois dimensions de leurs existences qui vont se refléter dans les vôtres au milieu des intrigues de destins sans fin d'une saga fantastique de science-fiction religieuse et érotique des genres existentiels de l'amour de son prochain mais surtout de sa prochaine.
Sinon je ne suis pas là pour faire des belles phrases ou de la littérature, les personnages parlent et pensent au présent, comme ils le sentent. Et loin de moi les introductions et descriptions inutiles au profit de l'avancée de l'histoire où il peut se passer beaucoup de choses en simplement trois ou quatre lignes, sans développer. C'est déjà assez long comme ça, on n'est pas là pour trier les lentilles ou regarder pousser les haricots.