Lescure . D
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Défi
Merci pour ce défis, ce fus une petite distraction dans ma journée, et si je serais bien réveillé, je pourrais faire ça toute la journée, car j'aime bien avec les mots, jouer.
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Défi
Quand je m’ennuie je m'évade, quand je m’ennuie je voyage. Par les écrits ou par les mots, par les pensées et ses doux flots. J'emporte du safran et de la mire, je me couvre de parures et d'espoir pur. Je regarde le monde allongé ou debout, d'une fenêtre, dans une chambre ou dehors je m'en fous. Je suis libre, je m'envole, mais je suis attaché au monde des hommes . Car quand je m’ennuie je pense au passé qui m'a blessé et qui m'a aussi appris à continuer, car quand je m’ennuie je pense aussi à l'avenir, aux futures épreuves à venir. Je ne sais pas ce que je fais, je suis parfois vide. Je ne fais rien ni même penser , quand je m’ennuie même étant libre. J'imagine aussi des montagnes, des plus grandes à ravir, d'autres profondes jusqu'aux creux du monde et de son âme. Mais quand je m’ennuie je voyage, c'est une sorte de secret, une page cachée où je m'évade.
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"L'homme écrit sur le sable . Moi ça me convient bien ainsi ; l'effacement ne me contrarie pas , à marée descendante je recommence . "
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Défi
J'avais passé une journée exécrable ! Comme d'habitude je dirais ! Du bruit à droite et à gauche, des gamins qui se moquent, insultent et crient à ne plus avoir de voix . Des adultes qui râlent, d'autres qui se lamentent , une fête d'un semblant familiale , qui finit en désordre . À croire que chez nous c'était normal. Je pris ma douche histoire de me rafraîchir et me soulager . Mes nerfs étaient à vif ! Si on m'énervait encore , je crois qu'ils auraient explosé ! Mais l'eau est mon élément . Elle me rafraîchit, m'endort , m'apaise . Après cette lourde charge d'énergie négative accumulée sur mon dos , me sentant libéré , la tête aux nuages, je partis m'endormir tendrement sur mon lit , tout doucement. Non en fait , je me suis écrasé comme une merde , en diagonale sur mon lit , avec une jambe tendu dans le vide , et un bras où ma main touchait le sol . Après de belles péripéties dans mes rêves et cauchemars habituelles , je me réveillai en sursaut par un bruit qui semblait un râle profond . C'était une voix rauque, qui me crispait .Toujours un peu shooté par mon réveil de sursaut , je sentis quelque-chose me toucher la main . Je croyais que c'était un insecte , alors je secouais juste mon bras , et je laissais ma main se pendouiller dans le vide , et se balançant comme une balançoire, poussée par le vent. Quand soudain , ce maudit insecte s'amusait à tripoter ma main et la balançait dans le vide. C'était un rat ! C'est pas possible ! Alors je mets ma tête sous mon lit , et là , m'attendant à voir ce gros rat , je vis , un immense , et profond , rien . Un peu confus et encore sur les nerfs , je relevai ma tête , je m'assis sur mon lit , et là , le choc ! Le rat était debout , devant moi . Il devait faire trois mètres , il avait des cornes sur la tête , des griffes immenses , en tout cas, ce n'était pas un rat ! Ça n'y ressemblait pas ! Ah, si ! Peut-être sa longue queue se pavanant dans l'ombre de la nuit . Il était noir, et on apercevait le reflet de ses écailles . C'était effrayant ! Sa gueule de monstre était immense , ses yeux rouges qui me fixaient, commencèrent à me glacer le sang . J'avais peur ! Vraiment peur , j'étais paralysé . J'essayais d'allumer la lumière , espérant qu'il s'enfuie, mais il se déplaçait vers l'interrupteur . J'abandonnai alors de peur qu'il me touche , et là , je ne m'y attendais pas , il alluma la lumière , je criai, je hurlai, c'était la fin ! Et là j'entendis :" Et mais alors , tu oublies de me dire bonjour avant de t'endormir ? Mais c'est quoi ça ? Tu m'as même pas passé un peu à manger comme je te l'avais demandé !"
Et oui , où avais-je la tête , j'étais si mort de fatigue que j'avais oublié le monstre de dessous mon lit, qui est mon meilleure ami .
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Défi
Je suis humain .
Poète qui ouvre les mains .
Un Homme d'envergure,
Qui dénonce des ratures .
Car l'Homme est un mal ,
Comme ses actions peuvent être bien .
Mais les conséquences sont souvent fatal ,
Et c'est là que l'Apocalypse vient .
C'est un terme religieux ,
Un sombre mot .
C'est assez ambitieux ,
De pouvoir en parler en regardant ce que je vaux .
J'écris mes poèmes entre deux trois verres .
Une certaine levure, montrant le temps qui germe .
Mais les temps sont dures , il faut le dire !
Alors cessons de se mentir .
Le mal nous entoure .
Nous le créons par notre nature .
Regardant ces jours sombres .
Et pensons à ces explosions .
Car l'Homme déborde d'énergie .
Comme une belle bombe atomique !
Car l'Homme se dit scientifique !
Mais est le premier à détruire la vie .
On dit que le progrès nous entoure .
Par la guerre et ses détours !
Les véritables évolutions, demandent des massacres .
Puis après horreurs et sangs versés , ont les sacres !
On aime notre grandeur !
Comme d'autre voudrait la fin de ces grandes heures .
L'Homme dit qu'il a un coeur ,
Après les avoirs arrachaient aux citoyens y compris leurs bonheurs .
Car oui victime de manipulation, nous souffrons !
Nous, hommes des âmes restent toujours au front .
On préfère la guerre !
On dit ne pas adorer la misère .
Mais dans chacun des pays se trouve une paix ,
Alors pourquoi vouloir l'importuner ?
On se dit fort ? On se dit vivant !
Alors par peur, on créer des "médicaments" .
Des remèdes pour les sur-populations
Des toxines pour les pauvres de notre nation .
Des remèdes pour les riches ,
Cherchant a faire grandir que leur niches.
Des symbiotes toujours guérissant .
Qui soignent aussi bien que tuent .
Car il faut être réaliste dans cette croissance .
Le peuple augmente , la Terre se flétrie, la pollution s'agrandit et les taxes nous polluent .
Gueux de tout droit !
Les bourgeois ont plus de droit .
Comme des femmes encore a la maison !
Mal payées, pas d'égalité, gardent la maison et les nourrissons .
Car cela peut être dit exagéré .
Mais l'Homme ne fait que baisser .
On dit grandir ,
Mais les uns les autres sommes égoïstes .
On vit dans l'échange .
"Des flux de marchandises nous changent" .
On ne dépend plus de sois-même mais des autres !
Alors comment pouvons nous compter sur ses fautes ?
Car ont s'enfoncent, ont se dégradent .
On oublie ceux qui nous ont mis en gardent !
De la bible à un auteur de aujourd'hui .
Citant du Molière , du Rabelais , d'autres artistes comme K.Dick .
On pourrait parler de Voltaire .
Lui si exemplaire !
Nous pourrions remonter jusqu'à Homère .
Qui par les aventures, élogeait des mythes encore fait exemplaire .
Einstein grand génie ,
Pasteur grand scientifique !
La bombe Tsar de Russie ,
Une merveille atomique .
Parlons de belles choses !
Du petit assassiné,
À des crimes comme des juifs exterminés .
Parlons de ces choses !
On oublie aussi les secrets !
Les choses cachées dont on ne connaîtra jamais !
Bien sûr il y en a des avouées .
Mais d'où viennent réellement nos progrès ?
C'est la guerre !
Les expériences sur les humains , de nos propres mains !
On s'intéresse a sois même , de son genre .
Alors on prend les autres , à les torturer et analyser l'humain !
On voit des vapeurs toxiques partir !
Inédite , la climatisation est un avenir !
On pourrait voir des intestins que l'on vient d'éventrer sur une personne en vie ,
Pour comprendre le meilleur fonctionnement de notre organisme !
On nous dit de se tenir la main !
Mais dans celle du voisin ,
Bien des cartes retournées peuvent nous tuer .
Toujours bien sûr dans le dos , comme les lâches qui nous arnaques et disent nous aimer .
Ces gens là font de grandes promesses !
Toujours des gens à belles paroles , pensant d'immenses prouesses .
Mais plus ont a de pouvoirs plus l'on est fou !
Et c'est les démons qui nous dirigent c'est tout .
Nous sommes dans un monde austère.
Qui parait simple , mais nous enterre .
On nous dit libre mais on vie dans la misère .
Alors il n'y a plus que a entendre nos prière .
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Défi
Belle cendres des cieux !
La neige cicatrise mon cœur d'Homme;
Car même les dieux, et autres divinités,
Désirent ce bonheur après l'Automne .
Oh ! Flots dansant irrécusables,
Ton exaltation pareil soleil,
M'abreuve par ta diaphanéité;
Accablé de merveilles chuteuses,
C'est à ta beauté que je suis boosté,
Tout cela en t'aimant;
Beauté étouffante, tes yeux venimeux,
Que humbles pages, donne ta charité.
C'est ton esprit avide qui m'a comblé,
Ayant criblé, mon cœur amoureux ;
Toi seul est l'artiste de ma vie .
Tu en es un édifice, une rime .
C'est avec toi, que je pars aux nuages;
C'est à toi, que mon âme voyage .
Me rongeant d'espoir et de mes scrupules,
À me faire éclairer tes pires rêves,
Que le manque m'ai pourvu de torture !
Que de blâmes raisons suaves
Que de souffrances qui m'étouffent,
Mais que ton amour transi qui m'altère;
T'aimer aux plus royales tentations,
Me rongeant de passion et de ton cynisme.
Dans ta canitie et ta déchéance,
Ton âme immaculée de jeunesse;
Ange du maléfice ou démons,
Me font déplorer ma résistance .
Rien ne pourrait m'éloigner de toi-même;
Je t'aime et je ne m'arrêterai guère.
Et dans la passionelle du paysage,
Du givre à la grande malédiction,
Je serai toujours ici avec toi .
L'espoir, j'en déborde aux jolies coeurs,
Ton âme, elle, me tressaille de bonheurs .
Rien ne changera, ni même l'après,
Car mauvaises passes ou manque ultime,
Je ravirai tes oublies aux calanques .
Et dans la passion, vie du nouveau monde,
De l'amertume à la malédiction,
Dans la neige, je te valserai au vent,
Je te prendrai, dans mes bras, sans fin.
Et pour en succomber en un mot,
Je te prends, réchauffant nos ligatures,
Là où l'oublie me forme l'impossible .
Je t'aimerai sans limite possible .
M'abreuvant de ton corps et émois,
Tremblant ton odeur encore et encore,
Je repousserai les cieux de nouveaux,
Et t'en ferai des lumières sublimes,
Juste pour toi au coin du beau feu,
Tu pourras frémir de ce bonheur,
Là, la vie sera plus ambitieuse,
Ton doux bonheur vivra de jouissance,
Là où l'amour est comme l'infini,
Je serrai, avec toi, pour la vie .
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Défi
C'était semblable à un musée , semblable à une pièce où des objets de toutes pièces se pendaient aux murs , ou se figeaient sur des socles .
Le sol semblait un peu penchant, avec des ligatures sur la moquette qui se craquelait de toute part . Une seule source de lumière était au bout d'un immense couloir, c'était le reflet d'un miroir .
Lugubre et noir comme on se l'imagine , tordu et macabre comme un cauchemar, et où gisaient à ses pieds des fruits de passion . Sur le miroir était reflété un immense homard aux lignées de sang sombre, qui ma foi, n'avait rien à faire ici . Et pour ensorceler le tout, un verre en or, posé au-dessus, faisait couler un vin aux nuances rouge, violet, parfois noir , dégoulinant de son aspect rugueux tout le long du miroir .
Paralysé et à la fois hypnotisé, j'eus la terrible tentation de le toucher d'un petit impact avec mon petit doigt .
Et quand je tournais autour de moi-même, une immense caravelle et des montagnes de repas entassés semblable à un océan immobile, se tenaient devant moi . Des mouettes accrochées au mât, flottaient même dans les airs , pourtant sans signe de vie distinct . Une croix restait écrasée sur la coque, et une eau d'horizon sortait par ses milles fruits vieillies .
Mais je restais attentif aux ornures noires qui grandissantes, paraissaient avaler des parties du massacre et à l'intérieur de ce néant immobile, des traits rouges flammes reflétant l'enfer, possédaient l'horloge qui se tenait sous mes pieds . Nul êtres ne bougeaient, nul objets respiraient , seul moi était là au milieu de cette scène morte . Je me sentais comme écrasé, broyé par le temps qui me montrait ses images, comme un trou noir qui absorberait n'importe quelles lumière ou espoirs .
Puis d'une façon inattendu , cet air sombre par sa masse stagne et périssante me fis aller brusquement sans aucun mouvement de ma part, or du miroir dans les expositions du musée . Je sentais un malaise, et j'avais l'impression que les murs m'écrasaient et que le sol m'éloignait de ce miroir fixe . J'aperçus une dernière fois ces fruits, le temps revenait petit à petit , et la mort n'était plus ici .
Après la lumière qui revenait comme s'agrandirait une ombre,
j'entendis du vivant : "Merci de ne pas dormir dans un musée ! Et avant que tu me répondes, qu'as tu retenus sur cette nature morte petit polisson ?"
Ah ! Si elle savait ...
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Défi
Je ne débattrai pas sur de fausses promesses, comme le mensonge et ses autres diablesses . Je vous montrerai même mes faiblesses, et je renierai tout signe de paresse . Je ne suis pas là pour rigoler ou être insulté . Je suis ici pour vous montrer, toute la réalité !
Il y a chaque seconde des gens qui meurent, il y a des gosses qui vivent dans la peur . Certains harcelés, des agressés, et d'autres violés . Ce monde est injuste, il n'y a plus de justice ! Je vous les donnerais, pour votre bien, et pour éviter tous supplices .
Il y a des salauds, les politicards, les égoïste , et puis moi . Enfin , vous, car mes enfants, vous êtes le peuple, la patrie et son chaud toit . Montrez vous, ne criez plus ! Vivez, riez plus ! Les factures je les assurent, les impôts j'en enlèverai ! Car je penses aux pauvres français, et surtout aux prochains nés .
Moi président, je crois dire . Je baisserais l'injustice et tous les faux dires . Je ne jouerais pas les faux-culs ou le parfais dictateur, mais je vous aimerai et penserai à vous, chaque heure . Jésus fils de Dieu qui était amour et pureté à était assassiné, ne faites pas la même erreurs , prenez votre chance telle qu'elle est !
Car moi président je vous accueillerai, et je serai me battre quand il le faudrait ! Car moi président je ne suis pas un incapable . Je porterai la France comme la foi à bâtit l'église, de mon mieux, et je battrais ces autres mondialisations exécrables .
Je ne pourrai jamais stopper la guerre je vous l'avoue, mais je vous accompagnerai dans vos deuils et je serais là pour vous . Je désir la paix autant que vous ! Les massacres il y en a . Moi je ne vous cacherais rien du tout ! Il n'y a plus de censure dans ce pays, je peux donc tout vous dire .
Car moi président, j'ai les bons médicaments . Je vous aimerais, comme vous m'aurez aimé . Je suis votre enfant et pour les siècles à venir j'en entreprends ! Alors visionnaires, artistes, montrez vous ! Je vous soutiendrai ! Il n'y a plus de goulags, plus de quoi prier . Le pays a besoin de jeunesse ? les prochains devrons être de ce siècle . Je reviendrai sur de bonnes choses oubliées, et je serai là pour vous accompagner : Peuple libre, hommes libres, femmes rebelles, belle culture, grande patrie .
Moi, président ? Ce qui est évident, je serai là pour vous, pas comme ces autres qui vous mentent . Alors agissez par vos stylo ! Et prenez un nouveau héro !
Je suis là, votez , c'est ce qu'il faut ...
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Défi
J'ai seize ans, j'ai tué, égorgé, éventré, violé ma petite sœur, ce qui est un peu dommage d'ailleurs! C’était une longue affaire judiciaire dont je suis le seul et unique coupable et comme je ne vous apprends rien, vous en connaissez déjà la fin .
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"Parfois ce ne sont pas les gens qui changent, c'est simplement les masques qui tombent"
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Défi
Les robes valsent, dansent, s'agitent, sans repos. C'est ce qui ressemble à des souvenirs. Et quand le soir on y repense, parfois les choses deviennent plus douloureuses. Un meurtre, un accident, à vous d'en décider. Des témoins, des coupables, c'est les traits d'une affaire, entre la chaleur de l'été et le froid des vacances de Toussaint.
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Défi
Rêver à quoi bon!
Vivre à quoi cela sert?
C'est penser qui est nécessaire,
Ne pas s'éloigner de la vérité qui est bon!
Mais qui peut juger du bien ou du mal?
Qui peut s'assurer que quand l'on va mal on peut rêver de bien?
Et puis au final,
C'est aussi savoir être libre,j'aime!
Je dis des sottises,
J’écarte mes livres,
Je sors des pages,
Et je vois le monde de tous les âges.
Je nage,je brave,je silionne.
Je parle,je bavarde, je m'illusionne.
Je peux rêver de nouveaux mots,
Vivre au treizième siècle, et revivre ma vie à nouveau.
Quelle importance? Ce sont de simples pensées,
A bas la censure! Je tiens à ma liberté.
Je me rafale sur ma table, à écrire,à réfléchir,et à travailler,
Je me concentre dans mes études,mon travaille,mes ambitions mes souhaits.
Et ré-amusons nous ! je replonge,je sombre encore,cette fois je croise mes démons,
Mes peurs d'agir et de changer ce triste monde,
J'ai peur de revoir la mort de mes proches,
De m’ouvrir aux autres .
Je me dis que si je vieillis,c'est que je supporte toutes les injustices,je me dis que si l'on m'insulte,
C'est que c'est pour une question de cultes .
Alors je rêve de trêve sur le chemin de la différence,
Où l'opinion ne sera pas acheté par des plus hautes puissances.
Car ce monde est fait d'injustes, d'injures, de guerres et d'ordures,
Que de belles choses à contempler, monde d'Hommes et de ratures.
Car mes rêves sont similaires à des bombes,je préfère m’arrêter pour éviter de choquer,
Car chaque jour je me morfonds et me tais, car à personne ces mots plaisent, car personne de supportait ces idées.
Ce ne sont pourtant que des rêves, de la mélancolie, et l'âme d'un poète.
Je ne rêve pas de fête, de joie, d'amour, mais de haine.
On dit que les monstres n'ont pas de rêve, alors je m’arrête.
je travaille, j'oublie, je retravaille pour que mes parents soient fières.
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