Précieuse
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La bêtise est une bâtarde,
Née de l'attise de marde de l'amusette, et de la coyau de la folie.
C'est du chaos le grão,
C'est des loyaux le noyau,
C'est de la coqueluche sa faluche,
C'est une ruse de buse qui s'infuse,
Et telle une épidémie cancéreuse,
Elle épie et pille qui elle désire expie, copie,
Elle est l'âme-sœur de celle de son accroche cœur, à son heure écœuré,
Commet, avec Dazomet, sans bechmet, un phosmet,
En infâmes âmes, avec la came.
En tête tu viens bête,
Ou bête et bête,
Mais si tu te vêtes ; que pour le bébête.
Pas prête, à la renverse,
Prête à l'inverse,
Ou t'affète, à la buerie.
Femme fertile,
À faire style grossier,
Couche et accouche d'une nouvelle bicouche, d'une chaire,
Une ère à taire mais que Déméther a offert son air de vie pour qu'elle erre.
Son laiteux est coûteux aux douteux,
Goûteux pour ses compagnons du miteux en habit de vapoteux.
Le prix de l'égérie est l'hoirie de l'ascension du péri.
Née de l'attise de marde de l'amusette, et de la coyau de la folie.
C'est du chaos le grão,
C'est des loyaux le noyau,
C'est de la coqueluche sa faluche,
C'est une ruse de buse qui s'infuse,
Et telle une épidémie cancéreuse,
Elle épie et pille qui elle désire expie, copie,
Elle est l'âme-sœur de celle de son accroche cœur, à son heure écœuré,
Commet, avec Dazomet, sans bechmet, un phosmet,
En infâmes âmes, avec la came.
En tête tu viens bête,
Ou bête et bête,
Mais si tu te vêtes ; que pour le bébête.
Pas prête, à la renverse,
Prête à l'inverse,
Ou t'affète, à la buerie.
Femme fertile,
À faire style grossier,
Couche et accouche d'une nouvelle bicouche, d'une chaire,
Une ère à taire mais que Déméther a offert son air de vie pour qu'elle erre.
Son laiteux est coûteux aux douteux,
Goûteux pour ses compagnons du miteux en habit de vapoteux.
Le prix de l'égérie est l'hoirie de l'ascension du péri.
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Sans encore de destinataire, ils se font tardifs, ceux qui mériteront mes mots.
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Défi
Il n'existe plus belle richesse qu'on puisse m'en faire offrande que l'esprit. Or, bijoux ; couvrez-moi en, je vous offrirais que mes crocs en retour.
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Lors de nuits qui suivent celles particulières,
Il parvient jusqu'à sous mes draps,
Et taille mon ventre en arrondi.
C'est un artiste,
Dit un grand homme,
Ni de taille grossière,
Ni taillée,
Vêtu d'un tailleur.
Je devins mère au Sabbat,
Lors des orgies des dieux,
Et porte l'aurore suivante,
Le fœtus de mes horreurs,
Semblable à Pandore.
Je l'avorterai,
Lorsque je pousserai.
Mais ses charpentes, elles, resteront ;
Pour ne jamais oublier.
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Défi
Quelques Facilités Pour la Traduction : *pour de la couleur* *dans nos prouesses intellectuelles, transmissions par le linguistique, et dans notre enthousiasme* *d'être une inégalité, une dépendance, une drogue* Dans nos rues, qui se fait nu, Se met à la vue de ceux invalides des yeux. Parmi eux, la parade, en voeu de chasteté, Ce sont les vierges qui désirent ceux qui divergent, Plutôt virent aux désirs que sirs pour du stot. Une virginité qui ne faille, Une divinité qui ne défaille, Son sein pèse, de crainte, chez une sainte. Et il est une contrainte, même quand elle pointe pour le klein de cet œil : Elle vit la vie, avec sel et miel, Sur son ovelle, que la langue mélange, *pour du ciel*. Dans nos amours, qui se fait craintif, Est éperdu dans ce dû décidu, La dent qui touche et a étendu le don du Cupidon. *Dans nos verves*, on se préserve parfois, Jurons sur notre chance, en errant notre attirance *d'être de l'héroïne*, Et à être l'héroïne de la survie de son être. Son âme connaît déjà l'envie de vie de dame que je lui désire, démunie de mes larmes, qui me donne le charme, Et désarme : mais elle a ses drames, et mes rames à tenir en du slam, qu'elle me dynamise, Et économise : el
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Défi
Lors de nuits qui suivent celles particulières, Il parvient jusqu'à sous mes draps, Et taille mon ventre en arrondi. C'est un artiste, Dit un grand homme, Ni de taille grossière, Ni taillée, Vêtu d'un tailleur. Je devins mère au Sabbat, Lors des orgies des dieux, Et porte l'aurore suivante, Le fœtus de mes horreurs, Semblable à Pandore. Je l'avorterai, Lorsque je pousserai. Mais ses charpentes, elles, resteront ; Pour ne jamais oublier.
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La bêtise est une bâtarde,
Née de l'attise de marde de l'amusette, et de la coyau de la folie.
C'est du chaos le grão,
C'est des loyaux le noyau,
C'est de la coqueluche sa faluche,
C'est une ruse de buse qui s'infuse,
Et telle une épidémie cancéreuse,
Elle épie et pille qui elle désire expie, copie,
Elle est l'âme-sœur de celle de son accroche cœur, à son heure écœuré,
Commet, avec Dazomet, sans bechmet, un phosmet,
En infâmes âmes, avec la came.
En tête tu viens bête,
Ou bête et bête,
Mais si tu te vêtes ; que pour le bébête.
Pas prête, à la renverse,
Prête à l'inverse,
Ou t'affète, à la buerie.
Femme fertile,
À faire style grossier,
Couche et accouche d'une nouvelle bicouche, d'une chaire,
Une ère à taire mais que Déméther a offert son air de vie pour qu'elle erre.
Son laiteux est coûteux aux douteux,
Goûteux pour ses compagnons du miteux en habit de vapoteux.
Le prix de l'égérie est l'hoirie de l'ascension du péri.
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Défi
J'écris à l'enfant de sept ans de l'emblavure,
S'en roulant dessus, s'enroulant dedans, et où s'y s'emboquant, certains l'aimeraient percevoir ; l'or, or « facile » qu'il est d'imiter vêtir,
Sans cent pour-cent connaître le sens du sang,
Une moins-que-rien, une saignée de larmes, qu'il, sans soucis, s'en sourcille de l'effacil, de s'en guérir ; ces genoux écorchés,
Qui diverge entre dévierge, et que devient avec lui vierge la légende de la berge qui gère les converges qui mènent à la bergerie maline,
Et qui, s'il dut faire ses épousailles, il la prendrait pour épouse, la mère de la mer ; l'océan.
Une idylle des vignes de vie, tu bois de la jouvence.
Neuf moi éparpillés, neuf mois avant de t'adulaient, neuf toi soldats neufs.
Tes chimères brouteront de l'ambroisie, tandis que tu aboieras après celles fugitifs.
Le rouge-gorge gorgera tes songes, t'égorgera si tu ne vois pas rouge, mais cependant bleu,
Si tu cueilles le muguet pour Amphitrite.
Moi, au Ain, je lui ai offert un bambin.
Sans mauvais teint, dans son bain, je m'y suis tu, tel un gamin inhumain.
Le déluge était pour les lucifuges et ceux qui formaient le tapis qu'écrasaient les juges d'en haut,
Et sur ma luge, partis trouver refuge,
Mais il eut, dans le futur, en réduit, les absences d'un peu plus de la dolence, reflet dans ces yeux de faïence, que j'eus retrouvé, moi indécents, dans cet accoutrement troué, au port,
Lorsque j'avais repensé au bord des accords,
De mes morts, qui me sont forts.
Immature vêture de la nature des « rotures »,
Par l'épée, la paix est une épopée déité.
Épéiste de peste, ou peste des épéistes,
Bête à conquêtes,
Ou requête de quête pour sa tête,
Bêleras-tu, ou héleras-tu le salut d'Hadés ?
J'écris les cris des dits « camarades », percés dans un Bercé, que les écrits, de décris, décrivent ; plus que des gris os,
Ces princes du désert,
Pour le grain du dessert, que servent les noces, et qui servira, en sûreté encore un demain, les cerfs-volants de l'ère de pierre des guerres, ce qui est couvert à peu en être fière : à découvert l'honneur, ou du billet vert ; et même dans la manière du verre sur l'ouvert de leur esprit : à l'honneur de leur bon air.
Des tonnerres pour du nerf à se faire foudre.
Ton innocence te berce,
Le soldat te perce, même pas pour ton inceste.
La vague séchera, et ta bague échera une lague sur le lac,
Myroblite.
La dague,
Tu poignarderas grâce,
Avec drague, tu traqueras le cartilage du pays,
Et avec l'itague, tu pendras ce qu'il faudra.
Je te décris en écrits,
Ces cris qui parviennent de ces pays gris,
Abri des débris,
Où les gerris tortorent ces péris,
Zombies,
Des grains de riz,
Qu'ils ont fauché pour n'être dépéris de vie.
Une manie qui enfin servit pour de la mie, ces vies, débarrassées.
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Lors de nuits qui suivent celles particulières,
Il parvient jusqu'à sous mes draps,
Et taille mon ventre en arrondi.
C'est un artiste,
Dit un grand homme,
Ni de taille grossière,
Ni taillée,
Vêtu d'un tailleur.
Je devins mère au Sabbat,
Lors des orgies des dieux,
Et porte l'aurore suivante,
Le fœtus de mes horreurs,
Semblable à Pandore.
Je l'avorterai,
Lorsque je pousserai.
Mais ses charpentes, elles, resteront ;
Pour ne jamais oublier.
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Je me dissimule chez tous les lieux, chez tous les corps : mes touchers sont de partout, moi qui suis tous les océans, toutes les terres : ma maison est partout, mon lit est de tous. Je suis la chimère de toutes mes idées.
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