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HB2008

Défi
HB2008
je ne suis pas la fille de la couverture :)
par pitié aimer
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Défi
HB2008

Sarah éteignit son ordinateur, le rangea dans sa sacoche et quitta le bureau.
Comme presque tous les soirs elle était la dernière à partir.
Ses collègues froids et distants ne s'en formalisaient pas et rares étaient ceux
qui la saluaient le matin.
Sarah était une jeune femme de 24 ans perfectionniste. Elle se mettait un devoir
à écarter n'importe quel obstacle à sa carrière. Son visage fermé et dénué d'expression
décourageait quiconque essayait de lui parler. Pourtant elle n'était pas méchante et
n'avait aucune mauvaise intention. Non mais elle était perfectionniste et rien ne pouvait
la détourner de son but : une carrière exceptionelle.

Sarah sortit donc du bâtiment un sentiment de satisfaction en elle. Sa journée s'était
déroulée sans imprévus. Sarah détestait les imprévus ! Tout ce qui sortait de l'ordinaire
la révulsait. Son emploi du temps était stricte : lever, petit déjeuner, bureau, déjeuner,
bureau, réunion, diner, lecture, nuit.
Et ainsi de suite.
Sarah marchait d'un pas vif lorsqu'elle eut l'impression qu'on la suivait. Elle sentit une
sueur froide couler dans le creux de son dos et elle pressa le pas.
Deux rues plus loin elle était sûre. On la suivait ! Elle s'arrêta brusquement,
peut-être que son "suiveur" allait au même endroit qu'elle. Si elle s'arrêtait il continurai
son chemin tranquillement.
Mais non. Personne ne la doubla et l'ombre restait derrière elle. Sarah tremblante balbutia :
- Pourquoi me suivez-vous ?
- Tu es une proie facile, Sara. Répondit une voix suave.
Le coeur de cette dernière manqua quelques batements lorsqu'elle l'entendit prononcer
son nom. Elle reprit le contrôle et demanda :
- Comment connaissez-vous mon nom ?
- Je te vois tous les jours, je suis une personne de ton entourage. Répondit la voix.
- Qui êtes vous ? Hoqueta Sarah les larmes roulant sur son visage.
- Un être vivant. Plaisanta la voix.
- Que me voulez-vous ? S'écria Sarah la voix suraigue.
- J'aime jouer avec mes victimes avant de m'en débarrasser. Ricana la voix.
- Vous voulez me tuer ! Paniqua la protagoniste.
- Peut-être, je n'y aie pas encore réfléchis.
Un reflet argenté passa sur le mur et Sarah peina à respirer convenablement. Elle questionna :
- Vous avez un couteau ?
- Non. La rassura l'assassin.
Sarah n'avait jamais sentit une pareille sensation que celle de l'air arriver dans ses poumons après avoir suffoqué.
- En fait c'est un cuter. Lâcha la voix maussade.
- Pardon ?!!! Paniqua Sarah.
Elle se retourna brusquement pour voir son assasin et stupeur ! Stéphane ! Son collègue !
Ce trublion ! Toujours près à rire. Sarah se laissa tomber contre le mur et couina :
- Tu es un assassin ? Toi ?
A sa grande stupéfaction ce dernier éclata de rire et dit :
- Mais non !!! Je voulais juste te faire une blague ! Tu y as cru ?
Sarah pressa une main contre sa poitrine qui la lançait doulouresement.
Elle haleta et se laissa tomber à même le sol en béton ! Stéphane inquiet de la voir si mal
en point s'approcha et lui demanda :
- Sarah ? C'était une simple plaisenterie, Sarah tout va bien ?
- Je suis... cardiaque... n'importe quel choc pour mon coeur peut m'achever. Tu m'as tuée. Idiot !
- Je... Non... C'est faux ! Protesta le farceur.
- Si... Mais au fond c'était drôle. Merci, je meurs heureuse.
- Arrête ! Tu mens ! Je...
Stéphane recula paniqué. Il s'enfuit mais au bout de 40 m il se retourna.
A sa grande stupéfaction Sarah était debout et époussetait son manteau, en parfaite santé.
Il s'approcha et Sarah sourit. Elle dit :
- Stéphane ? C'était une simple plaisanterie, Stéphane tout va bien ?
Ce dernier sourit et dit :
- Tu veux venir boire un verre ? Je t'invite.
- Avec plaisir !
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Défi
HB2008

j'ai choisis cette photo car je l'aime beaucoup.
Le petit garçon est en mouvement, la photo et prise
sur le fait. Il n'a pas posé.
Il doit avoir 5, 6 ans. Il paraît très
fier de sa mission. Il a un grand sourire, on dirait presque qu'il rit.
La photo est ancienne en noir et blanc. Le petit garçon est allé acheter
du pain. Pour son âge c'est très important. Il court car il doit se dépêcher
sa maman l'attend.
Voilà. C'est tout mais je trouve cette photo attendrissante.
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Défi
HB2008

07 Back Street Back, Manhattan.

cher bureau de recrutement,
prénom nom : April Bord

nom super héros : Lady-Bubble

naissance : 22/06/1999

lieu naissance : Los-Angeles

sexe : Feminin
super pouvoir : je créé des bulles dans lesquelles j'enferme mes ennemis. Je remplies mentalement
de ce que je veux (gaz hillarant, eau, boue, pierres, eau salée, lave, acide...)

métier de civil : psychiatre

expérience : j'ai découvert mon super-pouvoir alors que je marchais dans la rue la nuit
je me suis faite agressé et alors que je paniquais mon pouvoir s'est déclenché.

style de combat : j'aime prendre mes adversaire par suprise. Lorsqu'ils s'y attendent
le moins. Et j'utilise énormément les figures de la GRS pour attaquer et esquiver.
J'ai déjà combattu sur un toit, un pond. Mon seul défaut est la peur du vide.







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Défi
HB2008

mère : elle est belle.
père : c'est notre bébé
mère : oh ce n'est plus un bébé, depuis longtemps,
père : tu te souviens lorsqu'elle revenait de l'école ?
mère : oui... ses couettes sautillaient sur ses épaules.
père : elle était tellement mignone.
mère : elle te ressemble.
père : elle a tes yeux.
mère : oui...
père : elle voulait être astronote, médecin, maîtresse et actrice.
mère : en même temps.
père : elle disait hier pour demain et y'a un an pour hier.
mère : c'était adorable.
père : elle a l'air heureuse.
mère : mon bébé...
père : quel âge avait-elle sur cette photo ?
père : 16 ans... Viens ne nous éternisons pas sur ces mauvais souvenirs.
mère : qu'est ce que j'ai fais ?
père : chérie ! Tu n'y es pour rien !
mère : c'est de ma faute. Si elle est partie chez son ami.
père : mais non.
mère : si elle me l'a dit. Avant qu'elle ne claque la porte et ne s'en aille.
père : elle reviendra.
mère : non. elle me hais.
père : elle reste ta fille et tu restes sa mère.
mère : elle est trop fière pour reconnaître ses torts et quand je l'appelle...
père : elle ne répond pas...
mère : oui...
père : viens, le repas va être froid.
mère : j'attendrais toute ma vie. Je l'aime.
père : elle t'aime aussi, mais elle ne veut pas encore le reconnaître.

porte et puis :
- Maman ? C'est... C'est moi.


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Défi
HB2008

main gauche : aïe, je suis toute endolorie.
main droite : moi de même chère amie
main gauche : que vous a-t-on fait faire aujourd'hui ?
main droite : personnellement j'ai écrit une dissertion en français.
main gauche : je vous plains. Pour ma part j'ai fait un tik tok. Il était d'une difficulté sans nom alors on me l'a fait recommencé une trentaine de fois.
main droite : ma pauvre, ce n'est pas une vie. Malheureusement nous ne pouvons nous détacher sans quoi nous pourrirons seules.
main gauche : quelle triste destiné...
main droite : qu'avez vous au programme cet après-midi ?
main gauche : j'ai entendu parlé d'une rédaction en français. et vous ?
main droite : et bien moi c'est la routine tik tok et encore tik tok !
main gauche : très chère, la rédaction m'appelle je vous dit bonne fin de journée et à ce soir.
main droite : bon courage.
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Défi
HB2008
mon texte est sous la forme d'une lettre.
C'est l'histoire d'une duchesse sans pitié qui est complétement dans son monde luxueux
et ne comprend pas qu'une personne étant né dans un milieu différent du sien n'a pas la
même chance qu'elle.
elle est cruelle et sans cœur. Son indifférence la rend drôle.
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Défi
HB2008

tout d'abord j'aimerais remercier l'inventeur de ce défi puisqu'il tombe pic ! Il y a quelque temps
j'ai fait un rêve très étrange :

Alors je marchais seule dans un rue près de mon collège que j'emprunte suvent avec mes amies pour rentrer.
Donc je marchais tranquillement quand une limousine blanche manque de m'écraser.
je suis sur une place toujours près de mon collège.
La limousine revient et remanque de m'écraser. Je m'éloigne rapidement, la limousine me suis.
Je la vois (c'est pas très discret comme voiture)
Je suis de nouveau dans la petite rue.
La limousine réaparaît brusquement derrière moi, une femme en sort. C'est la mère de mon pire ennemi.
je ne la connais pas, mais je sais que c'est elle.
Elle sourit et je lui demande pourquoi elle veut m'écraser. Elle m'explique qu'elle veut mes jambes pour son fils.Je lui demande pourquoi
bah oui j'aimerais bien savoir. C'est pas que je suis contre le progrès scientifique mais ça reste mes jambes.
Elle me répond qu'elle les veut pour remplacer les jambes de son fils afin qu'il puisse marcher...
c'est scientifiquement impossible.
Là mon pire ennemi (on va l'appeler Jean-Jacques afin de preserver son identité).
Donc Jean-Jacques sort de la voiture. Il n'est pas dans un fauteuil... Non il tient sur ses jambes.
Bien... J'avoue je suis un peu déroutée. Il était pas tétraplégique ? Bref je me reprend lorsque je vois cette charmante femme sortir un bazooka. Intelligement je lui explique que si elle tire, la plus grosse partie qu'elle aura de moi serait... mon lobe d'oreille ? Elle bug et j'en profite pour m'eloigner en sautillant.
Pourquoi je sautille ?
Là je fait une petite pirouette mais comme je ne suis pas une très grande danseuse je me prends un mur et je décide de ne plus en faire d'autant plus que j'ai la tête qui tourne et la nausée.
On peut pas tout avoir j'ai déjà réussi à échapper à une mère folle et que ne sera jamais chirugienne.

voilà !!! C'était mon rêve très étrange. Je ne vous cache pas que je vais regarder mon pire ennemi d'un autre oeil maintenant. Merci d'
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HB2008
Lorsque la police arriva Berthe était déjà morte depuis un bon bout de temps. Malgres des traces bleues tout autour de son cou elle était comme à son habitude droite. Ses mains étaient croisées sur son ventre et sa bouche pincée. Toute sa vie Berthe avait été bibliothécaire, elle ne l'avait pas choisie. Elle se l'était imposé, que pouvait-elle devenir d'autre ? Elle si froide si distante si acide. Si Berthe pouvait ressentir d'autres émotions elle ne le montrait pas. La seule qu'elle faisait ressortir c'était une aversion terrible pour toute sorte d'amour. A chaque démonstration affectueuse dont-elle était témoin sa bouche se tordait pour se rétracter en une ligne droite et ses yeux se fermaient brusquement. Personne au monde ne possédait une explication. Personne ou presque. Deux hommes connaissaient la véritable raison. L'un en était responsable. Jacques et Philippe. L"histoire s'était déroulé en 1964. Berthe avait alors 24 ans, il en était de même pour Jacques et Philippe. Jacques était un jeune homme rondouillard. Sur son visage s'étalait toujours un doux sourire. Philippe lui était absolument magnifique, toutes les filles du quartier se serait battues pour un simple sourire. B
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HB2008
Pierre était un homme d'une quarantaine d'année. Il possédait beaucoup de qualité et son seul défaut était l'addiction au jeu d'argent. Ses amis lui disaient souvent qu'un jour il finirait à la rue à force de dépenser tout son argent dans les machines à sous. Mais Pierre était persuadé qu'il finirait par gagner. Un jour il proposa à son ami Malik de s'y rendre avec lui un vendredi soir. Ce dernier d'abord réticent finit par céder. Ils s'y rendirent tous les deux et jouèrent aux machines à sous toute la soirée. Vers minuit Malik se lassa des machines et proposa de rentrer. Pierre accepta à condition de lancer la machine une dernère fois, son ami accepta et fit tourner sa machine. Pierre à son tour abaissa la manette, il remarqua alors que ses lacets étaient defaits il se baissa donc pour les refaire. C'est alors que Malik poussa un cri de victoire qui retentit dans tout le casino. Pierre se redressa et vit que son ami avait décroché le gros lot. Il s'approcha pour voir mais se prit le pied dans ses lacets. Il chuta lourdement et sa tête cogna contre la machine. Elle heurta si fort que son cou se rompit. A peine était-il mort que sa machine s'arrêta à son tour de tourner... Indiquant
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Défi
HB2008

je vais vous décrire un homme que je vois dans un cauchemar qui revient fréquemment
d'abord le contexte :
dans mon cauchemar, j'ai aux environs de 4 ans, je suis devant une église. (pourquoi ?)
Je suis assise sur les marches et mes bras entourent mes jambes qui sont repliées contre
ma poitrine. J'ai froid car il neige.
Bref je suis dans cette position lorsque j'aperçois un homme. Je panique et commence à courir.
Jusque là, dans mon cauchemar je ne le vois pas distinctement. Mais de loin il paraît grand.
J'ai peur je cours me réfugier dans l'église. L'homme me poursuis. Je m'engagee dans un petit escalier.
Je finis par arriver sur le toit. Là je trébuche. L'homme me rattrape. Je peux enfin le voir correctement.
Il porte des vêtements noirs un pantalon, une chemise et une cape posée sur ses épaules.
Son visage est pâle, ses cheveus noirs, son nez et long et carré. Il me fait peur. Je tremble de tout mon corps. Il me fait penser à un monstre. Ses yeux son petits et noirs comme deux cailloux.
Ses cheveux noirs sont coupés en un carré mi-long. Lorsqu'il tend ses bras vers moi je remarque
que ses mains sont longues et fines comme celles d'un squelette. Ses jointures ressortent.
Sa personne fait ressortir en moi une panique immense et incontrolable. Je tremble et me débat dans la neige. L'homme tente de m'attraper mais je le mord. Il hurle et j'en profite pour reculer.
Mais je ne vois pas le bord et je tombe du toit. Lors de ma chute je me couvre la tête de mes bras.
Mon corps s'écrase lourdement sur les marches et une grande douleur me traverse. L'homme se précipite au dessus de moi et souris. Il marmonne
- enfin !
Sa voix et grave. Ses dents sont tordues et sales. Je sens des larmes couler sur mes joues et tout devient noir.
Voilà généralement mon cauchemar s'arrête là. Lorsque je me reveille je pleurs.

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HB2008
Pan ! La balle partit. Enola sentit son souflle se bloquer. Elle baissa les yeux et vit une tache apparaître. Elle ouvrit de grand yeux sourit puis s'affaissa et s'écroula au sol telle une vulgaire poupée de chiffon. Eric lâcha l'arme et malgré son sourire satisfait il sentit en lui comme un grand effondrement. Mais elle l'avait mérité se reprit-il. Toutes ces années elle allait et venait. Le jour de le mariage, il l'avait trouvée dans les bras d'un autre. Et cette scène s'était reproduite des centaines de fois au cours des années. Mais lui était trop faible pour la quitter et surtout... Il l'aimait. Comme un fou. Jamais il n'avait ressenti une chose pareille pour une femme. Et il avait fallu que cette femme soit incapable de lui rester fidèel. Tel un papillon elle s'envolait à chaque fois qu'il essayait de venir à elle. Durant 15 ans il avait partagé sa vie avec elle. Ils avaient un bel appartement, de beaux enfants... Enfin... Elle avait de beaux enfants. Puisqu'à peine quelques heures plus tôt il avait apprit par le biais d'un ami que ses chers enfants n'étaient pas les siens mais celui d'un collègue d'Enola. Le pire était qu'elle ne se contentait pas de le tromper à tours de br
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