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Elucatnet

Elucatnet
Aujourd'hui, j'ai cru voir arriver le blizzard : Une réunion bizarre, de l'ours et du connard. Un sommet sur l'Ukraine, mais y avait pas l'Ukraine... Veulent-ils stopper la guerre ? Veulent-ils stopper la haine ? Quand on met un connard en haut de l'étendard, Faut pas pleurer ensuite quand le pays fait faillite. Désormais, c'est triquard, c'est même limite standard : On renforce les élites, et les autres périclitent. À Monsieur Zelensky, un millier de mercis Pour avoir essayé, pour avoir espéré. Quand ces deux grands pays s'unissent, c'est fini... On aura pu rêver, juste avant de crever.
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Elucatnet
Oublier la douleur pour t'ouvrir notre coeur Notre peine est immense, elle submerge nos consciences. Tous ensemble et en chœur, nous fixons ta lueure. Appelés, comme en transe, nous t'aimons à outrance. Impossible d'oublier ces moments figés. Maman, tu nous as vus, affronter l'inconnu. Échecs ou bien succès, tout pour toi a compté. Matriarche déchue aux enfants dépourvus, À toi, l'enfer de Dante au paradis de Kant. Montre nous que demain s'en ira le chagrin. À chaque fois que tu chantes, une étoile filante, Nous envois à chacun, une raison pour demain.
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Elucatnet
Je ne peux que t'écrire, pour capter ton sourire, Je ne peux qu'espérer, que tu voudra m'aimer. Vouloir te faire rester, vouloir te regarder, M'empêcher de souffrir, par un simple éclat d rires. Pourtant j'ai beau t'aimer, je ne peux m'empêcher, D'avoir maille à partir, d'un cœur pur à quérir. Et l'envie de partir, j'ai un peuple à haïr. J'ai une guerre à mener, un pays à sauver. Pourtant tout me retient, pourtant tu me retiens. Mais le fil du destin, ne veut pas de nos mains. Je t'en prie mon aimée, laisse moi m'en aller Je saurais revenir, tu veilleras mon navire, Et ainsi nos projets, pourront-être concrets Un présent, un avenir, tous deux sous le zéphyr.
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Elucatnet
Écrire pour ne plus fuir, pouvoir à nouveau rire. Le temps a fait son œuvre, un peu comme une pieuvre. Te prives de tout bonheur, fait régner la torpeur. Te forces à tout haïr, toujours penser au pire. Talent auto bridé, on m'a trop répété Que c'était pas pour moi, que j'étais pas ce gars. Rempli de désarroi, j'ai toujours pris sur moi Seulement pour éviter, de finir par vriller. Aujourd'hui j'ai compris, j'ai appris qui je suis Un écrivain meurtri, un humain démuni. Une sensibilité, et un œil avisé, M'ont évité de voir, m'ont formé sur le tard J'ai tant à raconter, donc j'écris sans compter Mes rêves illusoirs, mes ambitions de gloire.
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En ces temps incertains, qui incombent à chacun, Ne laissons pas la peur, désarconner nos cœurs. Prouvons notre valeur, ne cédons pas aux leurres. S'il est vrai que demain, l'Europe joue son destin, Il nous faudra faire front, mais à notre façon. Car voici venue l'heure, d'écrire pendant des heures, Dénoncez les horreurs, n'éludez pas vos peurs. Car vous avez un don, celui de leur dire non. Mes enfants vous qui êtes, le fleuron des poètes, Devenez des esthètes, triomphez des trompettes, Car le tournois d'été, s'apprête à débuter. Découvrons qui nous sommes, quand le clairon résonne, L'heure de se résigner, est loin d'être arrivée. Vos vers portent nos hommes, à eux ils s'abandonnent. Tiré du roman " À l'encre du destin "
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À l'aube d'un moment, au seuil d'un instant, J'ai le cœur qui saigne, j'ai l'artère qui baigne. Dans un bain de douleur, dénué de chaleur. Était-ce vraiment mon cœur ? Était-ce maintenant mon heure ? Désormais plus de peine, désormais plus de haine. Plus rien ne dépend, plus rien ne prétend.
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Avant que les années, n'entravent ma pensée Avant que les réseaux, n'écrasent mon cerveau Je couche tous mes maux, le monde et ses défauts Réfractaire aux idées, qu'on voudrait m'imposer, J'écris le désespoir, que cause le dollars, Je sais bien que c'est vain, mais bon, j'en ai besoin. J'ai mon propre brouillard, j'ai mon propre mitard. Mais je veux voir plus loin, que mon piètre chemin. Ce monde merveilleux, au destin pernicieux, Ce havre d'existence, ce halo sans défense Me paraît bien miteux, depuis que l'homme veut, S'arroger la pitence, consommer à outrance. Il est temps d'arrêter, faut vraiment se calmer Mais ça vous le savez, mais vous vous en foutez.
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En marchant dans le noir, j'ai trouvé très bizarre Qu'un mec qui va à pieds, bosser peut se blesser. Pendant qu'à l'Élysée, on prend un jet privé, Juste pour aller voir, un opéra le soir. L'empreinte d'un seul vol, pour un moment frivole, Équivaut à un an, pour les petites gens. On sait depuis longtemps, qu'ils nous volent et pourtant, Plus rien ne nous affole, on est sous tetrazol
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Quand tu penses que les sens enscensent la conscience Que la transe est outrance, que la danse fait sens... Couche par couche, touche par touche Chaque mot que tu couches chaque souvenir qui te touche chaque trauma qui te couche. Laisse glisser, raturer, froisser, déchirer, balancer. Demandes toi si c'est toi que tu vois sur ce vestige de bois.
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Entre ici, mon ami, en terre de poésie. Les pamphlets, les sonnets, tout ici les permet. Si tant est, s'il en est, que tout le monde soit prêt, Sois gentil, sois poli, car c'est bientôt parti. Un tournoi d'orphelins ne laisse place au chagrin. Unissez vos efforts, vous deviendrez plus forts. Ne soyez pas retors, et regardez dehors, Tout dépeint une belle fin, si vous vous tenez bien. Les amis, les ennemis, gare à qui tu choisis, Car nulle part mieux qu'ici, le talent ne sourit. Alors sois qui tu es, montre-nous tes sonnets. C'est ton heure, ton bonheur, écoute juste ton cœur. Les malheurs, les douleurs, transforme-les en fleurs. Et voilà, tu es prêt, tu sais tout c' que je sais.
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Je m'appelle Anavel, je suis belle, mais cruelle Je dépeint mes besoins d'un seul regard en coin J'entretiens ton béguin, je fais trembler tes mains. Je suis celle qui te scelles même si tu te rebelles. Mais tu vois, je conçois ces larmes ce désarroi. Mais tu sais, je ne hais, ni l'amour, ni le lait. Mais tu fais, sans arrêt, l'amoureux un peu niais. Tu me vois, près de toi, mais tu ne m'auras pas. Je n veux plus, qu'un intru, m'amène du superflu. J'en peux plus, d'incongrus, qui me parlent dans la rue. Avec toi, quand j te vois, y a un truc, je n sais quoi. Ton odeur, ta douceur, tes blessures, plein le cœur. Une aura, je sais pas, un truc que j'explique pas. Prends mon cœur, sa lueur, plus besoin d'avoir peur.
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Elucatnet
Au départ, les têtards n'avaient pas le cafard. Puis un jour, les crapauds, ont joué aux héros, Pour un peu de confort, pour un peu moins d'efforts, Ils ont tous réfléchi, pour embellir nos vies. Et puis naquit l'argent, qui pervertie les gens, Le pouvoir des billets, le poids de la monnaie, Ont fait surgir en nous, l'espoir et le dégoût, L'envie et le mépris, la cupidité nuit. Que sommes-nous vraiment, des esclaves du temps ? Des travailleurs soumis, qui ne peuvent que dire oui ? Notre nature est telle, qu'elle nous pousse vers le ciel, Au détriment du sol, mais sans lui, pas d'envol. Est-il vraiment trop tard ? Sommes-nous si bizarres ? Notre cupidité, va bientôt nous tuer.
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