Mélusine un être surnaturel charmeuse, Une longue queue de serpent et verdoyante, A le chevelure magnifique, sanglante, Un être qui fut trahi et très malheureuse. Ondine aussi charmeuse que Mélusine, Est également un être surnaturel, Une sirène amoureuse et immortel, Une magnifique créature marine. Ne vous approchez pas ou vous serez charmer, Avant de les aimer réfléchissez sept fois, Si vous les quitter vous deviendrez une proie, Ne les briser pas le cœur ou vous subirez. L’amour vous anéanti, vous transforme en monstre, Mais prenez garde le chagrin est un danger. Poésie de RAMCHARAN Rubicka, classe de 5ème2

L'espace était silencieux. Un silence oppressant, absolu. Autour du vaisseau Skeld, seules les étoiles brillaient, témoins muets de ce qui venait de se produire.

Gris était recroquevillé dans un coin du réacteur, le cœur battant à tout rompre. Son corps tremblait encore sous le choc. Il venait d’assister à l’impensable.

Son père… Son père venait d’être éjecté.

Il revoyait encore la scène dans sa tête, en boucle, incapable de la chasser. Les cris, les accusations, la panique. Les membres de l’équipage s’étaient ligués contre lui, persuadés qu’il était un imposteur. Pourtant, il n’avait rien fait. Rien du tout.

Gris avait hurlé, pleuré, supplié qu’on les écoute. Mais personne ne l’avait entendu. Il n’était qu’un enfant parmi des adultes effrayés et aveuglés par la paranoïa. Alors, impuissant, il avait vu son père être traîné jusqu’au sas, puis aspiré dans l’immensité froide et noire de l’espace.

Gris s’était figé, incapable de bouger. Son père était parti… définitivement.