Un combat, Mr Crable, je suis en face de toi.
Je ne sais pas si ce sera le bout d'un chemin, insignifiant, mais je veux le partager.
Peut-être que ce combat qui n'engage que moi, pourrait faire évoluer les esprits.... ou pas !
Merci de me suivre jusqu'au bout de ce chemin...
Quel qu'il soit !
Merci de vos retours...
Je tâcherais d'être au plus près de ce que je vis.
Peut-être qu'à trabers mes maux, mots, vous trouverez une vie bienfaitrice...
C'est ce que je vous souhaite... L'amour est tout autre, l'amour est plus profond que ce que l'on croit !
La vérité, une vie, n'est rien à l'échelle de l'univers, nous ne sommes qu'une poussière... un fantome dans un corps qui ne nous appartient pas...
ET pourtant..

1240, l’inquisition fait rage dans le sud-ouest de la France. Les moines Dominicains pourchassent les hérétiques et suppôts de Satan pour les trainer au bûcher.
Une jeune fille, Rose, promise au Comte de Virzon, qu’elle exècre, délivre un de ces prisonniers voué aux flammes éternelles.
Mais qui est réellement cet individu aux pouvoirs exceptionnels. Un ange ou un démon ?
Leur sort est, à présent, étroitement lié. Ils devront échapper aux Dominicains mais également à des anges déchus surgis tout droit de l’Ancien Testament.
Aaron est un roman d’aventures fantastiques, plein de rebondissements, mais également une belle histoire d’amour

Voici quelques uns de mes poèmes. Certains ont été reçus avec des prix. D'autres ont été lus en publique.

rien à voir avec l'ombre du druide ! juste une enquête que nous avions fait ce jour là ! ce jour, où je me suis dit que l'être humain peut être vraiment horrible ! Cachée, loin de tout regard, une maison se dissimulait dans un taillis d’arbustes tous aussi ciselant les uns que les autres. Il y faisait sombre, une nappe sombre, épaisse et gluante luisait sur la toiture. Un silence funèbre envahissait toute la vallée, car là, chaque être savait qui se tapissait dans cette demeure, même les âmes les plus noires n’y pénétraient pas. Le Diable, lui-même avait fuit. Pourtant cet être avait eu un nom, avant. Mais aujourd’hui, plus personne ne le nommait. Une vaste pièce putride était jonchée d’un tas d’os, restes de viandes se liquéfiant et de tout un fatras indescriptible. Il était là, devant son autel, une immense vasque à l’odeur pestilentielle. Dans un cabas, quatre petits chiots couinaient, appelant leur mère avec désolation, ils savaient très bien ce qui allait advenir d’eux. Elle, elle tait là, attachée contre le mur, les pates avant repliées sur le dos, douce matrice pour un repas digne de son maître. Amaigris, suppliant la mort de venir frappait, ici et maintenant. Son regard tou

THE défi !
Donc deux duels, ok !!!

Je n'aurais peut-être pas le temps de relever tous les défis.....
celui-ci....... je le fais en un coup....... car qui sait demain ?????

Journal intime d'une jeune lycéenne prometteuse qui plonge doucement dans la drogue et l'alcool. Trouvez dans ses écrits toute l'horreur dune descente en enfer. Histoire bouleversante, avec une chute vertigineuse dans des engrenages incontrôlables

Georges avait forcé un peu trop sur le saké. Il s'était réveillé au soleil couchant dans un beau champ de fleur. Mais il savait que Suzette l'attendait le pied ferme !

Voici quelques textes en hommage à notre Terre Mère.

Ton corps inerte était là, Sans voix, sans âme Errante sur le sol froid Une flèche a brisé mon coeur Tu n'es plus, tu es partie sans heurt Endormie, refroidie par ta destinée Me laissant là, vidée de toutes pensées Une rivière de larmes, un lac entier Tout s'échappe de moi, liquéfié Tu m'as abandonnée, m'as laissée Sans amour, vidée de ton être Je ne te reverrai plus, t'entendrai plus Ma Chaussette, ma douce, Tes calins ne seront plus, Tes ronrons ne me berceront plus Ma Chaussette, ma douce Pars, rejoins les étoiles Vis, là-bas, là-haut, sans voiles Adieu, ma vie, mon coeur, ma compagne Ma Chaussette, ma douce, Que les Dieux t'épargnent

Basculant dans mon rocking chair, je me sens le besoin de faire le point sur ma vie et toutes les épreuves que j'ai dû surmonter. C'est à la naissance de ma première fille que j'ai commencé à écrire : Le secret de la cascade ! Ah, en ce temps j'écrivais à la main et retapais tout avec une vieille machine à écrire. Lorsque mon fils à vu le jour, épileptique, c'était ma période noire. Il était condamné à ne vivre que quelques années. Les textes qui en sont sortis étaient très sombres. Puis la naissance de ma dernière fille, et la réussite d'un traitement fait par un lama médecin pour mon fils, mes textes sont devenus plus joyeux. Malgrès les épreuves qui en ont suivi, je suis restée intègre dans mes personnages. J'ai dû élever mes enfants seule, sans aucune aide de leur père qui est je ne sais où depuis. Oui, je me rappelle c'est bien là que je me suis enrolée dans la gendarmerie : la mobile ! (fou rire) Quelle bête a bien pu me piquer. 16 ans ! 16 ans avant de partir à cause de dirigeants trop c..ns ! Je ne voyais pas trop mes enfants qui étaient soit chez leur grand-mère soit avec la nounou au pair. (autre fou rire) J'avais fait des tas de stages pour être professeur et chorégraphe

Je ne sais plus quand j'ai mis les pieds sur ce site... Il y a longtemps, mais pas trop. J'en ai lu, j'en ai écrit, relever des défis, en infliger aussi. J'ai rencontré des personnages fabuleux, des + qu'écrivain : des bourreaux de cœur et d'âme. Et des... (Comme Etienne, dit : des casse-pieds) Et bien même ceux-là sont formidables. Je n'ai pas eu l'impression d'avoir rencontré des amis, des co-écrivains, auteur, autrices, romancier, romancière, poète, poétesse,... Mais plutôt des frères et sœurs de plumes, des conseillers, des maître Capello, des Verlaine, ou des Bescherelle. Des êtres différents, oui, c'est bien cela, car autrement, j'aurais l'impression de me parler à moi-même ! Oh le foutoir !!! J'ai tourné ce texte, mille et une fois, en histoire Fantasy, Science-fiction (non, là les extra-terrestres ça ne va pas) poème (trop long) texte "bardique" : je n'ai pas trouvé la musique !!! Donc je vous le livre comme ça, en plein dans le pif et faites-en ce que bon vous semble. Cela fait quelque temps que je viens (de moins en moins, oui, je vous le concède, je livre un autre combat.) mais toujours là, car vous me manquez. Ces défis où, parfois, ou même souvent, on écrit ce qu'il no