De la Terre aux étoiles, je pensais que c'était un Univers, Mais je n'ai fait qu'un pas, se jeter dans le vide solitaire, Mais bon, au fond, c’est qu'des rêves qui s’effacent, Des mirages en plein ciel, qu'on poursuit dans l'espace. On cherche l’infini dans les regards éphémères, On s’accroche aux promesses, même quand elles se perdent, L’amour, c’est qu’un mensonge, un jeu de lumière, Mais quand les flammes s’éteignent, il reste que des cendres amères. Et chaque baiser, c'est une chute libre, Chaque étreinte, un mensonge qu'on libère, On croit trouver l’éclat dans ces nuits de fièvre, Mais on finit par se perdre dans l’ombre de nos rêves. Mais quand t'es arrivée, t’as réécrit le ciel, T’as redonné du sens à ce vide essentiel, T’as éclairé l’obscur dans ma galaxie perdue, Maintenant, j'vois l'univers à travers tes yeux, nus. Les illusions d’amour, c’est des chaînes dorées, On croit qu’on s’évade, mais on reste enfermés, Le bonheur, c’est une drogue qu’on se laisse injecter, Mais l’euphorie se dissipe, et l’âme est fracturée. Les illusions d’amour, c’est des chaînes dorées, On croit qu’on s’évade, mais on reste enfermés, Le bonheur, c’est une drogue qu’on se laisse injecter, Mais l’