Virmoon
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de toujours
Ava est une infirmière pleine de vie qui travaille dans un bloc opératoire. Mais elle et ses collègue ne font pas qu'y travailler et il se passe souvent plein de choses en sept heures....
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Défi
Jusqu'à mes 16 ans, j'étais, comme on dit, bouboule. Mon surnom était dans ma famille "the bomb". Sympa hein ? En plus de cela, j'avais de l'eczéma sur le visage et de l'asthme alors les moqueries j'ai connues. J'ai eu la chance au lycée de perdre beaucoup de poids et devenir the bomb mais cette fois dans le bon sens du terme. 1,78m, 95C et 75kg. J'étais aux anges. À vingt cinq ans, tout bascule. Je rencontre quelqu'un. Il est jeune, il ne me plaît pas vraiment mais il m'aime, il n'a pas peur de l'engagement, et son côté mal aimé et rebut de la vie me donne envie de l'aimer, le sauver, l'aider. Malheureusement, le rêve tourne au cauchemar. Je suis maltraitée, maltraitante. Mon coeur, mon âme, mon corps souffre. Quand je décide de ME sauver, je fais plus de cent kilos. Je veux maigrir mais le mal est fait, l'âme est détruite. Je fais une chirurgie mais ça ne fonctionne pas. Dis moi pourquoi ? Pourquoi gras es tu là ? Cette bidoche je l'ai en horreur. Je voudrais la couper avec un couteau a beurre chauffer à blanc ! Elle a donné la vie car mon cœur a réappris à aimer. Mais cette grossesse a laissé des traces. Maintenant je suis un éléphant zébré. Ça n'existe pas ça dans la nature dis moi ? Alors va t'en saleté de ventre gras, moches, difformes ! Mais en même temps, peut être que c'est mon cerveau qui a demandé que tu restes, que tu me protèges, parce que lui ne peux pas ? Peut être que je dois apprendre à m'aimer, comme ça ? Pis il y a finalement au moins un homme qui aime bien un éléphant zébré :)
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Aleziel est un ange déchu....depuis 600ans maintenant. Mais cela n'a pas toujours été un choix simple. Mais pour elle, cela valait le coup
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Défi
Je suis en train de fuir. Quoi ? Je ne me rappelle plus très bien mais c'est suffisamment effrayant pour que je cours à en perdre haleine. D'un seul coup, plus d'échappatoire : ce que je fuis est derrière moi, mais devant moi, une falaise de plusieurs centaines de mètres. Pas le choix, on le prend pour moi. Une bourrasque ? Non une main me pousse vers l'avant. Et là,.....c'est la chute. Mon Dieu mon Dieu, mon Dieu ! Comment survivre à cela ? Je me sens déjà mourir tellement mon coeur bat à tout rompre dans ma poitrine et qu'il va probablement exploser. Le mot tachycardie : je le ressens au plus profond de mes entrailles, déformation professionnelle oblige. D'un seul coup, je me retrouve dans l'eau. Je suis sauvée !!!! Ou pas. Mes bras et mes jambes s'agitent, mais, je suis maintenant dans une voiture. Comment ? Miracle ou incongruité de mon imaginaire débordant. Pour ce coup là, je m'en serais bien passé. Parce que je suis coincée, je coule, je n'arrive pas à me calmer. Je sombre dans l'abîme sans arriver ni à détacher cette maudite ceinture de sécurité ni à briser ma fenêtre. Bouddha aide-moi je t'en supplie ! Je ne peux pas finir comme ça !!! Heureusement, j'ai dû gémir dans mon sommeil car Chéri me réveille. Je suis essoufflée, je tachycarde à au moins cent-trente battements minutes mais je suis en vie. On dit aux Antilles que rêver de la mort cela prolonge la vie. Cette nuit je suis morte deux fois : d'une chute mortelle et noyée en voiture. Vais-je vivre centenaire ?
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Défi
C'était la première fois que je te rencontrais ce soir-là. On s'était beaucoup parlé sur internet et il était temps de concrétiser comme on dit. Ton approche m'avait fait rire alors pourquoi ne pas continuer sur cette lancée? Nous voilà donc ce mardi soir, à Sens, et je te demande de sortir dehors car je suis très nerveuse de ce qu'il pourrait se passer en restant chez toi. Je connais tant les hommes mais je me connais surtout. On se rend donc dans ce fameux petit parc vers mon école d'infirmière et face à l'hôpital. Pas très romantique mais au moins je me sens en sécurité bizarrement. Nous discutons, nous échangeons, nous nous rapprochons, et ..... Tu t'approches de mon visage et vient pour je suppose déposer un baiser sur mes lèvres. Mais ta timidité te pousse à sortir une blague au moins T et j'éclate de rire. Je ris à plein poumons comme je n'avais pas ris depuis des mois, des années peut-être....Alors, d'une certaine façon pour te récompenser, mais aussi parce que tu me plais, je t'embrasse. Cela fait maintenant six ans et trois mois passé que tu continues à me faire rire, sourire, et que tu m'as donné le plus beau des cadeaux : le sourire de notre fille, chaque jour depuis deux ans. Je vous aime.
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Défi
Peut-être, pour Pénélopée, poupée peinturlurée,
Peut-être pouvait-elle participer pour profiter
Peut-être, pensait-elle photographier Philippe, professeur, philosophe,
Probablement pas, peut-être pas pour passer première,
Peut-être plus pour pulvériser Patrice, paraphraser Platon...
Peu, plus, plein, pauvre, pauvre Pénélopée poupée peinturlurée
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Défi
Je suis assise sur mon lit lorsque je vois ce truc bouger. Ce machin rose, transparent, long. C'est la première fois que j'utilise un objet pour, enfin vous savez, se faire du bien en solo. Je pianote la télécommande pour voir les différentes fonction de Monsieur Womaniser: vibrations, succions, va-et-vient, vitesse. Tout ça m'étourdit autant que cela m'enivre. Je commence par prendre ce petit ovale rose et le glisse entre mes lèvres. Un petit hoquet s'échappe de ma bouche mais je continue. Je sens la chaleur monter très rapidement. Mon coeur s'emballe autant que mon corps. J'arrive au bout de cinq petites minutes à l'extase. Après avoir repris mes esprits, je saute de joie partout dans la chambre. Ma coloc crie d'en bas: "Et oh on se calme la dépravée. Y'en a qui révise". Je descend alors au salon et lui tire la langue en guise de réponse. Elle fait naitre parfois en moi une colère et aussi beaucoup d'amusement de la voir toujours si sérieuse. "La dépravée va voir ailleurs si elle y est". Je vais à la porte direction le parc. Je décide d'y aller à pied pour me calmer car elle m'a énervée. Arrivée dans ce grand espace de verdure, je m'assoie sur un banc et regarde les passants. J'a
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Défi
Tout commence souvent par un regard. On se regarde et on sait, on voit, on veut. Quoi? Ce mélange si précieux que nos corps aiment tant. Ces étreintes, ces caresses, ces baisers brûlants, ces soupirs, ces gémissements. Tous sont des odes à notre amour, à notre passion, à notre plaisir, à nos plaisirs. Tes mains caresses mon corps, tes lèvres dessinent mes formes. Mes mains explorent tes lignes, ma bouche déguste ton appendice. La chaleur nous envahit, ma poitrine palpite sous tes mains, ta verge grossit sous la mienne. Mon antre devient humide mais pas moins accueillante que cet obélisque érigé devant toi et qui se tend fièrement prêt à la plus belle des conquêtes. L'apogée de nos desirs, de nos pensées les plus cachées, ou non, car nous assumons nos fantasmes dans notre couple. Nous sommes cette délicieuse alchimie lorsque nous faisons l'amour, lorsque nous nous laissons aller, lorsque toi et moi devenons nous, ou que d'autres se joignent à cette ivresse et que l'on devient on, lorsque nous sortons et explorons tous les plaisirs que la vie nous offre. Nous aimons l'empire des sens, les sens et l'essence. Nous aimons le sexe, nous aimons le partage, à deux ou plus, nous aimons l'al
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Défi
Je suis assise au bar de l’hôtel en train de méditer sur mon verre de champagne rosé. La journée a été rude mais au moins j’ai décroché mon contrat avec la firme française de « The body House ». Je suis désormais leur responsable juridique. J’ai rendez-vous demain avec leur responsable de communication et membre du comité directif pour un briefing. Je m’apprête à partir pour me vautrer dans ma chambre quand, en me retournant, je me prends quelqu’un en pleine face. « Mille excuses mademoiselle. » C’est tout ce que j’entends car mes yeux sont obnubilés par la tâche vermillon sur mon tailleur blanc Gucci. Je m’apprête à insulter de tous les noms l’abruti qui a osé ruiner ma tenue par sa maladresse quand je plonge dans un regard bleu océan cerné de boucles noir ébène. « Bah non c’est trois fois rien. De toute façon j’allais partir donc… ». Je ne sais pas comment j’ai réussi à faire une phrase si élaborée alors que mon cerveau est engourdi par tant de beauté. Sans doute l’habitude des plaidoiries. « Je ne peux pas décemment pas vous laisser partir comme ça. Ce serait impoli de ma part et je suis plutôt gentleman. Laissez-moi au moins vous raccompagner ». J’aimerais répondre quelque chos
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