Chevalerie, aventure, romance lesbienne.
Petit roman d'une cinquantaine de chapitres de cinq minutes en moyenne.

Dans un XI° siècle un peu éloigné de la réalité historique, Isabelle, une jeune femme de la petite noblesse, est considérée comme vieille fille. La jeune femme, pleine de ressources et dotée d'un caractère bien trempé, tente d'échapper à un mariage indésiré.

Un jour, une Dame de haute lignée se présente au château.

Club Valentine : Même si ma version est quasi définitive, j'accepte encore les annotations et les remarques (excepté s'il faut refaire un chapitre complet, je ne peux plus) : ce serait domage de passer à côté de corrections judicieuses ou de remarques pertinentes.

Laissez-vous conter des histoires par Hystrial, une planète bavarde sur laquelle vivent humains, pierreux, elfes et amphitritons.

Dans un monde de fantaisie aux accents médiévaux, vous serez entraînés à la suite de deux enfants et de leur petite poule blanche. Une attaque de leur village par des esclavagistes les obligera à chercher la survie par tous les moyens, et surtout, Lilou l'a promis à son frère : sauver leurs parents.

Eh bien réécriture de mon premier livre les pierres d'Âmes grâce aux nombreuses suggestion que l'on a pu me faire.
Merci à tous pour les retours que vous m'avez faits, par écrit ou par oral, je vais tenter de remédier à mes incorrections.

C’est avec les honneurs que la famille d’Hedwige reçu Opale. Cela impliquait une paillasse fraîche, de l’eau réchauffée pour se laver les mains et le visage, et la mère projetait de faire une soupe avec du lard. — Ne vous donnez pas cette peine pour moi ! supplia la comtesse en devenir, j’ai mangé tout mon saoul et j’espère que vous aussi avez suffisamment profité du festin. — Mais vos aut'y avez vos habitud's, on voudrait point vous manquer d'respect. Pis vot' père, i s’occupe déjà bin d’Hedwige au castiau. Y lui apprend comment bin parler et tout ça. Eh pis y veut l’engager, nous aut’, in veut vous r’merchi bin. — Je vous assure que j’ai bien mangé madame. C’est déjà très gentil de votre part de m’accueillir. La brave dame capitula, eux aussi avaient profité du repas et de ce fait personne n’avait vraiment faim, mais l’hospitalité des gens du pays était telle qu’ils ne pouvaient s’empêcher de donner plus qu’ils ne possédaient. — Pour votre bon accueil, j’ai une bonne une histoire ! Cela vous plairait ? Hedwige insista auprès de ses parents et la magie opéra. Le bonheur des mots emplit les oreilles des enfants et s’étendit aux parents qui en tant que simples villageois ne connaiss

Textes répondant à un challenge littéraire saisonnier sur une communauté d'écrivains.
(Pas de gagnants juste des participants et des critiques constructives)

La qualité d'une personne peut se voir au papier qu'elle choisit !

C’était la veille de Noël et il neigeait. Non pas en tempête, elle tombait doucement, épaisse et bien collante. Parfaite pour faire des bonhommes et des batailles de boules ! Quoi de plus normal ? Quoi de plus joyeux ?
Eorelle et moi sortîmes pour nous fabriquer un beau bonhomme. Nous avions trouvé un vieux chapeau dans ses affaires, un panais dans le jardin et ramassé de petits cailloux. Une écharpe allait compléter le tout.
Pour les lecteurs qui ne nous connaissent pas, nous sommes deux elfes, et nous nous aimons d’amour tendre et passionné.
Nous étions dehors sous la neige à faire notre bonhomme comme des gamines, quand Eorelle me lança une boule en pleine figure. Ce à quoi je répondis par une autre, et cela dégénéra, comme vous pouvez bien l’imaginer en joyeuse bataille, qui se finit par des chatouillis dans la neige puis des bisous. Nos rires enchantèrent un instant la forêt de Primaceton dans laquelle nous vivions, ensuite nous allâmes nous réchauffer avec une merveilleuse tisane bien chaude dans notre petite cabane plantée au milieu d’une clairière.
Après tout ceci, nous nous attelâmes à notre travail. Les enfants, n’attendraient pas : nous devions livrer les cadeaux ce soir. Si vous ne connaissez pas Noël, il s’agit, chez nous de fêter le retour de la lumière le solstice d’hiver. Dieu nous a laissé des saisons pour que l’on en profite, ainsi le passage de l’une à l’autre est toujours l’occasion de s’amuser.
Les humains ont inventé un gros homme rouge appelé le Père Noël qui distribue des cadeaux aux enfants en passant par la cheminée. Seulement, il n’existe pas et personne ne passe par la cheminée. Encore moins chez ceux qui se chauffent au gaz ou au fuel. Ce sont les parents qui achètent les cadeaux. Vous pouvez bien imaginer le genre de cadeaux, selon les âges : jouets fabriqués téléphones portables, ou toute chose commerciale qui pourrait faire plaisir à celui-ci ou à celle-là. Ce jour-là, dans nos pays, les adultes se livrent à des banquets à s’en faire péter la panse comme des barriques et les enfants se gavent de chocolats et bonbons de toutes sortes.
Seulement certains enfants n’ont pas la chance de recevoir un joli cadeau, tous les adultes n’ont pas de quoi faire craquer un bouton de leur chemise avec une dinde bien grasse.
Alors, nous deux, braves petites elfes, pensons à eux, ou au moins à ceux du village proche de chez nous : Amalfay – Littéralement : le village de ceux qui aiment les elfes.
Pour les repas, nous avions réalisé cinq petits paniers, décorés de houx, garnis de pots de miel, de confiture que nous faisions en été, notre cidre que nous pressions nous-même, des fruits secs et maintes petites gâteries pour les pauvres gens du village.
Pour les enfants, nous avions fabriqué des jouets en bois, simples, mais beaux et amusants. Un canard avec une laisse que l’on tire et qui roule en se dandinant, un petit train, des jeux de constructions, ou de société pour toute la famille. Nos amis elfes nous aidaient beaucoup pour développer toute cette créativité. Les elfes sont très habiles de leurs mains !
Alors vint le moment tant attendu où nous devions aller distribuer toutes ces bonnes choses. Heureusement ceux que nous attendions arrivèrent.
— Melodia, Cantaran ! Quelle joie de vous voir !
Nous avions une technique bien rodée pour partager Noël avec les villageois. Quelques jours auparavant, nous recueillions les doubles des clefs des maisons où nous allions déposer les cadeaux auprès des parents. Tous les villageois recevaient un petit mot, envoyé par la mairie prévenant du récital de chant donné par nos deux amis.
Les gens s’y rendaient, et pendant leur absence, nous entrions chez les bénéficiaires de nos cadeaux pour les y déposer. Ceux qui donnaient le récital étaient nos grands amis Melodia et Cantaran dont la voix dépassait en beauté toutes les merveilles chantées par les humains.
Nous étions si heureux de les voir que nous recommençâmes une petite bataille de boules de neige. Les elfes sont vraiment des gamins.
Après cette échauffourée, où il n’y eut que des vainqueurs, nous partîmes en direction du village. Ma rousse Eorelle et moi-même étions déguisées en mères Noël. Notre couple d’amis étaient plus classiques. Elle portait une robe d’un bleu froid comme la glace, tandis que lui était vêtu d’un costume noir comme le charbon, chemise blanche à nœud papillon, enveloppé par une cape noire à l’extérieur et rouge à l’intérieur, le tout surmonté d’un chapeau haut de forme et la touche finale, une canne à pommeau d’argent à la main. Vous me croirez ou pas, mais même après que la bataille de neige eu fait rage, nous étions restés impeccables. C’est ça la magie elfique !
Toujours est-il que nous partîmes pour le village. Melodia et Cantaran prirent le chemin de la place de la mairie tandis que nous partîmes pour notre tournée annuelle de mères Noël.
Nous connaissions bien les premières maisons et en moins d’une heure nous avions pu tout déposer. Restait la dernière. Il s’agissait d’une petite chaumine bien misérable. Dehors, il y avait un petit tas de bois, qui je le pensais, ne tiendrais pas l’hiver à moins d’une rude économie sur le combustible. J’étais née dans une ferme où j’avais vécu mes dix-huit premières années, lorsque j’étais humaine et je le savais donc bien.
Je me souvenais de cette famille. Une pauvre jeune femme, venue pour un travail saisonnier bien peu payé avec son fils. Elle semblait malade. Je n’avais pas vu le petit, mais elle m’avait fait beaucoup de peine.
Nous entrâmes alors. Dans la grande et unique pièce de la bâtisse. Une cheminée était installée au fond. L’âtre était froid. À côté se tenait un petit garçon de six ans frigorifié, pâle et grelottant de tout son corps. Mais son regard brillait vivement. Il nous admirait.
— Bonjour, tu dois être Jean. Ta maman est là ? Lançai-je au hasard.
Au bout d’un moment, ses lèvres se mirent à bouger.
— Elle est partie.
Des larmes se mirent à couler de ses yeux.
— Tu veux dire, elle est allée au spectacle ? Tenta Eorelle.
— Non elle est partie et ne reviendra pas. Elle m’a dit qu’elle partait pour toujours, mais que vous étiez gentilles, les mères Noël. Elle m’a donné ça pour vous. Il sortit une lettre qui était toute repliée dans le fond de sa poche.
Les larmes étaient contagieuses et nous ne pûmes les retenir, ni l’une ni l’autre.
Je pris la lettre que je dépliai.
« Chères mères Noël
Je ne connais pas votre nom, mais je n’ai jamais croisé des personnes aussi bonnes que vous.
Lorsque vous lirez cette lettre, je serai morte, je ne veux pas que Jean me voie dans cet état, alors je pars.
Occupez-vous de mon petit Jean, s’il vous plaît.
Agnès. »
Mes larmes redoublèrent, je passai la lettre à Eorelle, sans un mot.
Puis pendant qu’elle lisait je m’adressai à Jean. Lui donnant une petite caresse sur la joue.
— Ne pleure pas pour ta maman mon petit Jean, elle est heureuse, car elle est devenue un ange.
Je tentais moi-même de me contenir.
— Et nous allons passer un excellent Noël tous les trois. Ajouta Eorelle. Je vais chercher du bois pour le feu, tu es congelé mon pauvre petit. Et nous allons cuisiner, puis danser.
Jean ne bougeait pas.
Nous fîmes du feu dans l’âtre, allumâmes le poêle et commençâmes à cuisiner avec les ingrédients du panier. Entrées, plats, desserts.
Jean nous regardait faire, mais ne bougeait toujours pas.
— Viens m’aider à laver les légumes, lui demandais-je.
Il vint devant la bassine d’eau tiédie, préparée par mes soins. Il commença à laver les légumes que je lui tendais.
— Devenir un ange, ça veut dire être morte ?
Je ne pus lui cacher la vérité.
— Oui, c’est ce que ça veut dire, mais seules les bonnes personnes deviennent des anges, alors ta maman pourra rester toujours avec toi, dans ton cœur.
— D’accord.
Il ne dit plus rien, mais il s’était mis au travail docilement.
La pièce s’était réchauffée et le repas finit par être prêt. Nous nous mîmes autour de la table. Nous l’avions décoré comme nous avions pu avec ce qu’il y avait dans le panier. Le savoir-faire elfique en matière de cuisine, notre bienveillance redonna le sourire à Jean. Au dessert, nous arrivâmes même à le faire rire.
Maintenant, nous allons chanter et danser ! Eorelle entonna de sa voie soprano, des airs féériques et dansants. J’en connaissais quelques-uns que j’accompagnai de ma voie d’alto. Nous commençâmes à danser tout en chantant et Jean fût heureux, nous l’entraînâmes avec nous dans la danse.
Quand la soirée fut terminée, il me suffit de consulter Eorelle du regard pour savoir qu’elle pensait la même chose que moi.
— Jean, est-ce que tu serais heureux de nous avoir comme mamans ?
— Je voudrais ma vraie maman, mais je sais que ce n’est pas possible. Alors, je veux bien que vous soyez mes mamans.
C’est comme ça que nous devînmes les mamans de Jean. Nous étions, avec le canard dandinant ses deux seuls cadeaux de Noël, mais cela ne remplaça jamais totalement sa perte infinie.

Si je suis là c’est parce que les copines ont répondu au quiz, et que je serais bien un mufle de ne pas me mouiller si elles ont choisi de se dévoiler pour ce défi.
Bon, elles ont toutes trouvé un moyen original de faire leur présentation, moi je vais bêtement répondre aux questions, parce que j’ai pas d’idées amusantes qui viennent là.

1 – Comment te décrirais-tu en quelques mots ?

Grand, beau musclé, intelligent et très chevelu.
— Tu te fous de ma gueule, tu es petit, grassouillet, la cinquantaine bientôt, ce qui ne te confère pas un physique de rêve, faut bien le dire, et question cheveux… Y en a plus beaucoup.
Bon d’accord.
— En plus tu chantes faux.


2 – Quel est ton prénom ?

Non mais quelle curiosité ! D’ac je m’appelle Damien.

3 – Où es-tu né(e) ?

Contrairement à Opale, dans un chou : il y a une photo qui traîne dans un album de mes parents pour en témoigner.
Sinon on peut se demander dans quelle ville : Belfort, clinique des berceaux (maintenant c’est un Ehpad, peut-être que je finirai là-bas).

4 – Quel est ton passe-temps favori ?

En ce moment, écrire des bouquins, pourquoi ? Sinon avant c’était de boire du thé chez un pote en faisant des jeux de rôles. Quand il y avait de la bière c’était mieux.
Ah sinon regarder par la fenêtre me balader dans les bois.

5 – As-tu des frères et sœurs ? Si oui, combien ?

Ben, deux frangins plus jeunes, je ne dis pas plus petit parce que, comme pour les Daltons le plus vieux c’est le plus petit… Ces deux-là habitent à Toulouse.
La nature n’a pas voulu me donner de petite sœur, j’aurais bien aimé.

6 - As-tu des animaux de compagnie ?

Oui c’est Pépette, une petite chatte espiègle.

7 – Quelle est ta couleur préférée ?

Pourquoi faut-il avoir toujours des trucs préférés. J’aime bien toutes les couleurs moi.
Alors on va dire tout l’arc-en-ciel. Mais puisqu’on parle d’arc-en-ciel, on va dire que celui qui donne dans les tons roses est celui pour lequel je penche le plus (coucou les amies).
En réalité, j’aime bien le bleu. D’ailleurs quand je joue à un jeu de société, je prends toujours les bleus, car ce sont eux qui gagnent.

8 – Qu'est-ce qui te passionne le plus dans la vie ?

Alors à la base, c’était le jeu de rôle sur table (redite), ensuite venait mon métier (informaticien) la programmation était vraiment mon truc, mais avec le temps ça devient bof, bof. La lecture et maintenant l’écriture.
Ce que j’aime bien dans l’écriture, c’est autant d’écrire l’histoire que de lire les réactions des gens, de leur répondre et ainsi de passer un bon moment avec les lecteurs. J’aime bien aussi les emmener dans mes histoires, essayer de savoir ce qu’ils imaginent de la suite, et peut-être parfois, les surprendre.

9 – As-tu un plat préféré ?

Alors là il y a bien deux trois trucs. La truite aux amandes, le saumon, les crevettes, le Vaucluse, le fraisier, tous les gâteaux avec beaucoup de crème et de fruits.

10 – Quel est ton film préféré ?

Bonne question. J’aime bien les films d’animation, les films qui sont bien réalisés, … Si on peut trouver des trucs, il peut y avoir Brazil, le château dans le ciel, le château ambulant, kill bill, et pis j’en sais rien, y en a plein suffirait d’y penser pour dire oui, celui-là.

11 – Quelle est ta série préférée ?

Je sais pas peut-être Marleau, Murdock, Meurtre au Paradis, j’en regarde pas des tonnes.

12 – Quelle est ton émission télévisée préférée ?

J’en regarde pas beaucoup, peut-être qu’une d’entre elle pourrait être intelligente, SLAM. Mais en réalité tous ces trucs là me gonflent comme c’est pas possible.

13 – Quel est ton livre préféré ?

Une hésitation entre Le Seigneur des Anneaux, Le hobbit et les 36 bouquins de Robin Hobb sur les royaumes anciens.

14 – Quel est ton auteur / autrice préféré(e) ?

Opale Encaust, M.S. Laurans, Ellana Caldin, des autrices topissimes qui se reconaîtront.
Sinon comme je disais, Tolkien, Robin Hobb. On pourrait en ajouter pas mal d’autres comme Ursula K Le Guin, Pierre Pevel,…

15 – Quelles sont tes qualités principales ?

Comme je disais beau, grand intelligent… Ah non c’est vrai. Boh je crois que je suis pas méchant déjà.

16 – Quelles sont tes faiblesses ou tes points à améliorer ?

Certainement pas. Bon… eh bien comme tout le monde, à peu près tout.

17 – Quelle est ta devise ou ta citation préférée ?

Toujours des trucs préférés. On peut tenter un truc au pif. « Le temps est assassin et emporte avec lui le rire des enfants. » Bon, je ne sais pas si c’est ma préférée, mais ça me touche.

18 – Préfères-tu le thé ou le café ?

Vu que je bois pas de café… et que je bois du thé…

19 – Comment passes-tu tes week-ends ?

Je t’en pose moi des questions ? D’abord faut faire les courses, on fait ça avec ma femme, j’avoue que si je pouvais être ailleurs à ce momment là. Ensuite y a toujours un gosse à emmener ici ou là. Le dimanche il y a la messe et ensuite on mange chez mes parents.
Passionnant, non ?

20 – As-tu des talents cachés ?

Je sais bouger mes oreilles, ça vous en bouche un coin, non ?

21 – Qu'est-ce qui t'inspire dans la vie ?

La nature, je dirais.

22 – Quelle est ta saison préférée ?

Autant le printemps que l’automne. L’hiver est trop froid pour mes petits doigts, et l’été trop chaud, en général.

23 – Aimes-tu voyager ? Si oui, quelle est ta destination préférée ?

Je voyage dans ma tête ça marche très bien. Sinon oui, pourquoi pas, mais pas souvent l’occasion.

24 – Quelle est ta chanson préférée ?

Plein de trucs. Alors j’aime bien les chansons françaises. En garçons Souchon, Cabrel, Brassens, Goldman, Renaud (les vieux albums de ma jeunesse) et Vianney aussi. En filles Olivia Ruiz j’aime bien sa voix, et c’est assez poétique, eh puis il y a celles de l’arc en ciel rose : j’aime beaucoup Oshi surtout sa dernière chanson, parce qu’elle parle d’espoir, et il y a aussi Angèle avec la chanson « ma reine », ou celle qui chante le pop corn salé, je sais plus le nom.
Sinon j'aime bien un peu pop rock, métal, Heavy Metal avec en tête Call of Ch'tulhu de Métallica, version Symphonic and Metal – ou d'autre types de Métal, comme Lucas Turilli, et tout ce qui est folklorique.

25 – Préfères-tu les chiens ou les chats ?

Les chats sans hésitation. J’ai peur des chiens de prime abord, même si on finit par sympathiser.

26 –Quelle est la chose la plus précieuse pour toi ?

Une leffe, euh non, une adelscott, euh non… Difficlile de faire le choix entre toutes ces bierres.
Mais bon, si on veut arrêter de déconner, mon couple, les gamins, et toutes les amitiés.

27 – Préfères-tu la montagne ou la mer ?

Dilemme, j’adore la montagne, les randonnées, la joie d’arriver au-dessus après avoir bien galéré, même si je n’ai plus trop l’occasion. Mais j’aime regarder la mer, et m’y tremper.

28 – Es-tu plutôt du matin ou du soir ?

Ben… je crois que je me réveille bien le matin. Et le soir je tombe vite. Mais ça n’a pas toujours été comme ça.

29 – Aimes-tu cuisiner ? Si oui, quel est ton plat préféré à préparer ?

Les crêpes.

30 – Préfères-tu lire ou regarder des films ?

Ben lire, ça va de soi.

31 – As-tu des projets personnels ou professionnels dont tu es fier(ère) ?

Oui je suis bien content de mes chevaleresses. Je sais qu’elles sont perfectibles, mais bon, je suis content quand même.

32 – As-tu des croyances ou des valeurs qui te sont chères ?

La grosse question. Des croyances oui, je suis Chrétien, Catho même, pratiquant avec ça, même que je m’occupe de la sacristie avec mon épouse (je m’occupe plus des micros moi).
Mais je déteste la bigotterie, je m’énerve contre les familles du genre cul serrés qui pensent que juste être catho c’est bien surtout pour se faire voir, ceux qui se montrent bien et que par-derrière ils font des saloperies…
Question valeur, ben je suis très écolo comme on dit. Et humaniste. Je vais pas dire féministe, c’est réducteur. En fait, c’est tous les humains qui ont besoin d’un regard bienveillant. On a besoin d’éducation, mais de bonne éducation et je crois que là on fonce de plus en plus vite dans le mur.
Sinon, le logiciel libre, c'est une valeur importante à défendre face aux GAFAM, qui d'ailleurs en utilisent…
Y a tant de trucs qui m’énervent que je ne vais pas pouvoir les citer.

33 – Préfères-tu le sport ou la lecture ?

La lecture. Je ne pratique pas de sport. Ok, j’ai des activités physiques, marcher, faire du vélo. Il y a longtemps, les arts martiaux.
La différence entre sport et activité physique réside dans la notion de compétition qui m'est étrangère.

34 –Comment te vois-tu dans 10 ans ?

Comme maintenant avec moins de cheveux. Enfin j’espère.
Ce que j’aimerais, ben, que les gamins aient terminé leurs études et trouvent leur voie qu’elle qu’elle soit.
Que mon épouse se sente bien.
Sinon, que j’arrive à publier un bouquin.
Et un jour, rencontrer mes toppissimes amies.

35 – Quelles sont tes habitudes matinales ?

Déjeuner, travailler.

36 – Préfères-tu la ville ou la campagne ?

La campagne.

37 – Quel est ton parfum de glace préféré ?

Y en a tellement, je ne sais pas, les fruits en tous les cas.

37 – Comment définis-tu le succès ?

Quand on a réussit quelque chose. T’en as d’autres des comme ça.

38 – As-tu des personnes qui t'inspirent ?

Moi ! :DDD
Non mais quelle question, tout le monde.

39 – Préfères-tu sortir avec des amis ou rester à la maison ?

Assez casanier quand même, mais sortir avec des amis aussi.

40 – As-tu des compétences particulières que peu de gens connaissent ?

J’ai déjà parlé des oreilles.

41 – Quelle est ta plus grande peur ?

Crever avant la retraite. Ma femme n’aurait pas grand-chose après.
Une deuxième chose : finir comme mon père, avec une maladie neuro-dégénérative.

42 – Quelle est ta plus grande réussite jusqu'à présent ?

Un jour j’ai réussit à faire mes lacets. Je sais pas, j'ai répondu n'importe quoi.

43 – Qu'est-ce qui te rend heureux(se) ?

Publier un chapitre et voir que des gens le lisent.

44 – Quelles langues parles-tu ?

Le français. Et encore

45 – Quelles sont tes attentes envers l'avenir ?

On en a déjà parlé avec les dix ans

46 – Préfères-tu l'été ou l'hiver ?

On a déjà parlé des saisons.

47 – Aimes-tu rencontrer de nouvelles personnes ?

Oui si c’est des gens avec qui je peux parler.

48 – As-tu des habitudes ou des manies particulières ?

Faudrait demander à des gens qui me connaissent

49 – Quelle est la leçon la plus importante que tu aies apprise dans la vie jusqu'à présent ?

J’en sais rien

Ah y en a une qu'a pas dû être étiquetée ou qui a disparu, tant pis.

La vérité sort toujours de la bouche des enfants, mais peut-être n'est-elle pas toujours bonne à dire.

Haldur est mon prénom
Ame joyeuse et tranquille
Lutin, je suis taquin
Dragon, je veux survoler le monde
Unique, comme tout être vivant
Rêve d’aventure et de fantaisie

D’un personnage du jeu Rêve de dragon je suis né.

Hystrial est mon pays
Ys est encore bien trop réelle pour moi
Saturne est trop éloignée
Troie est détruite
R’lyeh est beaucoup trop sombre
Imaginaire est ce lieu
A l’instar de ceux qui l’habitent
Lumineux et féérique