Claire KAPL
Bonjour, Je m'appelle Claire, maman de 4 enfants. 3 filles et un petit garçon que j'ai perdu à 16 semaines de grossesse en 2014.
J'écris beaucoup de textes et poèmes, et un livre racontant mon vécu, mon histoire avec mon bébé, intitulé Moi, petit Paul. Ce livre est une " renaissance" de mon bébé, et ma nouvelle passion... Je partage mes textes sur ma page facebook du même nom. Venez m'y retrouver ce sera avec plaisir de vous y acceuillir.
J'ai également publié un livre sur le deuil périnatal des papas, pour qu'ils ne restent pas " les oubliés" dans cette épreuve de vie...
https://www.amazon.fr/papas-Guide-t%C3%A9moignage-deuil-p%C3%A9rinatal/dp/1718077378/ref=sr_1_8?ie=UTF8&;;;qid=1547466317&sr=8-8&keywords=deuil+perinatal
https://www.amazon.fr/Moi-Petit-Paul-Claire-Decez/dp/1976983894/ref=sr_1_1?ie=UTF8&;;;;qid=1526837702&sr=8-1&keywords=moi+petit+paul
J'ai écrit et mis en forme un 3ème livre sur les drôleries enfantines ... Tout plein de mignonneries que mes enfants m'ont dites..
https://www.amazon.fr/Dr%C3%B4leries-enfantines-Claire-DECEZ-KAPL/dp/1692730851/ref=sr_1_1?__mk_fr_FR=%C3%85M%C3%85%C5%BD%C3%95%C3%91&keywords=droleries+enfantines&qid=1568705055&s=gateway&sr=8-1
Œuvres
Un peu de rien,
Des poésies de vie,
Des poèmes quotidiens...
Voilà un (petit) condensé de ce qui me fait vibrer.
Des mots joyeux, des mots tristes, des mots spirituels, des mots profonds, des mots de bonheur, des mots de douleur...
Il n’y a pas si longtemps, nous etions dans notre maison de vacances. Avec ma fille, nous dormions sur le canapé du bas.
Tard dans la soirée, elle se reveille et me dit : maman il y a quelqu’un dans l’escalier, j’entends que ça descend, j’entends des bruits de pas.
Je les ai entendus aussi, ces pas, qui descendent une par une les marches.
Je les ai entendues aussi, ces marches qui grincent, quand on pose le pied dessus.
Dans le doute, je décide d’aller voir si ce n’était pas ma deuxième fille qui se relevait pour la énième fois. L’escalier était sombre. Plus de lumière, plus de bruit. En arrivant en bas de celui-ci, personne, absolument personne de visible qui descendait... Mon souffle s’est accéléré, j’ai ressenti un vent léger me parcourir le cou, qui m’a fait frissonner.
J’en suis certaine, personne dans l’escalier. Tout le monde dormait à l’étage...