Quand Maxime se fait enlever par des homme-bêtes qui tuent également ses parents, elle ne se doute pas une seule seconde du monde qui se cache aux yeux du commun des mortels.
Soumise à la volonté des loups-garous, elle apprendra à faire face à ses dons pour servir leurs sombres dessins et survivre parmi leur chaos.
Emportée par leur funeste influence, Maxime garde espoir de retrouver sa liberté et ce, même si les loups ne cessent d'agrandir leur appétit. Tout particulièrement l'un d'entre eux, que la simple présence rend mal à l'aise Maxime.
Mais s'il n'était question que d'un loup, Maxime aurait peut-être eu une chance car même son Alpha a des ennemis. Et ceux-ci veulent reprendre le plein pouvoir, peu importe les moyens. Ainsi, contrainte de se préparer pour affronter d'autres personnes comme elle dans ce que les loups-garous appellent l'arène, Maxime atteint l'apogée de sa condition batarde et parvient elle aussi à se transformer dans le sang et la douleur.
Subissant mille tortures tout au long de son périple, l'arène devient, pour elle, le seul et unique moyen pour échapper à l'emprise des loups et venger sa famille.
Au travers de jeux de séductions malsains, d'assassinats et de cruauté, elle parvient finalement à s'extirper de l'ombre de la meute sans même se douter que sa disparition déclenchera un boulversement mondial.

/!\ Contenu parfois sensible et difficile

Dylane aime que son bar soit bien rangé, propre et bondé de surnaturels. Depuis quelques temps il fonctionne à merveille et elle se voyait bien rester dans ce coin de paradis éternellement.
Jusqu'à ce que son passé revienne pour détruire la moitié de ses meubles et lui faire une annonce de mauvais augure : le Sceau a été brisé.

Alors que son monde qui commençait enfin à se stabiliser manque de s'écrouler à nouveau, Dylane devra faire face à des créatures encore plus dangeureuses que la Mort elle-même si elle ne veut pas retourner en esclavage. Car une chose est certaine, ses Maîtres voudront se venger d'elle et de ses soeurs : oeil pour oeil, dent pour dent.

En tant qu'auteur ou écrivain amateur, on compte pour du beurre.
On est pris comme argent comptant.
Argent contant ?
Ah, si seulement il n'était question que de ça, mais c'est un leurre.

On vit aussi, vous savez ?
On ressent aussi, vous savez ?
On attend aussi, vous savez ?
On gueule aussi, vous savez ?