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D'aussi loin que sa mémoire lui permettait de voyager, le vieil homme ne se souvenait pas avoir rencontré un homme qui fut revenu du monde d'en bas.

Je suis, Claude Carrés, j'ai aujourd'hui 140 ans, et je vais vous raconter la fin d'un monde, une histoire qui pourrait être vrai, si nous ne prenons pas garde.

Bon ben me voila avec mon dictionnaire de mots nouveaux, de mots brisés, détériorés, des mots lit. En un mot les mots dits

Je suis curieux de savoir ce qui se cache derrière la lecture de votre livre de chevet, alors un défi ?

Bonjour !
Donnez vous la peine de vous asseoir
- Merci
....
- Euh je me présente ...
- Ne vous donnez pas cette peine ! Je sais très bien qui vous êtes et ce que vous venez faire.
- D'accord ! Je sais que votre temps est précieux...
- C'est exact je suis en plein travail comme vous pouvez le constater.
- Voila l'idée de vous interviewer m'est apparu à moi et certains de vos fans comme une ..
- Evidence ?
- Euh oui quelque chose comme ça
- Certes ...Sachez Monsieur que je n'accorde que peu d'interview et ce pour une raison très simple je suis parfaitement inconnu.
- C'est exact !
- D'ailleur en parlant de celà comment m'avez vous connu ?
- Et bien Monsieur Carrès disons que c'est une personne que je connais qui vous connaissant m'a suggéré de faire l'interview d'un futur connu
- Je la connais ?
- Qui donc ?
- L'inconnue qui me connait !
- Comment savez vous que c'est une femme ?
- Parce que j'ai mis un "e" à la fin de mon inconnue.
- Oui ..qu'importe qu'elle fut homme ou femme ?
-C'est important sachez le pour moi comme pour les lecteurs qui aiment savoir à qui ils ont affaire.

Pas si étrange

Un mort averti en vaut deux. La vie vous réserve parfois des surprises.

Si si c'est bien une tête de mule sur la couverture. Essayez de faire faire quelque chose à un chat.

???

Une vision de la mort d'adèle non pas la chanteuse, Adèle Matinbenvoui

La simplicité c'est simple, facile à comprendre, pas de prise de tête....Même un enfant de deux....trois....quatre ? Allez cinq ans peut comprendre !
Sa cousine, la vulgarisation, essaye de l'imiter maladroitement. Emprunter à la vulgarité ses racines pour dénigrer la complexité....N'est-ce pas un peu déplacé ?


La simplicité dépasse les conventions, elle s'affranchie de toutes les rêgles. Elle s'impose face à la complexité en lui otant sa légitimité.