Aux temps anciens, une communauté réussi tant bien que mal à trouver son équilibre. L'apparition d'une étoffe rare va bousculer l'entente entre les habitants de Rubané. La jalousie va s'étendre dans le village, au point que l'irréparable soit commis. Gvär, le jeune éleveur de chèvres, va t'il réussir à sauver son ami d'une mort certaine et à prouver son innocence ?

Comptez sur moi mes mousquetaires De Barcelone à London, à Brighton et même à Carcassonne En aventure magnifique ou délétère Joyeuses larmes en maternité Serrés en liens de vie Comme des enfants promis Jusqu’en fatalité Vous riez à mes contes, chers autres moi Même quand vous êtes les victimes De ces épisodes parfois intimes Frères vibrants, vivants de joie Un pour tous, tous pour un Suivez-moi, il est l’heure A l’importun, malheur Unis à jamais, comme des Huns

An 450 - les peuples barbares, Goths, Francs et Vandales, venus de Germanie, ont envahi la Gaule. L’Empire Romain d’Occident qui règne depuis cinq cents ans est agonisant. Les Francs se sont installés en petites colonies à proximité d’implantions gallo-romaines. Mais cela n’allait pas sans poser de problèmes…

La sélection a été difficile. Choisir c’est renoncer. J’ai volontairement omis les classiques, les Vian, Steinbeck, Barjavel, Camus, qui ont évidemment leur place ici, pour mettre en avant mes coups de cœur plus contemporains. Alors voilà la sélection de mes romans préférés (à ce jour) Hors catégorie : L’œuvre de JRR Tolkien. Le Silmarillion, le Seigneur des anneaux, les contes et légendes inachevés. Un univers créé de toute pièce, des langues, des pays, une fresque monumentale. Ma madeleine. 1. Le Démon - Hubert Selby Jr : Une plongée dans les méandres de l’âme humaine, à la frontière de la démence. Un chef-d’œuvre 2. Si c’est un homme - Primo Lévi : Plus poignant je ne vois pas 3. Voyage au bout de la nuit – Céline : Une écriture nerveuse qui emporte tout. Le récit d’une vie folle. Epidermique, exalté, trépidant, dérangeant 4. Le Loup des steppes – Herman Hesse : Tout en finesse, dans l’intimité du moi. Un roman existentialiste. Un personnage auquel on s’identifie dans sa recherche du sens de la vie. Magistral 5. La Trilogie New-Yorkaise – Paul Auster : L’écrivain le plus doué de sa génération. Ce triptyque explore les thèmes qui lui sont chers, dont la quête d’identité. Un style

Dubrovnik ! Voilà une idée lumineuse. Cela faisait certes un sacré bout de route depuis Zadar alors, étudiant la carte routière, ils programmèrent un arrêt aux fameuses cascades du parc Krka (prononcer Krka). Au petit matin, ils se mirent en quête d’une voiture de location et optèrent pour une petite Fiat rouge, parfaitement adaptée à cette dolce vita low cost. Ramenés plus vite que prévu à la réalité, ils se retrouvèrent passablement serrés à quatre dans cette boîte de conserve, mais c’était les vacances, la joie de vivre était de mise. Enfin pour trois d’entre eux. Car l’une des passagères était d’humeur maussade. Ils apprirent plus tard qu’elle est toujours d’humeur maussade. Rapidement elle exprima une envie irrésistible de fumer et demanda qu’on s’arrête car bien sûr il était impossible de cloper dans un habitacle aussi réduit. L’équipage avait pris la route depuis moins d’une heure, il entra en négociation pour remettre la pause à plus tard. Malgré des trésors d’arguments pour lui faire prendre son mal en patience, rien n’y fit. Pour ne pas ruiner l’ambiance, ils cédèrent au caprice et stoppèrent la voiture pour que Madame fume sa cigarette. Une heure plus tard, même cirque,

Une lointaine délégation est accueillie au village. Ces étrangers viennent en paix, de plus ils connaissent une technique de chasse impressionnante, mais peut-on leur faire confiance ?
Une suite au premier opus, où l'on continue de découvrir la dureté de cette époque, prémices de l'âge de bronze.

Brèves de résistances
Armée secrète
Monologues intérieurs
Soldats de l'ombre
Combats souterrains
...

Les Héros de Rubané partent à la découverte du monde. Une quête de spiritualité et d'horizons nouveaux !

An 450 - les peuples barbares, Goths, Francs et Vandales, venus de Germanie, ont envahi la Gaule. L’Empire Romain d’Occident qui règne depuis cinq cents ans est agonisant. Les Francs se sont installés en petites colonies, à proximité de villae gallo-romaines. Mais cela n’allait pas sans poser de problèmes. Dans la communauté franque établie à Clignancourt, à côté du village gallo-romain de Clichy… - Aldric ! Je t’ai déjà dit de ne pas te battre avec ton frère si près de cette demeure romaine. La matrone des lieux est déjà venue me trouver pour se plaindre. - Mère, si ces Romains n’aiment nos coutumes, il va falloir qu’ils s’y habituent, grommela le jeune Franc. Pis d’abord je me bats pas, on s’entraîne au maniement de la francisque. Le lendemain, les deux frères, occupés à leur occupation favorite, avaient entrepris de viser un vieux chêne. Le lancer de hache était leur passion. Le frère cadet, prénommé Rigomer, était moins habile que l’aîné, alors quand un fâcheux lancer manqua l’arbre centenaire et vint se ficher dans la porte de la demeure romaine, il devint blême. Le propriétaire des lieux, un certain Lucius, alerté par sa matrone de femme, ne tarda pas à faire son apparition.

Assis au bord du monde, le spleen pour compagnon Joies dérisoires teintées de lucides impuissances Ruminer les fautes consumant les fondations Injures au destin en assourdissant silence Brève éternité, anxiété perpétuelle Enivré au jeu funeste du piètre enjôleur Amoureux des passions comme un Pantagruel De sa destinée il se voyait franc-tireur Ouragan tumultueux sur figure sans fard L’Ange protecteur, gardien éternel de son âme A son secours surgit quand le drame s’en empare Y semer poussières d’avenir, rêves d’oriflammes Vers les rivages de l’océan cosmique, là où siège la Carène Repoussée par les vents stellaires d’ingrates étoiles naissantes Nébuleuse abritant les miracles de l’origine des mondes, demeure des dieux moqueurs Des chars flamboyants franchirent la porte du Valhalla pour défier les hordes infâmes Obéissante, la fidèle lune, bras armé des basses œuvres, déchaina les éléments Les cieux déversèrent des grêles ravageuses, la foudre frappa les cavaliers en déroute Les combattants se jetèrent les uns contre les autres comme des amants passionnés S’en retournèrent aux ténèbres de funestes silhouettes Au matin blafard, l’épique légende s’écrivit en lettre de sang Sur sa figu

Texte basé sur un exercice d'écriture effervescente, avec les mots "clair" et "obscur"

Les pigments déposés sur la palette se mélangent, oh un violet boueux apparait, recommencer Comme le peintre exigeant, le poète polit sa prose, non à ce vilain mot, oui à ces jolies syllabes Tel l’ébéniste et son couteau à bois, chaque jour ciseler ses vers, chantourner, éclaircir Les gammes répétées, jusqu’à saigner des doigts, le pianiste dévoré par sa passion Cent fois sur l’ouvrage, aller et venir, chercher l’inspiration, et revenir encore La plume, le rabot et le pinceau, en prolongement de l’âme de l’artiste Si tôt son œuvre consommée, le géniteur s’en retourne à sa tâche Comme Sisyphe, sans cesse continuer, la poésie est infinie Espoir illusoire d’idées qui ex nihilo surgiraient Point de sorcellerie, de l’alchimie à la limite Sonorités à enchanter d’un peu d’esprit Avec sincérité et sans artifices Juste des mots à agencer Il est un besogneux Un travailleur Maudit