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Il y a plusieurs millénaires, les Inkolas, peuple de Théia qui tire sa magie de la lune, étaient au bord de la destruction. Ils furent sauver par les hommes. En contrepartie, les Inkolas accordèrent des pouvoirs magiques aux combattants les plus émérites, bénissant également leurs lignées.
Ces lignées bénies régissent Théia pendant des siècles, jusqu'à ce qu'une éclipse solaire vienne bouleverser la géopolitique déjà instable de ce monde.
Il y a plusieurs millénaires, les Inkolas, peuple de Théia qui tire sa magie de la lune, étaient au bord de la destruction. Ils furent sauver par les hommes. En contrepartie, les Inkolas accordèrent des pouvoirs magiques aux combattants les plus émérites, bénissant également leurs lignées.
Ces lignées bénies régissent Théia pendant des siècles, jusqu'à ce qu'une éclipse solaire vienne bouleverser la géopolitique déjà instable de ce monde.
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Défi
- Alors, le meurtre de Monsieur Verbe ?
- Une enquête infinie, un meutrier introuvable, aucune arme du crime. Le bordel total en fait !
- Et l'info de ta source ?
- Invérifiable, un incapable. Mais possibilité d'avancement sur le dossier avec l'aide de la brigade spéciale. Pas mauvais ceux-là.
- A quel niveau ?
- Une enquête datant de l'année dernière chez eux presque identique à celle-ci. Très troublant tout ça.
- Et sur les lieux du crime ? Quelque chose de particulier ?
- Presque rien, un tueur talentueux pour le ménage pour sûr. Incroyable cette absence de trace. Juste un truc suspect par terre dans la chambre.
- Quoi ?
- Un bescherelle.
- Un bescherelle ?
- Oui, le livre pour la conjugaison.
- Pourquoi là ?
- Aucune idée.
- Monsieur Verbe, mort à coup de bescherelle ? Quel comble !
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CV
Ame sensible s'abstenir. Je crois que les lectures de Stephen King déteignent sur moi.
Ame sensible s'abstenir. Je crois que les lectures de Stephen King déteignent sur moi.
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Défi
Avant propos 1 : J'ai accepté ce défi car je trouvais le concept super sympa, et je suis toujours à la recherche de moyen de m'améliorer.
Avant propos 2 : Je suis auteur débutant, et je n'ai pas la plume aussi brillante que les auteurs des précédants chapitres. Je m'excuse donc par avance pour la baisse de qualité.
Avant propos 3 : J'ai trouvé l'exercice vraiment compliqué, mais également extrêmement enrichissant.
Avant propos 4 : Je suis dans le train pour rentrer à Paris (saleté de confinement), et je n'aurais pas le temps de me relire avant dimanche, c'est donc une version premier jet de premier jet que vous avez ici.
Dans sa chambre d'hôtel de Brasilia, Stella chancelait dans ses convictions les plus profondes. Il était temps pour elle de faire le point. D'un côté, un peuple heureux avec un dictateur qu'ils n'avaient pas choisi, et de l'autre, un peuple malheureux avec un président élu.
Elle avait été élevé en chérissant la démocratie. Les habitants d'un pays devaient avoir le choix de leurs dirigeants, cela allait de soit. Elle ne concevait pas le monde autrement. Churchill disait « La démocratie est un mauvais système, mais elle est le moins mauvais de tous les systèmes ». Un homme aussi brillant que lui ne pouvait pas avoir tort sur un sujet qu'il connaissait aussi bien. Nos ancêtres s'étaient battus et beaucoup étaient morts pour que nous puissions vivre libres et égaux.
Mais les vérités d'un jour étaient-t-elles les vérités de demain ? Churchill prononça sa citation au début du vingtième siècle. Dans un monde en perpétuel évolution, où notre façon de vivre n'avait plus rien à voir avec celle d'antan, pouvions-nous affirmer sans ciller que nous avions raison et que le dictateur se trompait ?
Stella doutait, le capitalisme avait-t-il rebattu les cartes de la géopolitique de notre société ? Quid de l'écologie, de l'intelligence artificielle, des ordinateurs quantiques ? Ces sujets devaient-ils également être pris en compte ?
Son visage s'illumina, elle avait trouvé ce qu'elle était venue chercher. Un vrai sujet de journalisme. Elle ne voulait pas affirmer que la démocratie était désuète et vouée à l'échec. Elle pensait cependant qu'il était nécéssaire et sain d'avoir une réflexion approfondie sur le sujet.
Prise dans un tourbillon d'inspiration, elle ouvrit son ordinateur, et commença à rédiger un brouillon des aventures de ces dernières semaines, saupoudré de ses interrogations légitimes. Ses doigts dansaient saur le clavier tel ceux du pianiste sur son instrument. Jamais elle n'avait ressenti autant de passion lors de l'écriture d'un texte.
Après quelques heures de rédaction intense, sans même prendre le temps de se relire, Stella envoya son brouillon à son chef, Monsieur Xai. Elle avait intitulé son texte « Elucubration d'une citoyenne du monde ». Elle avait toujours adoré le mot "Elucubration". Pas autant que "Pimprenelle" ou "Esperluette", mais c'était quand même plus facile à placer dans une rédaction. Elle pensait également que ce terme apporterait une touche de légèreté à un sujet aussi sensible.
Satisfaite, Stella se servit un verre de Cachaça, but quelques gorgées et toussa. Elle n'aimait pas beaucoup l'alcool mais s'obligeait à tester les spécialités des différents pays dans lesquels elle voyageait. Elle décida ensuite d'aller prendre une douche bien chaude. Celle-ci fut finalement tiède, mais n'en resta pas moins revigorante.
Elle chercha sur internet l'adresse d'un bon restaurant Brésilien pour dîner. Alors qu'elle comparait les différents avis des anciens clients, elle reçut un mail de Monsieur Xai :
« Stella,
J'ai bien reçu votre brouillon, et je suis extrêmement déçu par votre attitude. Nous ne pouvons pas nous permettre d'accepter ce texte. Reprenez-vous en main, et choisissez mieux les sujets que vous voulez aborder.
Je ferme les yeux pour cette fois, mais que cela ne se reproduise plus, auquel cas, je serais dans l'obligation de vous demander de rentrer en France.
Bien à vous.
Monsieur Xai »
Stella était abasourdie. Cette réponse lui coupa l'envie de manger. Elle ferma son ordinateur et pleura à chaudes larmes. Elle ne comprenait pas pourquoi son texte avait eu cet effet sur son patron. Peut-être que les gens n'étaient pas prêts à remettre en question leur mode de vie. Peut-être que l'évocation de certains thèmes leur faisait peur.
Elle resta de longues minutes en pleine introspection, puis reprit de l'aplomb.
Stella connaissait maintenant la censure, mais cela ne l'arrêterai pas. Elle décida de continuer sa quête de vérité, et elle savait maintenant où elle devait aller pour obtenir des réponses à ses questions.
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2ème version de mon histoire.
Une épopée de Fantasy qui je l'espère vous plaira.
Une épopée de Fantasy qui je l'espère vous plaira.
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Défi
Il faisait noir, je ne voyais rien à cause du bandage sur mes yeux. J'entendais juste Stevie Wonder qui me répétait sans cesse Isn't she lovely. Je ne voyais pas ce qu'il y avait de lovely là-dedans. Je sanglotais. Les liens autours de mes mains étaient trop serrés et me faisaient mal.
Tout s'était déroulé si vite. Quelques temps plus tôt, j'étais au bar avec ma meilleure amie Vanessa. Nous buvions tranquillement une bière pression en terrasse. A un moment, elle me laissa seul pour aller soulager sa vessie. A peine était-t-elle entrée dans le bar, qu'une grosse voiture noire arriva en trombe et se gara juste devant moi. Deux hommes cagoulés sortirent du véhicule et se dirigèrent droit vers moi. Je voulais me lever, mais j'étais pétrifié par la peur. Les deux brigands m'enlevèrent sans difficulté devant une foule abasourdie.
La voiture repartit aussi vite qu'elle était arrivée. A l'intérieur, un des hommes me banda les yeux, m'attacha les mains derrière le dos et enfonça des écouteurs dans mes oreilles.
I just called, to say, I love you, Chantait maintenant Stevie. J'aurais appelé n'importe qui pour lui dire n'importe quoi si je pouvais sortir de ce cauchemar. Le trajet durait maintenant depuis pas mal de temps, mais impossible de savoir exactement. Pourquoi m'avaient-t-ils enlevé ? Que voulaient-t-ils de moi ? J'étais sûr que j'allais mourir.
Une bosse sur la route fit tressaillir la voiture. Le bandage devant mes yeux n'avait pas été fixé correctement et la secousse me permit d'obtenir une très légère visibilité sur la fenêtre à côté de moi.
Il faisait nuit, nous roulions sur une route de campagne brodée de sapins. Je ne reconnaissais pas cet endroit. Superstition résonnait maintenant dans mes oreilles. J'adorais Stevie Wonder, c'était un de mes artistes préférés. Au moins, mes kidnappeurs avaient du goût.
La rangée de sapins avait fait place à un petit lac, je sentais que nous approchions de notre destination. Le conducteur tourna alors à droite. Aux soubresauts, je devinais que nous étions sur une petite route en terre.
Puis, la voiture se stoppa. Mon coeur se mit à battre comme jamais. Comme s'il voulait épuiser son stock de battement puisqu'il savait qu'il n'allait bientôt plus fonctionner. Un des homme me remit mon bandage en place, sans que je puisse distinguer quoi que ce soit, puis me fit sortir de la voiture. Mes jambes flageolaient et j'avais envie de vomir. J'étais terrifié par ce qui allait m'arriver.
Heureusement, Stevie Wonder m'accompagnait dans ce moment difficile. Il me chantait maintenant Happy Birthday. Et il avait raison, c'était bien mon anniversaire aujourd'hui. Quelle ironie d'avoir cette chanson à mon arrivée.
Quelqu'un enleva d'un coup sec mon bandage et mes écouteurs. Tous mes amis étaient là, prêts à faire la fête. Et tous en coeur ils chantèrent.
"Joyeux anniversaire !"
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CV
Petite nouvelle rédigée en quelques heures, laissant mes pensées dicter ma plume (enfin mon clavier).
Petite nouvelle rédigée en quelques heures, laissant mes pensées dicter ma plume (enfin mon clavier).
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Défi
Ah, le printemps ! Il arrive toujours avec son flot de gens faussement bien intentionés qui répètent sans cesse : "C'est la saison des amours, c'est la saison des amours !".
Oui mais tu vois, quand tu viens d'apprendre que ta meuf te larguait pour ton meilleur ami, bah la saison des amours tu vois bien ce que j'ai envie de lui dire !
Et là, les même gens "bien intentionnés", ils te disent "Une de perdue, dix de retrouvées". Le mec qui a inventé cette expression devait trop traîner dans le quartier rouge, à Amsterdam. Si tu vois c'que je veux dire.
Mais je m'égare, tu me parlais du printemps. Du temps des bourgeons et des allergies au pollen, du moment de l'année où tu sors en T-shirt parce qu'il fait beau et vingt minutes plus tard t'es trempé comme une soupe.
Et c'est pas tout. C'est aussi l'époque de l'année où tu dois t'occuper de ton jardin, parce que c'est le moment, c'est comme ça. Et surtout, tu dois t'occuper des p****** de plantes de ton ex, alors que tu les voulais même pas ces plantes, et qu'elle t'avait supplié de les prendre quand t'étais chez IKEA.
Donc, si tu veux, le printemps c'est pas mon truc. Je vais attendre l'été, peut-être que les gens seront moins cons. A moins que ce soit moi...
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Défi
Je monte dans le métro et jette un regard derrière moi. Personne. J'étais pourtant sûre d'avoir été suivie. La rame est bondée, je me faufille entre deux hommes qui parlent trop fort et je me place proche d'une fenêtre.
Je cherche sur le quai la personne qui m'avait prise en filature, mais je ne vois rien. Mes yeux s'égarent sur mon propre reflet sur la vitre du métro. Je paraissais dix ans de plus, les cheveux ébouriffés et des gigantesques cernes sous les yeux. J'étais las de fuir.
Le métro part. Je me sens soulagée. Enfin pendant un moment. Et si la personne avait réussi à monter par un autre moyen ? Et si elle avait un complice à l'intérieur du train ?
J'observe autour de moi, à l'affut du moindre danger. L'un des deux hommes de tout à l'heure me lance des regards, puis dit quelque chose à l'autre. Celui-ci se retourne vers moi, puis ils rigolent ensemble.
En face de moi, une petite fille assise ne me lâche pas des yeux. Elle me dévisage de haut en bas.
Ils n'oseraient pas utiliser une enfant contre moi. Mais qui étaient "Ils" ? Je ne le sais pas moi-même. Mais Ils me suivent depuis quelques jours maintenant, j'en suis persuadée.
Je ferme les yeux un court instant, pour reprendre mes esprits. Quand je les ouvre à nouveau, c'est encore pire. J'ai l'impression que tout le monde dans le métro me regarde. C'est un piège, ils sont tous complices. Je dois sortir d'ici à tout prix.
Mes jambes chancellent, mon coeur bat la chamade, je commence à transpirer. Le trajet est interminable.
A quelques mètres de moi, un homme au visage lugubre se lève. Il commence à s'approcher. Il me sourit. Et moi je me décompose. J'ai envie de pleurer.
Nous sommes presque arrivés à la station, mais l'homme se rapproche inexorablement. Sous l'oeil de tout ses complices, il prend son temps. Les secondes durent des heures.
La porte s'ouvre enfin, et me délivre de mes ravisseurs. Je cours vers la sortie et hurle à plein poumons.
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Défi
Premier défi scribay. Je suis certainement un peu hors sujet, mais c'est ce que m'a inspiré ce défi.
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Défi
Dans cette forêt de glace, le froid s'insinuait jusqu'aus os. Le silence opressant ne laissait rien présager de bon, mais le temps était compté.
Rod et Tfar menaient notre groupe, leurs sens aiguisés nous protégaient d'une attaque surprise. Derrière Akid fermait la marche. J'étais au mileu avec Hella, prêts à utiliser notre magie quand il le faudra.
Dans les tréfonds de ce glacier maudit, le Nécromancien préparait son incantation. S'il réussissait son plan démoniaque, c'était tout notre monde qui plongerait dans le chaos et la désolation. Nous n'avions pas une seconde à perdre. Malgré la fatigue et le froid, nous nous enfonçions de plus en plus loin en direction de Château-Sombre, la résidence du Nécromancien.
Soudain, un hurlement terrifiant se fit entendre quelque part sur la droite. Mes compagnons et moi nous mîmes en position de combat, et attendions pour en découdre.
Au loin, les sbires du Nécromancien apparurent. Ils fonçaient vers nous comme des chiens enragés. Ces cadavres réanimés n'aspiraient qu'à la destruction pure et simple de tout ce que respirait. J'en comptais au moins une vingtaine. Je concentrais la magie de mon corps, et j'envoyais une boule de feu en direction de l'ennemi. Hella nous préparait une barrière de protection et Rod envoyait des flêches destructrices sur nos assaillants. Tfar sortit sa large hache et attendait le corps à corps avec Akid.
Alors que je canalisais ma magie pour dévaster les rangs adverses, des bras putréfiés sortirent de la neige au niveau de mes pieds ainsi que ceux de mes compagnons. Ils tentèrent de nous aggriper au niveau des jambes. J'esquivais pour ma part d'un saut en arrière.
Akid n'eut pas cette chance, il fut déséquilibré et tomba au sol. Le reste du monstre émergea de la neige et se précipita sur lui. D'un coup d'épée précis, Akid lui transperça la tête. Mais il était à terre, et le reste de la horde arrivait maintenant sur nous.
Le brouillard était tombé d'un coup, je distinguais à peine mon groupe. Je crus aperçevoir Tfar se mettre en travers des morts-vivants pour protéger Akid. Mais les ombres fonçaient sur lui.
De mon côté, deux ennemis arrivaient sur moi. J'occis facilement le premier, et m'apprêtait à carboniser le deuxième quand un troisième adversaire que le brouillard m'empêcha de voir arriver me percuta dans le dos. Je me retrouvais la bouche dans la neige, à la merci du monstre. A peine j'eu le temps de me mettre sur le dos qu'il était déjà sur moi. Son visage décharné juste devant le mien. Son haleine empestait la mort. Je me débattais pour l'empêcher de me mordre quand une flêche traversa l'oeil droit du cadavre, m'éclaboussant du gerbe de sang. Je me relevais et regardais autour de moi.
Rod me fit un petit signe de la tête et un clin d'oeil. J'hurlais dans sa direction. Tourné vers moi, il ne pouvait pas voir les trois monstres qui lui sautèrent dessus. Ils s'aggripèrent à lui, lui arrachèrent la peau et commençèrent à se régaler de sa chair. Mon ami était mort sous mes yeux. Je lançais une boule de feu qui embrasa le corps de mon sauveur ainsi que celui de ses tueurs. Ca semblait être les derniers, le brouillard se levait.
Entre les cadavres qui se consumaient, Akid et Hella reposaient également, tombés au combat. Tfar et moi étions les seuls survivants. Il était là, essouflé, un genou à terre. Le sol autour de lui était jonché de cadavres.
Nos regards se croisèrent. Nous n'avions pas besoin de parler. Nous connaissions les risques et nous devions accomplir notre mission. Nous reprîmes la route sans même le temps de pleurer nos compagnons d'arme, nos amis.
Peu de temps après, nous arrivions à la porte de Château-Sombre. Nous pouvions entendre l'incantation funeste du Nécromancien.
- C'est ici que tout ce joue, mon cher ami, dis-je.
Tfar me regarda et explosa de rire.
- Vous nous aviez promit une mort certaine, vous ne vous trompez décidément jamais ! Allons-y, j'ai hâte de mourir à vos côtés.
Les deux héros se regardèrent, et fonçèrent dans la tanière du Nécromancien pour mettre un terme au mal.
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Pas envie de travailler ce matin. Mes deux chats faisaient la fiesta dans l'appartement. Cela m'a donné une idée d'histoire :-)
Pas envie de travailler ce matin. Mes deux chats faisaient la fiesta dans l'appartement. Cela m'a donné une idée d'histoire :-)
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