Zoe Deweireld
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Défi
Mélange de micronouvelles en réponse au défi de Ceryse, Fred Larsen, SeekerTruth, Attrape-rêve à partir de la semaine 65. Un labyrinthe de phrases et de mots à l'image de mon esprit.
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[en réécriture ]
Dans un Paris alternatif, Aelina, jeune portraitiste fraîchement débarquée à Paris suis des cours à l’école des beaux-arts de Paris et cherche à se faire un peu d’argent en vendant ses portraits. Sans passé et en proie à un avenir incertain, elle croise la route d’un commissaire aussi curieux qu’attirant lorsqu’elle lui vient en aide en lui dessinant un portrait très précis d’un fugitif. Ce dessin lui permettant de retrouver son fuyard, il décide de lui proposer un partenariat rémunéré avec son équipe : la brigade criminelle, située dans le 17e arrondissement de Paris. Ayant besoin d’argent pour mener à bien ses recherches Aelina accepte et commence sa collaboration avec ce curieux commissaire.
L'histoire, les personnages et l'univers m'appartiennent. Ils sont sortis tout droit de mon esprit et toute ressemblance avec une autre histoire est totalement fortuite.
Dans un Paris alternatif, Aelina, jeune portraitiste fraîchement débarquée à Paris suis des cours à l’école des beaux-arts de Paris et cherche à se faire un peu d’argent en vendant ses portraits. Sans passé et en proie à un avenir incertain, elle croise la route d’un commissaire aussi curieux qu’attirant lorsqu’elle lui vient en aide en lui dessinant un portrait très précis d’un fugitif. Ce dessin lui permettant de retrouver son fuyard, il décide de lui proposer un partenariat rémunéré avec son équipe : la brigade criminelle, située dans le 17e arrondissement de Paris. Ayant besoin d’argent pour mener à bien ses recherches Aelina accepte et commence sa collaboration avec ce curieux commissaire.
L'histoire, les personnages et l'univers m'appartiennent. Ils sont sortis tout droit de mon esprit et toute ressemblance avec une autre histoire est totalement fortuite.
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Dans le New York automnal, des événements étranges commencent à apparaître. Un ravisseur opère dans la ville et kidnappe des personnes. L'inspecteur Rey, en charge de l'enquête, raconte les faits à son mari, Ben Solo. Mais il n'a pas le temps de prendre l'enquête en main que Rey disparait dans de curieuses circonstances. Que s'est- il passé pendant la garde de Ben ? Pourquoi Rey a-t-elle été enlevée ? Mais attention, Ben, la nuit du 31 octobre réserve souvent son lot de surprises...
Cette histoire est une fiction en univers alternatif, les personnages ne m'appartiennent pas. Seul le contenu de l'histoire m'appartient.
Cette histoire est une fiction en univers alternatif, les personnages ne m'appartiennent pas. Seul le contenu de l'histoire m'appartient.
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Je vais peut-être vous paraître bizarre, arriérée ou que sais-je encore, mais en tant qu’amoureuse du français, il y a des choses que je déteste et que je détesterai toujours. On peut penser que la langue française est une langue masculiniste et peu évoluée, elle reste une très jolie langue. Bien la parler, bien l’écrire c’est lui faire honneur. Alors voici 8 choses qui me mettent hors de moi :
1) « plus pire », cette expression me hérisse les poils. En effet, la grammaire française dit que « mauvais » au superlatif devient « pire », autrement dit, on ne dit pas « plus pire », car c’est une expression erronée.
2) Je déteste entendre : « ils croivent ». Pouvez-vous m’expliquer quand le verbe croire a-t-il changé de radical ? Je vais répondre pour vous : JAMAIS. On dit « ils croient ». Le changement de radical ne s’observe qu’au passé simple (crus), au plus-que-parfait (j’avais cru), au futur antérieur (j’aurai cru), au conditionnel passé ( j’aurais cru), au passé antérieur ( j’eus cru) et au subjonctif.
3) Quand je lis une expression banale et courante comme « tenir les rênes », je suis sidérée de voir que certains l’écrivent encore « tenir les rennes ». Je ne savais pas que les rennes servaient à tenir quelque chose, pour moi à part tirer le traîneau du Père-Noël…
4) Le fameux « en termes de ». Selon l’Académie française, cette expression signifie « dans le vocabulaire de » et non « en matière de » donc s’il vous plaît, ne l’utilisez pas comme un anglicisme.
5) Les « comme même » au lieu de « quand même », qu’une chose soit claire « comme même » en tant que locution conjonctive n’existe pas en français, pas du tout. Selon l’Académie française, on peut néanmoins trouver « comme même » dans une phrase, mais il s’agira ici de la succession de la conjonction de subordination « comme » et de l’adverbe « même ».
6) Les « de par » pour traduire « étant donné » ou « du fait de. ». Si « de par » est une locution prépositionnelle qui existe bel et bien dans la langue française, elle est issue d’une tournure vieillie qui signifie « de la part » ou « en quelque endroit » et selon l’Académie française, elle ne s’utilise que dans ce sens-là.
7) La déformation du mot « rémunérer » en "rénumérer". « Rénumérer » est inconnu de la langue française. On rémunère quelqu’un c’est-à-dire qu’on le paie pour ses services ou son travail. Sous-entendu on lui donne de la Monnaie.
8) L’expression « ils mont ». Voici encore une expression qui me fait saigner les oreilles, car on ne dit pas « ils mont », mais « ils mettent ». Le verbe "mettre" ne change pas de radical au présent de l’indicatif.
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Défi
Il ne restait rien. Juste un amas de lits rongés par l'érosion, de feuilles jaunies par les affres du temps. Des ossements gisaient çà et là dans cette pièce lugubre traversée par des courants d'air.
Cependant, le reporter posa un oeil curieux sur le sol...
Des taches de sang frais...
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Défi
Réponses au défi de Sven : comme pour les précédentes, je vais fonctionner en chapitre.
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Défi
On lui avait dit que manger 5 fruits et légumes par jour lui apporterait les antioxydants nécessaires pour avoir un bon système immunitaire et que c'était la clé pour ne pas mourir de cette foutue maladie.
Pourtant, ce stupide crabe l'a emportée. Elle avait pourtant bien écouté...
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Défi
Dans la pièce mal éclairée et exiguë, une ambiance mystique s'installa. Sur le guéridon, des objets d'incantation. Une bougie rose, le grimoire et les livres de sorts complémentaires. Sa robe d'invocation enfilée, L'alchimiste s'installa, traça un pentacle et commença son invocation.
La flamme de la bougie mourut, laissant place aux ténèbres...
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Défi
Il n'avait encore jamais pris l'avion. Pour la première fois de sa vie, il découvrit combien le monde pouvait être minuscule lorsqu'il est vu du haut de la voûte céleste. Intrigué, il demanda :
— Dis, les humains aussi sont petits lorsqu'on les voit d'en haut ?
— Je dirai même qu'ils sont microscopiques.
— Alors pourquoi se sentent-ils si importants ?
( désolée j'ai dépassé T_T)
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