La réalité et l'imagination n'ont semblerait-il qu'une ligne fine de séparation. Nous pouvons peut-être basculer de l'un à l'autre sans même le savoir...

Voici une petite histoire sans réelle allure et dont les pensées dépendront je le crois de l'interprétation de chacun.
Il sera en 4 chapitres, je les publierai en des écarts de temps.
C'est une simple histoire d'Elle. Lisez-la avec autant de bon sens que non nécessaire, l'absurde vous y aidera.

Salut à tous! J'ai rapidement participé à ce défi qui m'a attiré sur le coup.
J'ai remodelé cependant le thème de l'horreur à ma façon donc j'ai un peu peur du rendu haha.
On aurait vite fait de penser à de l'horreur physique, un vécu traumatisant pour ce sujet, pour ma part j'ai préféré partir sur une forme d'horreur qui tire plus sur l'angoisse, un certain ressenti, vers quelque chose de plus... psychologique disons. Merci pour la lecture et vos avis ne peuvent qu'être les bienvenus quant à une interprétation personnelle (ce qui est très intéressant d'ailleurs) de ce composé rapide. ^^

On n'imagine pas souvent qui peut vivre sous un pont. On pourrait même finir sans le vouloir par s'attacher à un de ses personnages...

L'écriture c'est comme une thérapie pour moi, je me dévide très rarement mais ça m'arrive alors c'est un peu personnel mais peut-être que certains s'y retrouveront.
Puisse ce texte écrit assez sincèrement vous aider à éprouver une certaine nostalgie, parce qu'il est toujours bon de se rappeler de ce qui nous a apporté un soupçon de sentiment quel qu'il ait été et qui nous manque ou dont nous aurions bien besoin.

Je relève à ma façon le défi lancé sous le titre de "Frisson d'angoisse" en ressortant un texte qui trainait quelque part dans mes fichiers. L'horreur étant mon genre favori.
En tant que tel je ne sais si il saurait vous faire peur mais j'espère qu'il attire votre attention et votre intérêt et que je puisse recevoir vos critiques.
Bonne lecture!
Et aimez-vous les uns les autres haha

Relation atypique.
Quoi de mieux qu'un stalker?
J'ai voulu prendre ce mot et ce que celà implique à contre-sens pour aller au delà de l'image classique presque répétée d'un stalker classique.
Si j'arrive à vous faire aimer un stalker alors je crois que j'aurai réussi un peu mon impression.
Bonne lecture!

J'ai écrit ce petit texte un peu personnel en alliance avec le thème du défi et j'en remercie l'auteur au passage.
Oui je suis une personne dépressive même si j'évite d'utiliser le terme parce que je veux en être sûre médicalement parlant.
Mais mon message c'est que on a le droit d'aller mal vous savez c'est humain, je ne suis pas très forte pour m'exprimer mais sur une feuille les mots me viennent même si j'ai du mal à partager ce genre de texte, alors j'espère que vous prendrez une minute pour les lire et que vous aussi en écriture saurez faire quelque fois la paix avec vous-même et prendre une pause.

Vide tout simplement

Parfois il semble que ce que l'on cherche n'ait pas besoin d'un voeu pour se réaliser, peut-être avons nous toujours eu en nous la possibilité de le rendre visible en premier lieu. Peut-être que certains désirs n'ont pas besoin de se réaliser... du moins pas comme nous l'aurions pensé. Et en cela je trouve une certaine beauté et une poésie car, quelques fois nous en savons plus de ce que nous voulons que de ce qui nous est véritablement nécessaire.

Pourquoi ? Je me sens si vide, si inutile, si détestable, si pleureuse, si dénuée de tout intérêt. Je me hais. Si fort, si profondément. Pourtant je n’ai que moi… et avec cette compagnie je n’emporte que tristesse et larmes acides dévalant inlassablement sur mes joues quand je m’effondre en pleurs. Parce que c’est la seule chose que je sais faire… Combien de fois suppliai-je en silence, inlassablement que quelqu’un m’entende et efface mes peines ? Combien de fois me suis-je dit que je ne devais pas être si seule tentant de tromper mon esprit qui me le renvoyait en retour ? Tu es seule, tu finiras seule, peu importante pour les tiens, écartée d’eux par ta propre faute et ta propre personne horrible jusqu’à ce que tu en meures…. Seule. Personne n’aura jamais tes larmes, personne ne pleurera pour toi comme tu le fais. Me dit-il Vers qui me tourner quand la seule chose que je combats c’est moi-même ? Que peuvent bien faire les autres ? Rien. J’ai besoin d’eux mais pas eux de moi. Jamais. Egoïste, à écouter et tromper mon mal en résolvant celui des autres, puisque l’incapable que je suis n’est pas à la hauteur de sa propre existence. Qu’elle transforme, jour après jour, nuit après nuit,

Un geste simple; si futile et communicatif, si partagé...
Un geste universel à la racine d'une destruction complète de votre personne...
Il n'y a pas plus monstrueux qu'un tel geste innocent empreint d'une volonté de destruction pure... il n'y a pas de créatures plus horrible que cet humain qui arrive à faire partir de votre vie, si intensément et si profondément, qu'il vous brise par un simple sourire...