ici point de roman, seulement des mots en accroche-cœur...Des histoires sorties de mon imagination, des poèmes d'émotions

Baisers comme brasiers, nuits délicieusement enflammées.
Rosemay

Lili est la petite voix qui s'invite en toi, elle guide si tu le souhaites tes pensées vers une nouvelle façon d'appréhender l'existence.
Elle ne force pas, elle t'accompagne mais jamais ne dirige, c'est toi qui l'accueilles en fonction de là où tu en es sur ce chemin qui t'amène vers la personne la plus importante de ton existence, Toi.

Correspondance entre un joli miroir et son reflet humain

L'effet Larsen attira mon attention par une invitation à répondre à un défi photo, tout simplement j'y suis allée, puis après j'ai commencé à lire Gilbert.
C'est là, que l'aventure imaginaire débuta réellement.
À travers des mots, comment par projection mentale puis aussi par souvenir d'un lointain cousin, j'ai collé ma réalité sur qui est Fred.
Il surfe sur les mots, fabrique des phrases dignes d'un océan tempête burlesque, élabore ensuite par je ne sais quelle figure de style, un retour à une vaste étendue d'huile douce.
Je l'imagine alors sur une planche, corps solide, regard vif dans la compétition sportive du stylo à bille, mais après, lors de la relecture de ses mots joliment accolés, des yeux presque souriants, quelques larmes salées pouvant même rejoindre l'eau du dehors.
Fred vit au bord de mer, je fabule certainement mais il ne peut en être autrement.
Pourquoi ?
Tout simplement parce que pour être couvert comme il l'est de bienveillance généreuse, c'est que l'iode magique lui apporte aussi un côté magnétique.
Très grand par sa gentillesse sage, il n'en est pas moins une personnalité joviale, attachante sans lourdeur.
Pour accomplir cet exploit du être sans paraître, j'imagine qu'il est né en automne, là encore c'est une image qui germe, cette saison est propice au lâcher prise, au délestage sans rancoeur.
Pour accomplir tout simplement ses journées de grand sportif des apprentissages de la vie, Fred porte un costume maillot de bain super confort, 365 pièces créés d'un coup de crayon papier.
Lorsque j'ouvre cette plate forme d'écriture, je joue à trouver Fred, il n'est jamais bien loin et c'est un plaisir certain.
Rosemay

Accueillir, partager, échanger, me positionner, telle est ma façon maintenant d'envisager les échanges avec celles et ceux qui partagent et traversent mon existence.
Pour ne pas m'être indécente, je n'accorde plus d'intérêt aux jeux de pouvoir.
J'ai l'âge d'avoir traversé de belles épopées, fantastiques certaines fois, délicates aussi, décevantes assurément.
Alors ici je vais déposer les scories de ce qui visiblement ne m'a pas totalement quitté.
Cette empreinte qui m'effleure maintenant, est un vestige précieux me permettant aujourd'hui une vision personnelle. Elle est à mon sens importante pour continuer droit devant. Poursuivre cette vie, sans rancœur, allégée des souvenirs amers et stériles d'amour, ce que j'ai nommé :
Combat de genre.
J'aime comprendre les situations, pour mon esprit, la seule équation à garder près de soi est la conjugaison à tous les temps du verbe aimer.
Il permet d'aborder bien des sujets, qu'ils soient des êtres ou bien des égrégores de pensées rencontrés. Ces derniers n'ont pas le même comportement si "aimer" est absent.
Le sexe, n'échappe ainsi pas pour moi au verbe aimer.
Le genre quant à lui, a de merveilleuses possibilités par l'échange des mots dits avec amour dans le respect de soi et ainsi de l'autre.
Il est trop simple je pense de réduire l'acte charnel au mot sexe.
Si certains et certaines préfèrent le vivre ainsi, je le respecte, seulement c'est bien réducteur à mon sens.
Puisque même en l'absence de sentiments, les énergies des corps se mêlent, tourbillonnent et laisse une marque.
Alors, je préfère que cette trace déposée sur ma peau soit dans la conscience du verbe aimer.
Néanmoins, je peux dire, en réponse à la question posée pour ce défi et aussi puisque je suis une femme :
-oui, si je veux du sexe en tant que tel je peux l'avoir.
En ce qui concerne le genre, ici l'homme et la femme sont égaux, pas plus pas moins.
Ce qui est différent à mon sens encore une fois c'est si aimer est invité...
Nous nous montrons de façon différente si nous avons été touché par l'amour, ce dernier est présent sous bien des formes.
Aimer est le remède pour je dirais tout le mal qui pourrait être fait...
Maintenant, je relis tout ceci, peut-être que mes mots sembleront hors sujet.
Peu importe, j'ai aimé les écrire, j'aime aussi les partager.
Rosemay

Une phrase quand je veux en lien avec le temps

ce texte n'a pas de genre, il parle ainsi aussi bien à Ulysse qu'à Pénélope

Participation de Rosemay
Chapitre 6
Pause étoilée

Cette plongée en eau fraîche m'est bénéfique, je retrouve des particules de souvenirs. Jolie pause où mon esprit et mon cœur se connectent. Ce soir, je le ressens de façon intense, j'ai la possibilité de fabriquer des souvenirs qui vivront dans la mémoire de Laurent.
22 h 22 - micro actionné, caméra sur off :
Allongés sur l'herbe fraîche, nous observons le ciel étoilé, mon ami et moi avons des étoiles plein les yeux.
Il fait bon être là, les sons de la nature deviennent feutrés, le hululement de la chouette, accentue les cliquetis réguliers du vent dans les feuilles.
Je choisis ce moment pour parler, doucement, comme pour suspendre des graines de cet instant ici, sous la voie lactée.
Dis-moi Laurent, as tu déjà pensé aux différentes formes d'intelligence ? ,
- Oui je crois, mais je ne m'y suis jamais attardé,
- J'en ai côtoyé plusieurs, trois ont retenu ma curiosité mais là ce soir, je te parlerai de l'intelligence que j'aimerais voir grandir dans notre univers.
Laurent s'émerveille de la force vive qui anime Léonore, il comprend que cette femme est lumineuse, une ode à la vie. Quelques heures plus tôt il lui massait le cœur, là maintenant elle souhaite transmettre un message à l'humanité entière.
Elle poursuit ainsi :
- L'intelligence émotionnelle me transporte, je pense que les êtres qui en sont pourvus gagnent du temps sur les apprentissages de la vie, elle leur permet l'ouverture en conscience des coeurs. Ils ont cette aptitude innée à ressentir les gens, les histoires qui se jouent, car ils ont la faculté de capter les énergies ambiantes. Ils parviennent alors avec justesse à comprendre,
- Tu fais référence à une prise de conscience collective sur les dérives que les humains infligent à cette belle planète; tu aimerais que les esprits se réveillent plus rapidement ?
Le spectacle de ces étoiles qui d'ici semble si petites alors qu'elles sont de vraies géantes éloignées apaise et berce les deux amis. Des fils d'étoile s'échappent, Léonore et Laurent ont des pépites scintillantes plein les yeux.
Léonore ne parle plus, elle contemple et fait un voeu.
Laurent savoure cet instant, inutile de connaître la réponse.
La voix de son amie figée sur l'appareil laissera la mémoire de ce lieu, de cette question. C'est la réponse de chacun à celle-ci qui fera toute la différence.
Demain sera un jour nouveau, les germes de la vie les conduiront en Italie, là bas une autre histoire, d'autres consciences.
Rosemay

Ici le pied est en valeur, bien que la chaussure soit celle dont "on semelle".
Si l'expression éveille toujours à mon âge avancé un conte de mon enfance, je dois dire que finalement aujourd'hui j'en comprends une autre histoire.
Pour commencer, je souhaite bien évidemment à toutes et tous si c'est un désir absolu, de rencontrer cette perle rare qui habillera avec justesse votre peton bien enraciné.
J'ai envie d'ajouter avec malice, lequel ? Puisqu'ici un seul pourra vivre la parfaite histoire, le droit le gauche, est-ce différent ?
Assurément je vous l'accorde, puisque mettre le grappin avec gaucherie ne pourrait faire de cette affirmation une chute enviable. Nous comprenons bien ici qu'elle se doit positive alors c'est le droit qui l'emporte.
On a le droit au bonheur si l'on est droit, conscience collective qui pris sa source grâce aux gauchers maltraités.
Seulement voilà, droit ou gauche notre membre à orteils n'a point de supériorité.
Alors j'imagine que chaussure droite n'épousera jamais pied gauche. L'histoire des différences sur lesquelles on ne transigera pas est fortement imposée. Partout l'illusion se glisse, j'aimerais lui faire un pied de nez.
Arrive une belle idée, pourquoi ne pas transformer le conte Cendrillon.
Une femme qui au hasard d'une fête bien arrosée, se déplace chaussée de bottes en caoutchouc.
Il pleut, quel bonheur de savoir ses 36 fillette bien au sec. Elle mange, boit, rit, fume, observe celui, celle qui l'accompagnera pour toute une vie d'amour.
Recherchant la personne qui fera d'elle une bien meilleure femme "beauté". Chat d'un autre conte étant déjà passé par-là, les pas bien posés ne parviennent à trouver le pied assorti. Où est cette fabuleuse personne qui m'est promise ?
Un fût de champagne englouti l'aidera à dégoter cette empreinte magique. Les chausses comme des tiags lui apportent une allure non féline. Botter en touche, Matou laisse place à belle Cendrillon.
Devant une femme elle dépose botte droite devant un homme c'est la gauche. Qui fera de cette cuissarde, chaussure à son pied ?
Les protagonistes s'émerveillent de cette aubaine, saisissant l'objet ils s'empressent de le remplir de bière blonde. Ils s'en viennent à la belle trinquer à un amour naissant.

Les trois partent à cloche pied, cœur en joie et chaussures à leurs pieds.

Moralité, trouver chaussure à son pied peut se transformer en une forme plurielle avec genre non imposé.

Rosemay

lulu brille

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