Méline Darsck
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de toujours
Deux couples, deux femmes très différentes l'une de l'autre vont pourtant se rapprocher jusqu'à devenir de véritables confidentes l'une pour l'autre.
Mais l'histoire ne serait pas aussi pétillante sans un peu de cris, de larmes, de passions, d'infidélité, de baisers, d'attirance et de séparations.
Mais qui ? Pourquoi ?
Je vous laisse le découvrir au fil des pages.
Mais l'histoire ne serait pas aussi pétillante sans un peu de cris, de larmes, de passions, d'infidélité, de baisers, d'attirance et de séparations.
Mais qui ? Pourquoi ?
Je vous laisse le découvrir au fil des pages.
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Retrouvez dans cet espace mes textes courts, plutôt polissons...
Pour un public adulte et averti.
Pour un public adulte et averti.
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Retrouvez des textes courts écrits par défi ou pour des appels à textes, des concours d'écriture.
Certains sont coquins, d'autres moins, mais tous sont accessibles uniquement à un public averti.
Certains sont coquins, d'autres moins, mais tous sont accessibles uniquement à un public averti.
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Aucun policier n’a jamais voulu me montrer les photos prises à l’intérieur de mon appartement, ni même ce que Pierre avait prévu pour la fin de la soirée, j’ai dû arracher les mots de la bouche de mon cousin qui m’a fait promettre, en échange, de ne plus jamais inviter d’inconnu chez moi, homme ou femme. Evidemment, j’ai promis. Ma curiosité était trop forte. En fait, Pierre gardait précieusement enfermé dans son sac à dos, divers ustensiles de boucher, des couteaux très aiguisés, une machette mais aussi une énorme toile cirée avec une silhouette dessinée en son centre. Grâce à moi, la police a élucidé plusieurs disparitions de femmes. Il choisissait habituellement ses futures victimes sur les réseaux sociaux ou les sites de rencontre, leur donnait rendez-vous dans un bar ou dans un parc et se laissait inviter. Le soir-même il devait d’ailleurs retrouver une autre jeune femme. Ma proposition l’a obligé à changer ses plans, mais comme son mode opératoire restait de tuer une inconnue, moi ou une autre lui importait peu. Il avait déplacé les meubles pour étendre la toile au milieu de mon salon et avait disposé diverses armes autour, ainsi que des bougies. Je me souviens que la pièce é
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Défi
Il y a maintenant deux ans, vous et votre chérie êtes apparus sur nos étagères de bibliothèque et même si les critiques ont été nombreuses, même si on a adoré vous aimer puis vous détester... il nous manque quelques éléments. Entre deux bisous, vous voudriez bien répondre à quelques questions ?
Mon micro tendu, mes yeux passent du visage d'ange de Zoé à celui tout aussi souriant de son amoureux. Tous deux ne cessent de s'admirer ou plutôt de se dévorer. Evidemment, que souhaitez-vous savoir ? me répond simplement le héros de LAISSE-MOI... Quel est votre nom et prénom ? COSTA Enzo / GHUJI Zoé Quelle âge avez-vous ? Aujourd'hui j'ai toujours 35 ans, c'est l'avantage des récits... On ne vieillit pas, rigole Enzo. / Et moi les trente ans n'arriveront jamais, sourit Zoé. Avez-vous des pouvoirs ? Hormis celui de l'amour ? Non, je ne crois pas. Par contre Zoé en a pleins. AH oui ? Et lesquels ? s'étonne-t-elle. Tu as réussi à me rendre complétement fou amoureux de toi. Tu te souviens de nos promesses. Tu es plouc... c'est pas un super pouvoir ça.
Je les observe échanger un tendre baiser avant de poursuivre : Une relation ou un coup de foudre ? Nous deux ? Un coup de foudre en décalé. Ou plutôt un déni de coup de foudre, mon namour. Moi je suis tombée amoureuse de toi sur une photo. Couleur de cheveux ? Noir... pour tous les deux. De yeux ? Emeraude pour Enzo et bleu, aigue marine pour Zoé Votre couleur préférée ? La couleur de ma moto, affirme Enzo alors que Zoé hausse les épaules. J'en ai pas de préférence. Meilleur(e) ami(e) ? Julian, évidemment. Pour tous les deux, je m'étonne. Oui. Lydie est ma soeur et ma meilleure amie, mais elle est avant tout ma soeur, alors que Julian reste mon ami, le meilleur qui soit, m'explique Zoé. Franco est mon frère jumeau et par ce fait, c'est évidemment la personne la plus proche de moi, hormis Zoé, mais Julian m'a toujours compris à demi mot. On s'est choisi. Où habitez-vous ? AUjourd'hui à Lyon. Pendant le tome 1 Zoé était encore sur Paris. AUjourd'hui nous vivons ensemble dans la banlieue de Lyon. Date de naissance ? (si vous en avez, sinon ce n'est pas grave). Début septembre pour Enzo et avril pour Zoé, une vierge avec un taureau En couple ou célibataire ? En couple, répondent-ils en choeur. Votre famille ? Compliqué pour Zoé... très, peut-être un peu trop présente pour Enzo Ennemis ? Toutes tes ex... rigole Zoé. Et ta jalousie.
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Défi
Cette histoire me trotte dans la tête depuis quelques mois... peut-être que le fait d'en publier un extrait... le début va me motiver à poursuivre sa rédaction.
Ce début reste sage, mais l'histoire sera réservé à un public adulte.
Ce début reste sage, mais l'histoire sera réservé à un public adulte.
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Défi
— Aujourd’hui, maman est morte !
Les mots sonnent dans mon téléphone, ils résonnent, tourbillonnent dans mon esprit jusqu’à ce que les larmes inondent mes yeux et qu’un sanglot accueille la répétition de cette affreuse réalité… « Maman est morte ».
Elle s’appelait Christine, elle vivait non loin de moi et depuis longtemps, nous repoussions les occasions de nous revoir. « Bientôt » était notre promesse préférée. Pas par manque d’envie, mais plus par manque de temps.
À Noël, j’ai reçu une lettre, ce fut sa dernière pour moi. Je ne le savais pas.
De simples vœux écrits sur une très jolie carte fabriquée de ses mains, peut-être avec l’aide de ses enfants. Quelques mots, quelques pensées ! Je lui ai retourné mes souhaits. Puis lors d’un téléphone, nous nous étions promis que cette année ne serait pas une année de plus, mais bien l‘année d’une vraie rencontre. Pour sceller notre amitié vieille de plus de 15 ans. Avec les hauts et les bas de chacun, avec les kilomètres qui nous séparent, avec la vie qui change pour elle, pour moi, pour tout le monde. Mais une amitié véritable n’a pas forcément besoin de quotidien, juste savoir qu’elle existe et que si jamais un jour…
Ce jour est arrivé, jamais elle ne m’en a soufflé mot, jamais je ne m’en étais aperçue.
Un soir d’avril, le téléphone sonne, Christine est hospitalisée dans un état grave. Coma depuis plus de dix jours. Sa sœur me parle d’elle, de sa vie, de ses deux adorables enfants. De ses amies proches. Elle me dit que Christine ne s’est pas réveillée un dimanche matin, que sa fille de 7 ans à peine l’a retrouvée « endormie » dans son lit. Rapidement, les secours sont appelés. L’ambulance emmène Christine à l’hôpital pour ne plus jamais la laisser en ressortir.
L’enterrement.
L’intolérance de voir deux enfants ne pas comprendre ce que l’homme d’Église pense et dit à haute voix : « Dieu a repris un être de chair et nous laisse les souvenirs dans nos cœurs. » Pourtant ses deux petits bouts en auraient encore eu bien besoin, de leur mère. De quel droit la leur enlever, si vite !
Le papa est tombé amoureux quelques années auparavant et a quitté la maison familiale, et aujourd'hui c’est la maman qui leur est retirée. Les larmes, la peine, le chagrin, les émotions sont immenses dans cette église trop petite pour accueillir tous ses proches.
Un sentiment d’injustice m’a envahi le jour de notre adieu, mais ce n’est rien comparé à celui d’intolérance que j’ai connu une semaine après.
Christine n’a pas eu un malaise, comme raconté par sa sœur. Ce n’est pas la volonté divine, mais bien celle de cette maman qui une nuit avait choisi de prendre suffisamment de médicaments pour ne plus jamais se réveiller. Cette maman qui hurlait à qui voulait bien l’entendre combien elle aimait ses enfants, que plus rien pour elle n’avait d’importance du moment qu’elle avait ses deux adorables têtes blondes. Et pourtant…
Aujourd’hui encore, plus de dix ans après ce drame, j’entends cette petite voix murmurer… « maman est morte »
La fragilité de l’esprit peut entraîner une maman aimante dans l’impasse, que seul l’ultime départ semble avoir sauvée.
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Défi
100 mots... pas un de plus, ni de moins... tel est le défi, mais pas seulement... Trouverez-vous la 2e contrainte ?
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Défi
Ouf... j'ai réussi à m'échapper. Heureusement qu'il ne voulait que jouer et pas me croquer. Sans doute que ses maîtres le nourissent bien. C'est que son bidon tout rond l'a empêché de me suivre sous la dernière branche. Trop basse pour lui, parfaite pour moi.
Je me tapis contre le crépis de cette maison et reprends mon souffle.
Pff pff pff...
Le coeur bat la chamade, mes pattes tremblent, ma queue frétille... je sais que le danger n'est pas encore totalement écarté, mais j'ai au moins le temps de reprendre mon souffle. Et surtout de vérifier qu'il n'a pas fait de dégât à ma peau.
Je sens encore son coup de patte contre mon ventre, le vertige lorsqu'il m'a fait voler comme une feuille morte, la salive de sa gueule sur ma tête, son souffle chaud dans mon dos...
Je retiens un frisson en me rappelant de la longueur de ses griffes pointues, en sentant la dureté de ses crocs, sans oublier la rugosité de ses coussinets qui retenaient prisonnière ma queue, m'empêchant de courir me réfugier dans le trou de ma cousine la souris.
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L'amour au fil des couleurs de la nature, un poème écrit il y a plus de vingt ans et qui reste très actuel.
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Défi
Désespoir de m’entendre chanter
Tirer le lourd supplice de mes caprices
Année difficile pour ta bonté
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