Voici une petite novelle que j'ai commencé a écrire j'aimerais des retours sur celle car je la trouve trop brute au niveaux des transitions et pour la fin je ne suis pas satisfaite. Malgré les imperfections j'espère que ça vous plaira ^^

Au siècle des Lumières, l'aube de la raison, S'éveillent les esprits dans une quête de vision. Les ténèbres s'estompent, l'obscurantisme recule, Et la flamme du savoir de ses chaînes se libère. Voltaire et Rousseau, par leurs plumes inspirées, Dévoilent des mondes où la pensée est reine. Les salons se remplissent de débats animés, Où l'égalité, la liberté, deviennent la scène. Montesquieu observe, réfléchit sur les lois, Cherche l'équilibre, entre pouvoir et droit. Diderot, dans ses pages, réunit la sagesse, L'Encyclopédie naît, répertoire des prouesses. Les scientifiques plongent au cœur de la matière, Newton dévoile les secrets de l'univers. Lavoisier, par ses traits, redéfinit l'alchimie, Le monde devient un puzzle de plus en plus précis. Les arts s'épanouissent, musique et peinture, Dansent avec les idées, en fines écritures. Mozart et Haydn composent des symphonies, Leurs notes résonnent, écho d'une harmonie. La lumière jaillit, les préjugés se brisent, Le progrès avance, une marche exquise. Des révolutions grondent, les peuples se lèvent, Portés par les rêves, de justice et de trêve. Le siècle des Lumières, une étoile scintillante, Dans le firmament de l'Histoire, elle est éc

Sous le ciel lourd de cendres, il avance doucement, Ses pas résonnent sur les pavés désolés, Le soldat revient, l’âme chargée de tourments, Vers la ville jadis vivante, aujourd’hui dévastée. Les rues qu'il connaissait, où le rire autrefois Éclatait comme des perles, sont devenues silencieuses, Les façades écroulées, les fenêtres sans voix Racontent des histoires de batailles furieuses. Chaque maison brisée, chaque mur effondré, Révèle des secrets de souffrance et de peur, Les jardins autrefois fleuris sont désormais Des champs stériles marqués par la douleur. Il cherche des visages, des souvenirs enfouis, Mais tout ce qu'il trouve, ce sont des ombres, des fantômes, Des vies dispersées par la rage et la nuit, Des rêves éteints sous les gravats et les plombs. Son cœur, lourd comme l'acier qu'il portait en guerre, Se brise un peu plus à chaque pas dans ce chaos, Il se souvient des promesses, des tendres prières, Des espoirs échoués sur ce rivage de maux. Dans l'air, une odeur de fumée et de sang, Un parfum de deuil que nul vent ne dissipe, Il se tient immobile, soldat errant, Dans un désert de ruines, un paysage apocalyptique. Mais au-delà des pierres, des larmes et des cris, Il enten