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Father83

Toulon.
Father83
On me présente ma maladie Que l’on ne saura jamais guérir, Sans aucun motif, le mal à dit Qui survient en moi sans prévenir. À moi, à toi, à l’un ou l’autre, Ancré dans notre corps de chair La maladie étant la nôtre, Avec douleurs comme calvaire ! C’est dans le silence de mon cœur, Et dans mon corps qui est si pâle Que je cherche dans toutes mes peurs : Un regard qui serait amical. En me détournant du tapage De ce monde tellement bruyant, Autour de moi ce n’est que rage. Mon rêve, partir en m'endormant : Les yeux levés vers mon Créateur, Qui m’aime et m’a donné la vie, Je peux en avoir aucune peur Car il est là et il me bénit. Father83+
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Father83

Comment déclarer à cette femme,
Dans cette nuit noire et si calme,
Ce cœur qui bat comme une flamme
De bougie qui montre son âme ?

Comment puis-je dire, toi l’être aimée,
Tout l’amour qui vient de se réveiller
En moi ? Ô toi la splendide beauté
Que j’aime tant et qui me fait vibrer.

Ta beautée m’émerveillera toujours,
Que ce soit le matin au petit jour
Ou au lever en te disant bonjour
Tout ce que je vois n’est que de l’amour !

Ô AMOUR quand tu nous tiens
Non, plus rien ne me retient.
Ô AMOUR quand tu nous tiens
Sans toi je ne suis plus rien.

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Father83
Écoute notre France qui pleure : Samuel ou Nicolas sont leurs doux noms Ou encore Philippine ou Marion. De trop jeunes victimes qui meurent. Ceux qui nous gouvernent, sans puissance, Abandonnent ces villes enflammées : Paris, Toulon, Marseille ou Poitiers, L’homme n’arrête pas sa violence. En novembre la France honore Les hommes morts pour notre liberté. En ces jours des familles endeuillées Pleurent trop de leurs enfants qui sont mort. Douce France que j’aime tendrement : Ta LIBERTÉ chérie est censurée Ton ÉGALITÉ est abandonnée Et ta FRATERNITÉ l’est tout autant. Pour tout homme qui a versé son sang Afin que nous soyons en liberté, Je veux que mon drapeau soit élevé, Et la paix soit proclamée en tout temps. Father83+
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Father83

Homme plein d'amour et de joie,
Par un beau jour tu décidas,
Que Jésus, vrai homme et vrai Dieu,
Tous les jours te rendrait heureux.

Quelques années pour avancer
Vers celui que tu as trouvé,
Et fera de toi le prêtre
De Jésus-Christ, que rien n'arrête.

Mort pour racheter tout homme,
Hommes pécheurs que nous sommes,
Celui qui a donné sa vie :
Est Notre Seigneur Jésus-Christ !

Quand tu célèbres cette Messe,
Tu as dans tes mains la Promesse
De celui qui aux apôtres dit :
En mémoire de Moi, faites ceci.

Petit prêtre que j´ai choisi,
Toi, l'humble et le tout petit,
Tout proche de moi et heureux,
Pour l'éternité je te veux.

Ô très humble prêtre qui prie,
En cette hostie Eucharistie,
Tu détiens en tes mains sacrées,
Le Roi des rois, ton bien aimé.

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Father83
Ô petit être de lumière Toi qui est né sans souffle de vie C’est par ce poème que j’écris Ces quelques mots à toi mon frère. De trois ans avant moi tu es né, Sans te connaître je pense à toi Dans mes prières tu es le roi Jamais je ne pourrais t’oublier Nos parents t’ont donné ce doux nom De Pierre, l’Apôtre de Jésus. Sans qu’aucun des tiens ne t’ai connu Sur terre, jamais nous ne t’oublierons. Dans l’attente de nous voir un jour, C’est dans mon petit cœur de Prêtre Que coulent ces larmes que rien n’arrête Et te dédie ce poème d’amour Ô petit être de lumière, C’est comme Prêtre de Jésus-Christ, Que je célèbre l’Eucharistie Emplis d’amour, pour toi mon frère. Father83+
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