D D.MELO
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de toujours
SAGA 48 HEURES POUR AIMER
TOME 1 24H POUR SE RETROUVER
TOME 2 24H POUR SE DECLARER
Les émotions se vivent, les sentiments se narrent.
Quelques mois après une aventure passionnelle qui a bouleversé leurs vies, James et Victoria se retrouvent par hasard dans un club toulousain. L'attirance entre eux est toujours palpable, mais le temps, les secrets et les regrets ont érigé des murs entre eux. Durant 48h décisives, ils vont devoir dévoiler leurs sentiments, confronter leurs peurs et leurs doutes et décider s'ils sont prêts à écrire ensemble le chapitre 2 de leur histoire. Entre souvenirs enflammés, révélations fracassantes et émotions en pagailles, James et Victoria découvriront si leur amour naissant peut survivre aux épreuves du passé et s'épanouir dans le présent.
TOME 1 24H POUR SE RETROUVER
TOME 2 24H POUR SE DECLARER
Les émotions se vivent, les sentiments se narrent.
Quelques mois après une aventure passionnelle qui a bouleversé leurs vies, James et Victoria se retrouvent par hasard dans un club toulousain. L'attirance entre eux est toujours palpable, mais le temps, les secrets et les regrets ont érigé des murs entre eux. Durant 48h décisives, ils vont devoir dévoiler leurs sentiments, confronter leurs peurs et leurs doutes et décider s'ils sont prêts à écrire ensemble le chapitre 2 de leur histoire. Entre souvenirs enflammés, révélations fracassantes et émotions en pagailles, James et Victoria découvriront si leur amour naissant peut survivre aux épreuves du passé et s'épanouir dans le présent.
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"Au champ d'honneur des coquelicots"
Miscellanées. Réminiscences. Morceaux d’un passé. Adolescence et jeune adulte, sans foi, sans loi. Des mots qui s’entrechoquent, des phrases qui filent, des idées qui éclatent. Parler de moi, ou de rien, ou de tout. Écrire comme on respire, comme on crie. Des sensations jetées sur le papier, des vies inventées, des chemins empruntés. Jouer avec les sons, les silences, les figures de style. Se perdre dans le désordre, s'y retrouver, ou peut-être pas. Plonger, sans filtre, dans ces fragments d'un passé. M’envelopper de douceur et de violence, les mots jaillissant tel un geyser. Une boule de neige secouée pour faire resplendir le monde. Des mots qui renaissent, ensorceleurs, sous mes yeux. Entre imaginaire et réalité, entre ouvertures et entrebâillements, voir où les pages me conduissent... Ici, tout est possible. Tout est permis.
Miscellanées. Réminiscences. Morceaux d’un passé. Adolescence et jeune adulte, sans foi, sans loi. Des mots qui s’entrechoquent, des phrases qui filent, des idées qui éclatent. Parler de moi, ou de rien, ou de tout. Écrire comme on respire, comme on crie. Des sensations jetées sur le papier, des vies inventées, des chemins empruntés. Jouer avec les sons, les silences, les figures de style. Se perdre dans le désordre, s'y retrouver, ou peut-être pas. Plonger, sans filtre, dans ces fragments d'un passé. M’envelopper de douceur et de violence, les mots jaillissant tel un geyser. Une boule de neige secouée pour faire resplendir le monde. Des mots qui renaissent, ensorceleurs, sous mes yeux. Entre imaginaire et réalité, entre ouvertures et entrebâillements, voir où les pages me conduissent... Ici, tout est possible. Tout est permis.
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Au coeur de la nuit, au fil des jours, j'écris encore. Mille motifs. Sans raison.
Je n'ai plus 15 ans ni 20, ni 30. Mes miscellanées sont des billevesées désormais. Ma plume a changé, voyez.
Je n'ai plus 15 ans ni 20, ni 30. Mes miscellanées sont des billevesées désormais. Ma plume a changé, voyez.
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Défi
Elle n'a pas d'amis, pas d'amour. Elle n'en veut pas, elle ne leur en veut pas, elle ne cherche rien, n'attend personne. Et cela depuis toujours, ou peut-être depuis qu'elle en a conscience, depuis que ces mots s'échappent en charabia désordonné : elle a tant à dire. Son langage est un discours à part, un monologue intérieur qui diffame sans cesse l'inconscient collectif, conteste les pouvoirs d'un ça, les messages ancestraux gravés dans les corps. La mémoire originelle la sature à en devenir paranoïaque. Qui pourrait comprendre ou recevoir ? Les autres ? Elle les observe depuis la fenêtre en hexagone, scrutant à travers toutes les embrasures et les interstices, ou les interlignes, en arpentant inlassablement les mêmes kilomètres de damiers chaque jour. Envers eux, pour eux, les sentiments n’ont pas de place. S'attacher à des automates serait trop facile, s’attacher à des personnages, trop dangereux. Elle a englouti chaque solitude, chaque frustration, chaque questionnement, la moindre douleur, la plus banale humeur, les centaines de passants sous ses yeux. Et puis, elle n'a pas réussi à tout canaliser dans son ventre. Elle s'est alors mise à noircir des pages et des pages dans l'a
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