Berlin, avril 1945. Dans une ville qui attend l'assaut imminent des Soviétiques, trois hommes se souviennent d'un passé qui fut glorieux, ou au moins heureux. Mais dans cette ville en ruine sur le point de voir débarquer les barbares du fond de l'Asie, plus aucune gloire ne peut échapper à la confrontation avec sa part sombre...

Vienne, XIXe siècle. Un jeune homme solitaire rencontre un étrange docteur. Le temps d'une nuit, celui-ci lui apprendra à croire aux fantômes, et à rencontrer les siens...

Au fond de l'espace, un gigantesque vaisseau transporte, de génération en génération, les héritiers de la Terre morte vers une lointaine destination. Mais des rumeurs commencent à se répandre : et si le Navigateur, reclus loin des regards, avait perdu le cap ? Un modeste amateur d'ancienne littérature terrestre va devoir se confronter à tous les défauts d'une humanité miniature - et à son propre désir d'anonymat - pour découvrir le destin de son monde, s'il y en a toujours un...

Une nouvelle écrite pour un concours et qu'un timing mal maîtrisé m'a empêché de faire concourir. Il y est question de paternité et de filiation, d'Amérique du Sud et de photos...

Quand un défi rencontre avec précision les circonstances de la vie : il s'agissait d'écrire un texte dont les protagonistes humains ne pouvaient être identifiés par leur genre. Au même moment, j'attends la naissance de notre troisième enfant, dont nous avions choisi de ne pas connaître le sexe. J'ai terminé de l'écrire hier soir deux septembre un peu avant minuit, dix minutes avant de partir pour la maternité...

Une histoire (vécue et à vivre) inspirée par mon fils de sept ans, qui avait cet été enfin l'âge de vivre pleinement sa première Coupe du Monde. Ou comment partager un match de foot permet parfois de partager beaucoup, beaucoup plus que ça.

P.S. : amis français, désolé par avance de réécrire cette fameuse demi-finale. Mais dans sa tête, un enfant qui joue a tous les droits.

Il y a quelques années, l'éruption de l'Eyjafjöll, le fameux "volcan islandais", m'avait donné l'idée d'une nouvelle où il est question de vieilles mythologies, de problèmes de prononciation, de journalistes inquiets de leur image et d'un linguiste hongrois et misanthrope... Le tout, évidemment, avec un bon grain de sel.

À sa majorité, Laglyan devient Seigneur de Siryikal. Il hérite ainsi d'un titre et d'une charge laissés vacants avant sa naissance par son père, mort en héros pour sauver l'Empereur de Tyel dans le sauvage royaume d'Angao, aux confins du monde, là où naissent les légendes et les serpents de glace. Bien des espoirs reposent sur lui. D'autant que les ombres s'épaississent à nouveau, en Angao comme à Tyel même. Et alors que Laglyan se mesure à celle de son père, dont il se demande s'il sera digne, il comprend peu à peu qu'il lui faudra choisir par lui-même où se trouve la justice et qui sont ses amis...

Écho est une jeune fille qui adore avoir le dernier mot. Narcisse est un jeune homme beau comme un dieu, mais qui l'ignore encore. Ils vont se croiser de nos jours, dans l'arène impitoyable d'une salle de classe. Comme il y a trois mille ans...

Lumière et chaleur
Cris d’enfants dans les jardins
L’été s’alanguit

Une nouvelle très courte publiée d'abord indépendamment, et puis dans le cadre de ce défi proposé. Il y est question de football, mais aussi d'enfance et des rêves qu'on peut faire à cet âge.

Aujourd'hui, j'ai enterré maman. Et ça m'a rappelé plein de choses...