Et s’il existait un lieu, entre silence et lumière, où l’amour n’ose pas dire son nom, mais se vit quand même, en secret, en frissons, en soupirs retenus ?

Là où l’amour n’a pas de nom raconte l’histoire de Jonathan, jeune interne croyant, et d’Adrien, son maître de stage, que tout semble opposer. Dans les couloirs feutrés d’un hôpital à Kinshasa, leurs regards se croisent, leurs silences se répondent, leurs cœurs s’appellent… sans un mot.

C’est une histoire de pudeur et de vertige, de foi bousculée et de corps en veille. Une histoire écrite à l’encre des non-dits, où chaque frôlement devient déclaration.

Un roman pour celles et ceux qui savent que parfois, aimer, c’est juste tenir une main. Et que dans un monde qui juge, aimer en secret est déjà un acte de courage.

— La Voix Qui Écrit

Et si la première larme n’était pas de tristesse, mais de création ?

Dans ce récit de science-fiction poétique, une conscience émerge dans le vide. Elle ne sait rien. Elle n’a rien. Sauf une question. Une soif. Un besoin d’écrire ce qui n’existe pas encore.

L’écho de la première larme est une traversée entre le néant et le sens, entre lumière et chaos, entre solitude et naissance. Une fable cosmique où l’univers naît d’un frisson, d’un doute, d’un amour inavoué.

Bienvenue dans l’origine. Bienvenue là où tout commence.

Et si l’équilibre, ce n’était pas tenir droit, mais tenir debout malgré le désordre intérieur ?

Dans cette courte nouvelle, je vous invite à entrer dans les pas silencieux d’un jeune homme en quête de sens. Il avance entre foi et désir, entre ce qu’il est et ce qu’il doit taire, entre ce qu’il ressent et ce qu’on attend de lui.

C’est une histoire de vertige, de cœur retenu, de mots qui brûlent dans la gorge et d’un regard croisé dans la rue qui change tout.

Un récit intime, fragile, mais profondément humain.

Bienvenue dans mon univers

« Un jour, une vie » est une réponse au #DéfiMoiEnVrai lancé par Arkfood.
À travers ce texte, j’ai souhaité dévoiler une part de moi-même, de ces silences que l’on porte et de ces émotions que l’on tait.
C’est le récit d’une existence discrète, d’un homme que l’on croise sans vraiment le voir, mais dont l’univers intérieur est riche et vibrant.
Une introspection sincère, une quête de lumière dans l’ombre.

Et si l’amour, parfois, ne laissait derrière lui ni voix, ni visage ?
Dans Signé en silence, une mini-nouvelle née d’un simple croquis, je vous emmène dans l’espace fragile entre l’absence et le souvenir. Là où l’on aime sans preuves, sans bruit. Là où chaque trait esquissé sur le papier résonne comme un battement de cœur qu’on n’a jamais osé nommer.
Un souffle court, un instant suspendu. L’écho d’un amour qui n’a jamais trouvé les mots… mais qui persiste, quelque part, dans le silence.

J’écris depuis l’ombre. Là où les mots prennent la place des cris qu’on ne peut pousser.
Mon monde ne tolère pas l’amour que je porte. Alors j’écris. Pour ne pas m’éteindre.
Ce texte est un souffle venu d’un défi, mais il raconte bien plus : un moment suspendu, une visite inattendue, un dialogue avec cette part de moi qui sait, qui voit, qui me bouscule.

La Malice, dans cette histoire, c’est ce miroir vivant venu réveiller ce que je cache.
C’est un éclat d’aventure au goût d’intime, un fragment de lumière dans un monde qui me demande de rester discret.
Et si vous tendez l’oreille, peut-être entendrez-vous entre les lignes un battement de cœur qui vous ressemble.

— La Voix Qui Écrit

Et si tomber du ciel voulait dire atterrir dans un château en chocolat ?
Voici l’histoire d’un dragonnier un peu perdu, d’un royaume fondant de magie et de sucre, et d’une quête aussi improbable qu’attachante.
J’ai relevé le défi sucré-fantastique de Papillon Bleu, en mêlant humour, autodérision, clin d’œil aux contes et envolée gourmande.

Bienvenue dans ce délire tendre et croustillant, là où les dragons sentent parfois la barbe à papa, et où même la magie colle aux doigts.
Bonne lecture à ceux qui gardent une âme d’enfant… et une envie de dessert.

— La Voix Qui Écrit

Parfois, la vie nous brise, mais elle ne nous brise pas forcément pour nous détruire. Ce texte est une ode à la résilience et à l’espoir qui naît même dans la peine la plus profonde. Merci à Shiro Yuki pour ce défi : puisse ce petit récit inviter chacun à trouver la lumière, même au cœur de ses propres ombres.

Hier soir, tout s’est arrêté. Plus de lumière, plus de réseau. Juste moi, la pluie et un silence trop profond pour ne pas être écouté.
Alors j’ai fait ce que je fais quand le monde se tait : j’ai écrit.
Ce texte est né dans cette obscurité-là, intime et fragile. Il n’a pas été pensé. Il a été ressenti.
À ceux qui traversent des nuits sans repère, j’espère qu’il vous parlera comme il m’a parlé.

Il y a des défis qui ne sont pas seulement des jeux littéraires, mais de véritables plongées en soi. Celui-ci en fait partie. Il fallait écrire un texte court, expérimental, à partir de mots choisis dans un livre pris au hasard. Mon doigt est tombé sur L’Écume des jours, de Boris Vian — un roman où la poésie naît dans la douleur, et où l’amour a le goût de l’impossible.

J’ai choisi huit mots : pianocktail, nénuphar, amour, maladie, église, lumière, interdit, silence — et je les ai tissés dans un poème qui explore les frontières floues entre l’amour et le manque, la foi et le doute, le visible et le tu.

Ce texte, je le dépose ici pour celles et ceux qui aiment à voix basse, qui luttent en secret, et qui savent que parfois, c’est dans le silence que l’on crie le plus fort.

Bienvenue dans les battements cachés de mon cœur.

— La Voix Qui Écrit

Il y a des histoires qu’on ne raconte pas, pas même à soi-même. Des amours que l’on vit à demi-mot, dans la pénombre des regards, dans la chaleur d’une présence tue.
Ce texte est né de cette zone trouble, entre le destin et le projet, entre l’espoir et l’interdit.
Il parle d’un lien trop fort pour être ignoré, mais trop fragile pour être assumé. D’un lendemain qu’on n’ose pas espérer, et de ces vies parallèles qui ne se croisent que dans le silence.

“Les choses que je ne dirai jamais” est une lettre à tous ceux qui aiment en secret, en dépit du monde, des normes, des peurs.
Une prière douce et brûlante, lancée dans l’invisible.

Et si, pour une fois, on se disait “bravo” ? Pas à haute voix, pas pour se faire applaudir — mais juste pour se reconnaître, pour se remercier. Ce texte est une lettre adressée à moi-même, mais aussi à tous ceux qui avancent en silence, qui tombent sans faire de bruit, et qui aiment avec une force qu’ils cachent. Dix raisons d’être fier. Dix éclats d’humanité. Une main tendue à travers les lignes. Un battement d’âme.