Naethano
Saluton ĉiuj / Bonjour tout le monde.
**** Point d'actualité ****
Absent depuis plusieurs mois et quelque chose me dit que ce sera encore le cas. Mes projets m'emmènent loin, au bout du monde, et le temps vient à me manquer pour construire et/ou finir les trucs commencés.
Je pars donc en Australie.
Mais je reviendrai peut-être...
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J'écris par passion, par avenir mais aussi bercé du vain espoir de pouvoir en faire ma vie. J'adore lire (comme tout le monde ici) et apprécie au moins autant aider les autres. Je peux me montrer très (trop) critique (et donc chiant), ce qui m'a déjà causé beaucoup d'hostilité sur une certaine plateforme orange à la maturité de fond de cuvette.
Reste que j'aime élaborer des univers plus que des récits, apprécie la musique metal, le roi Stephen, l'autostoppeur Adams, la pop culture et Jean Passe. Une vie ne peut se résumer en un encart. Les ressources humaines ont préféré l'oublier.
Question écriture, je brasse large. J'apprécie l'horreur, mais brille plus dans l'humour, le fantastique, l'oulipo ou des postulats simples menant vers tout et rien à la fois. Scribay est mon terrain de jeu. J'aime y développer mon écriture spontanée, mon style cynique et ma plume trempée d'humour noir.
Tant que la communauté fait preuve d'empathie, prenne en considération qu'il n'y a pas qu'un style d'écriture, ne me saute pas à la gorge pour un commentaire de plus de quatre lignes ou vienne annoter* uniquement pour gratter des points "d'altruisme", il y a pas de raison qu'on ne s'entende pas.
Dernier point ou excentricité, vous choisissez, je parle et écris aussi en espéranto.
*Point sur les annotations, surtout les annoteurs impulsifs :
Aux fanas du stabilo, si c'est pour me dire des trucs comme "inutile", "sert à rien", "à supprimer" puis... rien. Pas de justification, de commentaire ou même un merde ; seulement des fois, à l'occasion, une citation. Bravo, vous êtes des perroquets, pas des génies et encore moins des créatifs, ni même des correcteurs. Rebouchez le surligneur, vous n'aidez personne et fichez juste un coup au moral des nouveaux arrivants (qui se tirent après).
Pour les autres, annotez donc. La fonctionnalité est géniale, autant ne pas s'en priver. Je ne suis pas dans le CV, parce que deux lettres seules ne devraient pas vous inciter à lire (et aimer) les textes d'une personne. Lire seulement un texte parce qu'on peut l'annoter pour "aider", je trouve ça faux-cul. De fait, si je vous mettais, sans le préciser, l'intro d'un Goncourt sous la bannière CV, vous viendriez tous pinailler sur la syntaxe. Je prends les paris.
Œuvres
A défaut d'avoir le temps et la matière grise pour écrire une nouvelle par semaine, j'aimerais continuer à publier des choses sur Scribay. Une phrase par jour, me semble honnête, mais un peu trop limité. Suivant mon humeur, j'étendrai ça à un paragraphe, notamment pour les dialogues ou éviter l'hypotaxie (même si j'adore).
Récit basé sur un (excellent) jeu-vidéo finlandais. Donc une fan-fiction ? Pas vraiment. Plutôt une histoire ancrée dans le même univers. Les titres des chapitres sont en finnois, d'un parce que je parle un peu la langue, de deux parce que ça change et enfin, parce que pourquoi pas.
Et oui, c'est une réponse à un défi, qui date certes, mais y a-t-il une échéance pour un tel procédé ?
C'est l'invention d'Eriko Sanchez, professeur de génie, au caractère bien trempé : une machine à futurs potentiels, unique en son genre. A ne pas mettre en toutes les mains, sauf si bien sûr elles sont issues d'époques qui n'existeront probablement pas.
Suivez donc les mésaventures... expéditions... ou tout du moins la dangereuse lubie d'un scientifique dérangé entouré d'acolytes de fortune, à travers les probabilités temporelles.
Initialement simple réponse à un défi, puis boutade en simlish, je me suis pris d'affection pour mes personnages ravagés, au point d'enrober le tout d'un scénario pas trop con.
En un mot : OuLiPo
En une phrase : petit recueil de jeux littéraires où limitation et imagination marchent main dans la pogne.
Les textes sont tantôt courts, tantôt longs. De simples jets comme des nouvelles abouties. Qu'importe, tant qu'il y aura matière à s'amuser, l'écriture demeurera.